Jawad Abou Mélenchon al Andalousi convoqué devant le tribunal rabbinique pour rébellion

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
06 avril 2018

Jawad Abou Mélenchon al Andalousi est convoqué devant le tribunal rabbinique pour sédition, lèse-majesté et goyisme aggravé.

Huffington Post :

« Je ne peux laisser dire que le Crif ‘aurait une milice’; que cette milice ferait sa loi dans l’espace public et que cette loi et cette milice s’imposeraient à la police nationale « abandonnée de ses chefs' », écrit Francis Kalifat, sans mentionner une seule fois l’organisation dénoncée par Jean-Luc Mélenchon.

« Du reste le propos est imbécile. Car la prétendue ‘milice’ qui aurait expulsé Mélenchon et ses camarades aurait également, selon l’auteur, ‘provoqué la réintégration dans le cortège des dirigeants du FN’. Or, Jean-Luc Mélenchon ne peut sérieusement reprocher au Crif de l’avoir amalgamé au FN en ne souhaitant pas la présence de ces deux formations et dans le même temps, vitupérer contre une ‘milice du Crif’ qui aurait protégé Marine Le Pen », poursuit Francis Kalifat.

« Dans un pays où l’on tue des juifs, cette grande conscience républicaine explique doctement que la faute ultime reposerait sur les représentants de la communauté juive, aux premiers rangs desquelles le Crif. Je n’entends pas tolérer pareille abjection, comparable à celle qui fait porter à la femme violée la responsabilité de ce qu’elle a subi », prévient le président du Crif, qui exige des excuses de la part du leader de la France insoumise.

Plus exactement, la faute ultime repose sur les représentants de communauté juive qui ont importé en masse des arabes et des nègres musulmans.

François Kalifat, qui avait politisé cette marche blanche contre l’avis du fils de Mireille Knoll, menace de poursuivre Jean-Luc Mélenchon en cas d’absence d’excuses. « Je réclamerai justice à son encontre et un jugement sera rendu. Ce jugement, ne sera pas celui du Crif, de ses ‘milices’, d’une communauté ou d’un état étranger. Comme tous les autres jugements en France, il sera prononcé au nom de la République et du Peuple français », conclut Francis Kalifat.

Et comme cette république est dominée par les juifs, l’affaire est entendue.

Jean-Luc Mélenchon n’a pas tardé à réagir, et sa réponse risque de ne pas satisfaire le président du Crif. « Désavoué par l’opinion et officiellement par l’Assemblée nationale, le chef communautariste du Crif, monsieur Kalifat, demande des excuses. Incroyable arrogance ! », a tweeté le député de Marseille, dénonçant le « pitoyable esprit de revanche » de Francis Kalifat.

Mélenchon bascule clairement dans l’antisémitisme bougnoulique, poussant son avantage.

Il est clair que les juifs doivent désormais faire leurs valises au plus vite, pendant qu’ils ont encore le temps.