Jérusalem : pour la fête de l’Holocauste, la juiverie se couronne maîtresse de l’Occident sémitisé en présence de 48 états blancs

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 Janvier 2020

 

Toutes les légions de l’Enfer sont déchaînées.

Je n’ai jamais rien vu de tel.

La juiverie universelle a mobilisé ses gouvernements en Occident pour vociférer dans un vacarme ahurissant le dogme divin des chambres à gaz d’un aquarelliste autrichien.

En plein Jérusalem.

Tel niveau de fanatisme, à l’échelle du globe, n’avait pas été atteint depuis la présence d’Adolf Hitler sur terre. Satan lui-même joue de ses orgues infernaux la déclaration faramineuse : « le juif est roi ! »

C’est sans fin.

J’en ai les oreilles qui saignent.

La radio juive française fait trembler les murs des synagogues.

La cagnotte du millénaire menace de s’évaporer.

On dénombre 49 états représentés dont 41 par des chefs d’état ou de gouvernement, tous pour l’essentiel occidentaux.

Ces états qui organisent la destruction des peuples blancs par l’arme de l’immigration non-blanche, la démoralisation des sociétés aryennes et l’excitation de toutes les forces de destruction, sur ordre des juifs.

Ou sont en passe d’y sombrer complètement, une fois que la lèpre cosmopolite y aura pris racine.

Cette cérémonie à Jérusalem, où les juifs veulent couronner leur roi, est la démonstration finale de ce que nous et d’autres avons répété depuis si longtemps : le mythe de l’Holocauste est la véritable religion d’état des démocraties tenues par la finance juive.

La presse juive s’en amuse et fait bien sentir qu’on a changé de dogme et de religion.

« Jésus est pédé », oui, cent mille fois plutôt qu’une.

Mais plus un murmure sur la révélation d’Auschwitz.

Plus un mot sur la « race élue ».

Le silence et le recueillement, tremblant.

Le revolver est braqué sur l’Aryen, sidéré par un matraquage terroriste inouï.

Vous voilà avec un nouveau Vatican, un Vatican juif établi en plein royaume juif d’Israël, sous les acclamations du bétail aryen.

En attendant, c’est l’heure de célébrer Moloch.

Ce judaïsme pour goyim à base de Zyklon B et de larmes suppose une soumission totale à l’idole impie du mythe des chambres à gaz hitlériennes. Il n’est pas possible de blasphémer, pas possible de douter, encore moins d’être un athée de l’Holocauste.

Pas de « Chevalier de la Barre » face à un gros yid pontifiant sur les 6 milliards.

Cette croisade infernale contre l’humanité se formalise donc à Jérusalem.

Une déclaration de guerre à l’ombre du Mur des Lamentations. Un appel à établir la tyrannie hébraïque la plus complète depuis la grotte de Yad Vashem.

Les Protocoles des Sages de Sion, célèbre « faux » antisémite :

De la sorte, les peuples et les gouvernements des chrétiens que nous avons habitués à ne regarder que la face des choses que nous leur présentons, nous prendrons une fois de plus pour les bienfaiteurs et les sauveurs du genre humain. A chaque opposition, nous devrons être en état de faire déclarer la guerre par les voisins du pays qui oseraient nous contrecarrer ; et si ces voisins eux-mêmes s’avisaient de se liguer contre nous, nous devrions les repousser par une guerre générale.

Depuis lors, nous menons le peuple d’une déception à l’autre afin qu’il renonce même à nous, au profit du roi despote du sang de Sion que nous préparons pour le monde. Actuellement nous sommes invulnérables comme force internationale, car, quand on nous attaque dans un État, on nous défend dans les autres

Et maintenant, la race juive, couronnée en présence de ses laquais occidentaux, veut définitivement et officiellement annexer ce qu’il reste de la Palestine.

Un état racial, privilège de la race d’Abraham.

Tout suit méthodiquement le plan prévu par cette race de démons.

Chez nous, la juiverie prépare une tornade répressive qu’elle espère plus écrasante encore que celle imposée à la Perse.

Dans tous les états aux mains des juifs, d’Europe et d’Amérique, c’est un flot de menaces ininterrompu de la part de la juiverie pour anéantir la moindre forme de rébellion contre notre écrasement racial complet.

C’est donc une déclaration de guerre contre la race blanche mais pas seulement : contre l’humanité entière.

L’Occident sous occupation juive est devenu l’arsenal de Yahvé contre les nations de la terre, sans exception.

Aujourd’hui, le juif est à son zénith. Juché sur le dos des nations occidentales enchaînées depuis son quartier général jérusalémique, il fomente une grande guerre d’anéantissement contre l’Iran dont l’essentiel du poids sera porté par la race blanche agonisante dont il empoisonne le sang avec méthode.

