Captain Harlock
Démocratie Participative
15 Juillet 2020
C’est encore au delà de tout ce à quoi les juifs nous avaient habitué.
Invité sur BFMTV, Jean-Luc Mélenchon a rappelé ce qui faisait historiquement consensus jusqu’ici à propos de la mort du Christ sur la croix. A savoir que Jésus a été exécuté sur ordre des autorités religieuses juives au terme d’une véritable émeute fomentée par les rabbins du Temple, à Jérusalem.
Immédiatement, la juiverie universelle s’est mise à pousser des cris de gens qu’on égorge.
Tous, sans exception, convulsent.
Même l’Église ne croit pas que Jésus a été crucifié « par ses propres compatriotes ». Mais M. Melenchon est condamne par ses propres paroles. https://t.co/L1OpTT0rub
— European Jewish Congress (@eurojewcong) July 15, 2020
That French Melenchon bloke that Momentum invited to their World Transformed event, well he prefers classical antisemitism, namely that Jews killed Jesus. https://t.co/IOWUiXpXxW
— Adam Langleben (@adamlangleben) July 15, 2020
Melenchon: à l’anti sionisme d’aujourd’hui s’ajoute l’antisemitisme d’hier « Jesus mis sur La Croix par ses compatriotes »
— arno klarsfeld (@arnoklarsfeld) July 15, 2020
« Je ne sais pas si Jesus était sur La Croix, je sais qui l’y a mis paraît-il, mais ce sont ses propres compatriotes » Jean Luc Melenchon au micro de BFM. Non, il n’entretient aucune ambiguïté avec l’antisémitisme. Les juifs auraient donc tué Jesus. Rien de neuf sous le soleil
— Sacha Ghozlan (@SachaGhozlan) July 15, 2020
J’ai du mal à croire que je lis ce que je suis en train de lire.
Comment peut-on nier que ce sont les compatriotes de Jésus qui ont exigé et obtenu sa mise à mort ? C’est le récit fidèle des Evangiles. Les témoins sont innombrables. C’est d’ailleurs à cette occasion que les juifs ont décidé d’adopter la démocratie afin de voter pour la mort du Christ et libérer un brigand nommé Barabbas.
Evangile selon Saint Matthieu, chapitre 27, versets 16-26 :
16 Il y avait alors un prisonnier bien connu, nommé Barabbas.
17 Les foules s’étant donc rassemblées, Pilate leur dit : « Qui voulez-vous que je vous relâche : Barabbas ? ou Jésus, appelé le Christ ? »
18 Il savait en effet que c’était par jalousie qu’on avait livré Jésus.
19 Tandis qu’il siégeait au tribunal, sa femme lui fit dire : « Ne te mêle pas de l’affaire de ce juste, car aujourd’hui j’ai beaucoup souffert en songe à cause de lui. »
20 Les grands prêtres et les anciens poussèrent les foules à réclamer Barabbas et à faire périr Jésus.21 Le gouverneur reprit : « Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche ? » Ils répondirent : « Barabbas ! »
22 Pilate leur dit : « Que ferai-je donc de Jésus appelé le Christ ? » Ils répondirent tous : « Qu’il soit crucifié ! »
23 Pilate demanda : « Quel mal a-t-il donc fait ? » Ils criaient encore plus fort : « Qu’il soit crucifié ! »
24 Pilate, voyant que ses efforts ne servaient à rien, sinon à augmenter le tumulte, prit de l’eau et se lava les mains devant la foule, en disant : « Je suis innocent du sang de cet homme : cela vous regarde ! »
25 Tout le peuple répondit : « Son sang, qu’il soit sur nous et sur nos enfants ! »
26 Alors, il leur relâcha Barabbas ; quant à Jésus, il le fit flageller, et il le livra pour qu’il soit crucifié.
Jésus a été capturé par les gardes juifs du Temple de Jérusalem avant d’être jugé en secret la même nuit par les rabbins qui ne tardent pas à le condamner à mort. Il est ensuite emmené chez Hérode Antipas, le chef juif de la Judée, qui se désintéresse du cas. Puis les juifs font emmener Jésus de Nazareth chez Pilate, ce dernier étant menacé par une meute de dizaines de milliers de juifs excités par les prêches furieux des rabbins. Pilate, craignant une insurrection générale, tente habilement de faire libérer le Christ en échange d’un criminel, Barabbas, pensant pouvoir faire appel au sens moral le plus élémentaire de la foule juive pour désamorcer la crise. En vain. Elle redouble de haine.
