« Je partira pa » : la terreur antiraciste s’effondre

La Rédaction
Démocratie Participative
27 juin 2024

 

Chez les sportifs, comme chez les artistes ou les généraux, il y a ce que l’on appelle le match, le concert ou la bataille de trop. C’est le moment où l’on bascule de la grandeur au grotesque parce qu’on est usé, has been.

Pour les organisations antiracistes (antiblanches), c’est la plainte de trop.

C’est tout ce qu’il ne fallait pas faire. Ces gens savent qu’il ne fallait pas le faire, mais l’idée que des millions de Blancs puissent écouter de la musique appelant au nettoyage ethnique en toute liberté les tétanise à un tel point qu’ils préfèrent y aller tout de même.

S’ils le font, ils perdent, s’ils ne le font pas, ils perdent.

C’est la rupture du barrage, le point d’inflexion décisif.

Les lois dites « antiracistes », en réalité antiblanches, devaient faire peur au quidam pour le dissuader de dire ce qu’il veut sur la question raciale et migratoire.

Ce sont les lois Pleven, Fabius-Gayssot, Lellouche, Taubira, Avia, etc.

Pendant très longtemps, seule une poignée de personnes était susceptible d’être poursuivie. Maintenant, ce sont des dizaines de milliers ou plus et ce n’est plus politiquement jouable. La terreur ne marche plus.

Maintenant l’antiracisme passe dans l’opinion pour bien pire que de la censure, il passe pour un instrument répressif de gens chiants.

C’est ce qui est arrivé à De Gaulle en Mai 68. Son régime usé et sans énergie était chiant.

Pour les juifs qui ont progressivement mis au point ces lois grâce à l’Affaire Dreyfus, c’est un Waterloo idéologique. Il ne faudra plus guère de temps avant qu’elles soient violemment rejetées par une grande partie de la population autochtone.

Avec la libération totale de la parole blanche, le système est à la veille d’un cataclysme. Des mots aux actes, il n’y a qu’un pas et le système le sait.

Culturellement, il existe trois blocs démographiques en France qui ne veulent plus s’adresser la parole, ni même cohabiter.

Les boomers macronistes, les bobos et leurs animaux de compagnie et les Blancs.

Ces trois catégories seront représentées à l’assemblée nationale d’ici le 8 juillet. Ils devront y coexister alors que tout, chez leurs électeurs, les pousse à s’éviter physiquement ou à en venir aux mains.

Je veux te tuer pour mettre des noirs dans ton village, sale Blanc, et je suis cliniquement en bonne santé 

Nous n’en sommes qu’au début.

On peut toujours réconcilier des gens qui ont des opinions différentes, même s’il faut plusieurs générations, tant qu’ils sont du même peuple, du même sang.

Aujourd’hui, des blocs raciaux et religieux imperméables se font face et ne veulent plus se voir, ni discuter, même pour la forme.

La gauche radicale que nous voyons en action est la dernière partie véritablement chrétienne de la population française, celle qui est en train de passer avec armes et bagages dans le camp du dernier abrahamisme encore doué de fanatisme avec le judaïsme : l’islam.

Qu’elle soit athée ne change rien à ses représentations mentales héritées des catacombes romaines.

La confrontation raciale est là, l’État s’affaiblit de jour en jour et ne maîtrise plus rien, ses dissolutions n’ont aucun effet sur l’opinion.

C’est la veille de la balkanisation généralisée du territoire.

Contre la censure

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