Ayant lié la chambre à gaz magique avec l’impunité de son état racial de droit divin, le juif exige de ses intendants qu’ils s’exécutent.

C’est encore Adolf Hitler qui résume le mieux l’actuelle équation :

Les Juifs ont toujours suscité l’antisémitisme. Les peuples non juifs, au cours des siècles, et des Égyptiens jusqu’à nous, ont tous réagi de la même manière. Un moment arrive où ils sont las d’être exploités par le Juif abusif. Alors ils s’ébrouent comme l’animal qui secoue sa vermine. Ils réagissent brutalement, ils finissent par se révolter. C’est là une façon de réagir instinctive. C’est une réaction de xénophobie à l’égard de l’étranger qui refuse de s’adapter, de se fondre, qui s’incruste, qui s’impose et qui vous exploite. Le Juif est par définition l’étranger inassimilable et qui refuse de s’assimiler. C’est ce qui distingue le Juif des autres étrangers : il prétend avoir chez vous les droits d’un membre de la communauté tout en demeurant Juif. Il considère comme un dû cette possibilité de jouer simultanément sur deux tableaux, et il est seul dans le monde à revendiquer un aussi exorbitant privilège.

Le national-socialisme a posé le problème juif sur le plan des faits : en dénonçant la volonté de domination mondiale des Juifs, en s’attaquant à eux systématiquement, dans tous les domaines, en les éliminant de toutes les positions usurpées par eux, en les traquant partout avec la volonté bien établie de laver le monde allemand du poison juif. II s’est agi pour nous d’une cure de désintoxication indispensable, entreprise à la dernière limite, sans quoi nous eussions été asphyxiés et submergés.

Réussissant cette opération en Allemagne, nous avions des chances qu’elle fît tache d’huile. Cela était même fatal, car il est normal que la santé triomphe de la maladie. Les Juifs furent aussitôt conscients de ce risque, et c’est la raison pour laquelle ils décidèrent de jouer leur va-tout dans la lutte à mort qu’ils déclenchèrent contre nous. Il leur fallait abattre le national-socialisme à n’importe quel prix, la planète dût-elle être détruite. Aucune guerre n’a été aussi typiquement que celle-ci, ni aussi exclusivement, une guerre juive.

Je les ai en tout cas obligés à jeter bas le masque. Et même si notre entreprise se solde par un échec, cet échec ne saurait être que provisoire. J’aurai ouvert les yeux du monde sur la réalité du péril juif.

Une des conséquences de notre attitude, c’est que nous avons rendu le Juif agressif. Or il est moins dangereux sous cette forme qu’à l’état sournois. Mieux vaut cent fois le Juif qui avoue sa race que le Juif honteux qui prétend ne différer de vous que par la religion. Si je gagne cette guerre, je mets un terme à la puissance juive dans le monde, je la blesse à mort. Si je perds cette guerre, cela n’assure pas davantage leur triomphe – car, eux, ils en perdraient la tête. Ils pousseraient l’arrogance à un tel degré qu’ils provoqueraient par là même le choc en retour. Ils continueraient, bien entendu, de miser sur les deux tableaux, de revendiquer dans tous les pays les avantages des nationaux, et sans renoncer à l’orgueil de demeurer de surcroît les membres de la race élue. Ce serait la fin du Juif honteux, remplacé par le Juif glorieux – aussi puant que l’autre, sinon plus. En sorte que l’antisémitisme ne saurait disparaître, les Juifs eux-mêmes l’alimentant et le ranimant sans cesse. Il faudrait que la cause disparût pour que disparût la réaction de défense. L’on peut faire confiance aux Juifs. L’antisémitisme ne disparaîtra qu’avec eux.

Peut-on résumer si parfaitement notre situation ?

Le Führer voyait avec prescience ce que l’humanité traverse sous le joug de l’empire judéo-américain, cet hébraïsme sanglant et loufoque.

Le juif joue son va-tout.

Que sa coalition hétéroclite de laquais s’affaisse et le voilà à la renverse, face à l’humanité entière.

Le règne du juif en Occident repose sur la destruction de ses fondations raciales, sociales et culturelles. Ce n’est qu’en affaiblissant la race blanche pour la tuer que le juif peut parader et imposer sa tyrannie dans ces mêmes états dont il veut se servir pour ses propres buts.

La réaction raciale face à cette entreprise d’empoisonnement s’accompagnera chaque jour davantage d’un puissant sentiment antisémite, d’abord confus puis conscient.

Le juif peut s’exhiber, son insolence ne lui épargnera pas un réveil brutal.

Le sourire s’effacera de la face hideuse du juif.