Pilate cède et ordonne d’obéir aux chefs juifs et de faire exécuter Jésus devant la gigantesque foule des juifs ivres de sang.
Mais en dépit de ces faits, les juifs sont catégoriques : Jésus n’a aucun rapport avec eux, ni de près ni de loin. S’il est mort assassiné à Jérusalem sur la pression d’une foule de juifs fanatisés par leurs rabbins, ils assurent n’être au courant de rien. Ils n’ont rien vu, ni entendu.
Mais que quiconque établisse un rapport entre un juif et les juifs qui l’ont tué, et il se voit aussitôt qualifié « d’antisémite » par une nuée hébraïque aussi furieuse que celle qui était en transe au pied du Golgotha.
La dernière folie de Mel Enchon « Je ne sais pas si Jesus était sur La Croix , je sais qui l’a mis , ce sont ses compatriotes » . Ainsi l’accusation du peuple déicide est reprise à l’instar de son mentor Chavez . Les romains blanchis et Vatican II annulé. Bolchofascisme fou. https://t.co/FuojQnMGIz
— G-William Goldnadel (@GWGoldnadel) July 15, 2020
Le culot phénoménal de ces juifs.
« C’est de la faute des Romains ! » Gilles-William Goldnadel, leader de la droite dure franco-française
J’aimerais que vous preniez le temps de réfléchir quelques minutes sur ce qui se passe sous nos yeux parce que c’est probablement un des exemples les plus outranciers de l’aplomb avec lequel les juifs peuvent mentir pour se défausser de leurs actes les plus inavouables. Ce qui rend le juif si haïssable, c’est que plus sa culpabilité est spectaculaire et visible de tous, plus il ment avec véhémence, invoquant les plus grands principes de la justice pour se dédouaner avant de se répandre en vomissures d’insultes contre les goyim, le visage tordu de douleur comme un possédé crache ses malédictions.
Il n’y a qu’une chose qui fasse souffrir le juif : c’est la vérité.
Ce que vous voyez là, c’est l’âme laide et noire des juifs telle qu’elle est réellement une fois soumise au tourment de la vérité. C’est celle qu’ils cherchent à dissimuler chaque jour alors qu’ils conspirent pour perdre le plus de goyim possible.
Le meurtre du Christ est le miroir qui leur donne à voir leur âme telle qu’elle est. Et la vision de ce spectacle d’épouvante les plonge dans l’effroi. Leur seule réponse consiste à accuser peu importe qui a osé leur tendre ce miroir et à réclamer son exécution.
Laissez-moi vous dire que 2,000 ans plus tard, le meurtre du Christ continue de hanter cette race de vipères. C’est le crime fondamental qui permet aux goyim de les placer en accusation, eux les accusateurs et les culpabilisateurs éternels de l’humanité. Ceux-là qui passent leurs vies à terroriser les goyim pour qu’ils se souviennent des moindres déconvenues rencontrées par la race élue, exigent l’amnésie la plus complète sur la cabale juive montée pour assassiner Jésus de Nazareth. C’est pourquoi cette fureur s’épanche de la sorte : ils veulent frapper d’interdiction le récit exact des textes chrétiens sur la mort du Christ qui a valeur de condamnation définitive pour la race juive.
Aucune race, même en s’y essayant pendant dix millénaires, ne pourra atteindre l’avilissement moral dans laquelle pourrit l’âme juive. Le dernier égorgeur maghrébin de la dernière prison de France est plus susceptible de faire preuve de moralité que cette race de démons prise en son entier.
C’est pourquoi nous devons rappeler sans cesse que les juifs ont assassiné le Christ. Seuls des démons ont pu assassiner un homme aussi droit et juste que Jésus de Nazareth.
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