Captain Harlock
Démocratie Participative
11 décembre 2021
Comme vous le savez, nous vivons en démocratie.
La démocratie est le nom que l’on donne d’ordinaire à un gouvernement contrôlé par les juifs. Parmi les prérogatives de ce genre de gouvernement figure l’interdiction faite à la population non-juive de parler librement des sujets historiques qui leur plaît.
La justice a condamné, ce vendredi, le directeur de publication de l’hebdomadaire d’extrême droite Rivarol, Jérôme Bourbon, à 8.000 euros d’amende, avec possibilité d’emprisonnement en cas de non-paiement, pour contestation de crime contre l’humanité et provocation à la haine envers les juifs.
Fabrice (dit Jérôme) Bourbon, 49 ans, a été condamné à 80 jours-amendes à 100 euros, pour des propos tenus dans une vidéo du 3 octobre 2020, publiée sur la chaîne YouTube de Rivarol, ensuite supprimée.
Il y commentait l’actualité et évoquait notamment la rafle du Vel d’Hiv, au cours de laquelle quelque 13.000 juifs ont été arrêtés les 16 et 17 juillet 1942 par des policiers et gendarmes français avant d’être rassemblés au Vélodrome d’Hiver pour être envoyés en camp de concentration. Jérôme Bourbon déclarait notamment : « Encore une fois je ne dis pas ça pour valider ce qui s’est passé, je dis simplement qu’on ment souvent par omission en disant finalement que c’était la lutte contre les Juifs etc. alors que le gouvernement français du maréchal Pétain s’est toujours opposé à ce qu’il y ait la moindre persécution ou atteinte quelconque aux juifs français ».
Dans son jugement, le tribunal le reconnaît coupable de négationnisme en soulignant entre autres qu’« affirmer la conviction que les juifs français ont été sauvés par le maréchal Pétain contient à la fois la négation de la participation de ce dernier à la politique d’extermination des juifs mené par le régime nazi (…) et de la mort des personnes qui ont succombé à ces exactions ».
Dans la même vidéo, Jérôme Bourbon abordait le mouvement des « gilets jaunes » et la pandémie de Covid-19, faisant allusion aux « assises financières, idéologiques » de la République et « ses lobbys », puis à la « question juive ». « Si on ne désigne pas l’ennemi, on manque à son devoir », disait-il.
Le prévenu reprend un « préjugé antisémite notoire » et présente les juifs comme un « ennemi » tout en parlant d’une « guerre à gagner », ce qui constitue une provocation à la haine et à la violence envers la communauté juive, juge le tribunal. Jérôme Bourbon a en revanche été relaxé des poursuites concernant un article de Rivarol du 2 septembre 2020, pour une question de procédure. Le parquet avait requis six mois d’emprisonnement avec sursis.
Jérôme Bourbon a été condamné une quinzaine de fois, en particulier pour provocation à la haine, contestation de crime contre l’humanité et injure raciste. En novembre 2020, il a été condamné à trois mois d’emprisonnement avec sursis et à des peines d’amendes pour des publications jugées antisémites.
Aucun Français n’a le droit d’exprimer son opinion sur un fait historique vieux de 80 ans, parce que les juifs l’interdisent.
Cette situation ubuesque devrait entraîner une véritable tempête de protestations. Au lieu de quoi, la totalité des médias s’enthousiasment pour ce procès en sorcellerie.
Ce n’est pas surprenant, la France est sous le joug complet des juifs.
Quant à l’histoire en elle-même, elle est d’une totale banalité. L’historien israélien Alain Michel dit exactement ce que dit Bourbon sur ce point précis, à savoir que l’attitude de Vichy vis-à-vis des juifs disposant de la citoyenneté française a consisté à éviter leur déportation, moyennant celle des juifs étrangers présents en France.
En quelque sorte, Vichy était si enjuivé que son administration avait recours à des trésors d’inventivité pour permettre à la juiverie à papiers français de continuer à détruire l’ordre social. Seuls les Allemands et quelques Français déterminés agissaient avec conséquence sur cette question.
Bourbon a donc malheureusement raison : Pétain et son gouvernement n’ont jamais fait autre chose que protéger la juiverie dite « naturalisée ».
Mais là aussi, il y a un privilège racial.
Encore une fois, nous vivons en démocratie, c’est-à-dire sous la tyrannie complète des juifs.
Les lois avec lesquelles les goyim sont persécutées ne s’appliquent évidemment pas au peuple élu.