Captain Harlock
Démocratie Participative
10 janvier 2020
« J’ai gagné, kek »
Les juifs nous parlent de plus en plus clairement et nous le devons à l’activisme inlassable de ceux qui dénoncent ces terroristes ainsi que leur projet de destruction de la race blanche en Europe.
Pour combattre l’antisémitisme, les leaders politiques ne doivent pas hésiter à mobiliser le langage de la « peur » d’une nouvelle catastrophe, estime Moshe Kantor, l’initiateur de commémorations internationales de la Shoah à Jérusalem.
Des dignitaires de plus de 40 pays, dont les présidents français Emmanuel Macron et russe Vladimir Poutine et le Prince Charles, sont attendus les 22 et 23 janvier à Jérusalem pour commémorer le 75e anniversaire de la libération du camp nazi d’Auschwitz-Birkenau.
Auschwitz, aujourd’hui transformé en Disneyland, était un bagne administré par les Allemands en Pologne où des juifs assurent avoir été gazés avec des granulés sur ordre d’Adolf Hitler.
Des historiens et des scientifiques ont pour leur part fait observer que le seul fait de faire travailler des juifs a pu générer un traumatisme collectif expliquant ces accès d’affabulation et pics de délire collectif.
Comme cette fameuse histoire, souvent citée ici à des fins pédagogiques, de juifs nourris à base de saucisse de juifs gazés par granulés.
Voilà pour le contexte de cette fête à Jérusalem sur cette Maison des Horreurs globalisé qu’est l’attraction touristique d’Auschwitz.
Les Etats-Unis n’ont pas encore annoncé l’identité de la personnalité politique qui les représentera dans ce rassemblement de dignitaires, considéré comme l’un des plus importants organisés à Jérusalem depuis la création d’Israël en 1948.
Ces commémorations visent non seulement à rappeler la Shoah et notamment l’assassinat de plus d’un million de Juifs dans le camp d’Auschwitz pendant la Seconde Guerre mondiale, mais à unir des dirigeants dans la lutte contre l’antisémitisme.
Quatre millions, un million, ça dépend de quand.
A Nuremberg c’était 4 millions pour Auschwitz sur 6 millions au total.
Aujourd’hui, c’est 1 million à Auschwitz mais toujours pour 6 millions au total.
Les goyim doivent faire confiance aux rabbins quand il s’agit de compter leurs sous.
« Lorsque nous parlons de tragédie, lorsque nous parlons de troubles, lorsque nous parlons de guerre, de la paix et des moyens d’éviter nous devons garder en tête un puissant outil: la peur« , souligne dans un entretien à l’AFP, Moshe Kantor, fondateur du World Holocaust Forum.
Si la peur de l’autre alimente l’antisémitisme jusqu’à pousser à la violence, la « peur » d’une nouvelle tragédie, elle, doit être mobilisée pour éduquer la population et les plus jeunes générations.
« L’histoire (que nous racontons) doit être effrayante, car les humains doivent être effrayés, intensément, pour ne pas que l’histoire se répète et c’est notre mission: effrayer« , estime M. Kantor, le milliardaire russo-israélien au physique lui donnant des airs d’Alfred Hitchcock.
Plutôt des airs de financier juif.
En tout cas, le programme est clair.
Les juifs rassemblent leurs états vassaux pour mettre au point une campagne de terreur contre les jeunes générations à base « d’histoires effrayantes ».
C’est innovant.
Je suis sûr que ça va marcher cette fois.
Cette réunion au sommet à Jérusalem, avec 40 états représentés, vise donc à amplifier de manière spectaculaire le terrorisme d’état contre les goyim.
Apparemment, les juifs veulent en faire plus – si d’aventure c’est seulement possible – car ils sentent que de plus en plus de goyim décrochent.
C’est-à-dire tous ceux qui sont nés après les Boomers.
La religion de l’Holocauste a toujours été un trip de Boomers. Les jeunes n’en ont rien à foutre. Au maximum, vous avez Tibo Inshape qui va à Auschwitz en mode, « putain, cette sèche est raide mais ça marche à fond ».
No joke.
Ces vampires veulent continuer à nous parasiter l’esprit indéfiniment pour nous faire les poches.
Mais c’est terminé.
Il y a 16 ans, lorsqu’il a commencé à réfléchir à la création d’un forum mondial pour commémorer la Shoah, « le problème de l’antisémitisme était microscopique », dit M. Kantor lors d’un entretien à Jérusalem.
Mais la crise financière de 2008/2009 a fragilisé, selon lui, les classes moyennes occidentales, qui agissaient comme « stabilisateurs » sociaux et ont donc contribué à l’émergence de « l’ultradroite » et de « l’ultragauche ».
La crise financière de 2008 ?
Attendez, je réfléchis à des noms.
La Banque « Dupont et frères, New York » ?
Non, plutôt (((Goldman Sachs))).
« La classe moyenne était liée par une idée importante: nos enfants auront une meilleure vie que la nôtre. Mais la crise financière et économique mondiale a mis fin à cette idée. La classe moyenne s’est polarisée, entre très riches et très pauvres, et a cessé de jouer son rôle de stabilisateur », dit M. Kantor, également président du Congrès juif européen.
Le milliardaire juif Kantor qui pleure sur les classes moyennes blanches européennes dévorées par ses congénères.
J’en pleure.
L’an dernier, le centre de recherche de l’Université de Tel-Aviv qui porte son nom a chiffré à près de 400 le nombre d’actes violents d’antisémitisme en 2018 à travers le monde, en hausse de 13%.
La montée de l’antisémitisme en Europe, par exemple contre des cimetières juifs en France, a contribué à la migration de Juifs européens vers Israël ou d’autres pays.
« Nous (Juifs) disparaissons en Europe à un rythme de 3% par an. Si cette tendance se maintient autour de 2050, nous allons disparaître complètement d’un continent où nous vivons depuis des milliers d’années. Nous devons donc changer cette tendance », lance-t-il.
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D’où l’intérêt de réunir des leaders européens à Jérusalem, qui fouleront la Terre Sainte alors que la classe politique israélienne se dirige vers de nouvelles élections, ce qui pose notamment la question de la tenue ou non d’entretiens bilatéraux avec Benjamin Netanyahu qui sera non seulement Premier ministre sortant mais candidat au scrutin du 2 mars.
L’Allemagne, ancienne puissance nazie, y sera représentée par son président, Frank-Walter Steinmeier, tandis que le président de la Pologne, pays alors sous occupation nazie et où était située le camp d’Auschwitz, a décliné l’invitation car les organisateurs de cette commémoration n’ont pas prévu de lui donner la parole.
Les cinq principaux discours seront réservés à la France (Emmanuel Macron), au Royaume-Uni (Prince Charles), à la Russie (Vladimir Poutine), aux Etats-Unis, pays alliés face à l’Allemagne nazie, et à Israël.
Après 75 ans à ramper devant ces juifs, à offrir des sous-marins et des milliards et des milliards de dollars à leur tyrannie militariste, les Allemands n’auront le droit que de se faire dégueuler dessus pour avoir osé défier la juiverie internationale.
En tout cas, cette bar mitzvah démontre par A+B que les juifs sont finis en Europe. Ce n’est plus qu’une mondanité conçue sur le modèle des Oscars.
Mais le peuple regarde ailleurs.
D’ici 2050, ces sales juifs auront disparu d’Europe.
Une fois les juifs hors d’Europe, peu importe les problèmes raciaux sur le continent, tout sera infiniment plus simple à résoudre. Nous n’aurons plus cette cinquième colonne de conspirateurs au coeur même de nos gouvernements pour nous persécuter.