La Rédaction
Démocratie Participative
25 septembre 2024
Ces femmes doivent à nouveau apprendre l’humilité et l’humilité des femmes ne s’acquiert que par la menace de l’usage de la violence masculine à tout instant
Aujourd’hui, la mémoire du héros Jérôme Gaillard était l’objet d’une ultime attaque vaginale lors d’un procès annexe concernant quatre Géorgiens.
C’est l’occasion de se rappeler de celui qui a fait le sacrifice ultime pour la cause des hommes.
Ce sera le seul procès auquel la famille de Magali Blandin aura droit. Il ne se tiendra pas devant une cour d’assises comme pour toutes les affaires de meurtre mais dans une banale salle du tribunal correctionnel de Rennes. Depuis la découverte du corps sans vie de cette mère de famille de 42 ans en mars 2021, les trois principaux suspects ont trouvé la mort, éteignant de fait les poursuites qui existaient à leur encontre. Huit mois après sa mise en examen pour le meurtre de sa femme, Jérôme Gaillard s’était suicidé en prison. En 2023, ce sont ses deux parents, un couple âgé de 73 et 76 ans qui, s’étaient donné la mort à leur domicile de La Turballe (Loire-Atlantique) où ils avaient emménagé quelques mois plus tôt.
Ce mardi, ce n’est donc pas le meurtre de Magali Blandin qui sera jugé mais l’escroquerie et la tentative d’extorsion dont Jérôme Gaillard avait été victime. Car avant d’assassiner son ex-femme, ce dernier avait payé 15.000 euros, aidé par ses parents, pour faire tuer Magali Blandin. Trois Géorgiens feront face à la justice dans cette affaire judiciaire d’une violence rare et qui a déjà fait quatre morts et quatre orphelins.
Magali Blandin était animée par une soif illimitée de destruction
« Si Magali était un problème, alors il fallait se débarrasser du problème. » Ces mots sont ceux de Giorgi Z. alias Gio. Ce Géorgien de 34 ans est soupçonné de non-dénonciation d’un crime, d’escroquerie et de tentative d’extorsion auprès de Jérôme Gaillard. Ce mardi, il sera jugé en compagnie de Severiani T., poursuivi pour tentative d’extorsion par menace, et Zaza P., accusé d’avoir détruit l’Opel dans laquelle le corps de Magali Blandin avait été transporté.
La mère de famille, qui avait quitté Jérôme Gaillard quelques mois plus tôt, avait été tuée à son nouveau domicile de Montfort-sur-Meu (Ille-et-Vilaine). Après plusieurs gardes à vue et des rebondissements, son mari avait reconnu l’avoir tuée en la frappant à coups de batte de base-ball avant d’emmener son corps et de l’enterrer dans un bois de Boisgervilly, à deux kilomètres de sa ferme.
Les médias ne cherchent aucune explication car il faudrait s’intéresser aux agissements de sa femme, Magali Blandin. Une telle discussion est proscrite dans une démocratie vaginale où les catins sont innocentes par principe.
Pire, quand elles sont coupables elles sont libérées sur ordre de l’État.
L’histoire qui nous est racontée commence donc avec l’exécution de cette femme.
Pourtant, en cherchant, on découvre que Magali Blandin avait elle-même admise des « violences » contre le père de ses quatre enfants. Elle avait mûri un projet diabolique : priver le père de tout contact avec eux, le plus jeune ayant 3 ans.
Face aux tribunaux familiaux, bras séculier de la vaginocratie d’état, Jérôme se savait condamné à l’avance. Contrairement à de nombreux hommes vaincus qui capitulent dans des conditions identiques, Jérôme Gaillard a décidé de reprendre des mains de l’État le droit naturel qui revient à tout homme : se faire justice en usant du droit ou de mort sur sa femme.
Ce droit de vie ou de mort est le plus ancien des droits, pilier de l’ordre social romain. Le Code Civil, l’oeuvre géniale de Napoléon, garantissait l’usage extensif de la violence physique contre les femmes qui faisaient preuve d’effronterie.
Le féminisme légal a donné naissance à l’État vaginal qui a non seulement criminalisé l’homme blanc, mais qui l’a castré par rééducation systématique, ouvrant la voie à la domination destructrice des femmes.
L’évolution de cet homme est remarquable. Un type contemporain dénué de volonté a progressivement redécouvert ses instincts naturels à mesure que sa garce de femme le tourmentait. Au début l’idée de régler le problème lui-même lui paraissait au dessus de ses forces et a cherché des hommes de main, étrangers de surcroît. Puis il a progressivement réalisé l’inévitable : si cette femme devait répondre de ses actes, il devait agir lui-même.
Cette idée est devenu le projet final d’une vie.
Les parents de Jérôme Gaillard l’ont aidé dans son entreprise de justice car ils avaient déjà perdu un fils, mort d’un suicide après un divorce identique dix ans plus tôt.
Cette fois-ci la Méduse devait avoir la tête tranchée.
L’usage de la batte de base-ball démontre l’intention patiemment réfléchie d’infliger une mort aussi violente que possible, contrepartie de mois d’humiliation et de sévices psychologiques rendus possibles par l’impunité dont bénéficient aujourd’hui les traînées.
S’il y a un malheur aujourd’hui, c’est bien l’absence de l’usage de la violence contre les femmes méchantes dans la loi et culture.
L’audace d’une femme doit être contenue par la force brute. C’est une vérité éternelle. Si l’État ne garantit par le droit des hommes, alors ils sont fondés à prendre les initiatives nécessaires pour s’assurer que justice leur soit rendue.
Comme ce fut la norme au 19e siècle en France, une femme ne doit pas pouvoir divorcer. Elle ne doit pas avoir d’autonomie légale. Elle doit être la priorité de son père, puis la propriété de son mari. En tant que telle, elle doit obéir à l’homme sans jamais le défier.
Sans le droit de vie ou de mort sur les femmes qui protège ce droit de propriété inaliénable, ces créatures vicieuses se révoltent contre l’homme et précipitent la ruine d’une société en quelques décennies. Sous l’effet de leur hypergamie, la promiscuité sexuelle explose, la natalité s’effondre, l’hiver démographique ravage le pays, prélude à l’invasion des peuples étrangers ayant conservé leurs qualités viriles.
Sur le temps long, c’est ce qui rend l’islam supérieur à n’importe quelle démocratie libérale contemporaine.
Jérôme est un héros, au sens plein du mot. Il s’est révolté contre une réalité qui devait l’écraser tragiquement, lui et ses enfants, mais c’est bien sa femme qui était à la racine du mal qui devait s’abattre.
Malgré tout, il a refusé le destin de créature soumise et misérable que le système lui réservait. Il a placé sa dignité au dessus de cette époque et a agi.
Cette étincelle de volonté illumine notre nuit actuelle.
Par son acte, ce héros a rappelé qu’il existe une limite qu’un homme peut se refuser de franchir et que le prix a payé pour la violer est la mort, le châtiment suprême.
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