À VOIR : Japon, émeute de clandestins kurdes qui appellent à « tuer tous les Japonais »

La rédaction
Démocratie Participative
19 février 2024

 

Après avoir accepté un certain nombre d’allogènes kurdes, les Japonais découvrent la formidable nuisance que représente cette population.

Principalement accumulés dans la préfecture de Saitama, les Kurdes ont apporté avec eux les us et coutumes pour lesquels ils sont déjà si connus en Europe : toutes les activités criminelles possibles et imaginables pour financer leur organisation terroriste internationale, le PKK. On remarquera d’ailleurs que le PKK, d’obédience marxiste, bénéficie du soutien conjoint de Bernard-Henri Lévy et des Antifas.

Les chiens ne font pas des chats.

Si vous trouvez que les Turcs sont nuisibles, c’est que vous n’avez jamais croisé de Kurdes.

Le meneur local, un certain Vakkas Colak, est lui-même un adepte de l’organisation d’ultra-gauche PKK. Cette organisation est si criminelle que même le Kurdistan irakien refuse à ces gens d’y mettre les pieds.

Quand des patriotes japonais sont venus à Saitama récemment en soutien à la population assiégée par ces Kurdes, ils ont été accueillis par Colak et ses congénères au cri de « Que les Japonais meurent ! ».

Les Japonais, d’une patience proverbiale, sont en ébullition.

Souhaiter la mort du peuple qui les tolère à 10,000 kilomètres de leur bled semble la chose la plus naturelle du monde pour les Kurdes.

Ces gens ont pour principale passe-temps d’expliquer aux autochtones qu’ils sont des ultra-nationalistes – comme les Algériens en somme – tout en disant ne pas comprendre pourquoi le Japon n’est pas intégralement organisé autour d’eux – comme les Algériens, en somme.

Ils ont déjà organisé une base avancée localement et sont occupés à oblitérer toute trace de culture japonaise dans les parages. Au programme : chants à la gloire des opérations de terreur du PKK tribalo-communiste.

Le journaliste Ishii Takaaki, sans liens particuliers avec la droite nationaliste, suit la situation. Dans un article documenté, il revient sur le désastre migratoire local.

Selon lui, la population vit désormais dans la terreur face aux menées criminogènes des Kurdes qui vont des rixes aux assauts d’hôpitaux en passant par les fausses alertes au tremblement de terre, un fait qui suscite particulièrement l’indignation des habitants.

Un groupe de Kurdes a crié tard dans la nuit du 4 juillet au centre médical municipal de Kawaguchi. Ils se sont engagés dans une route étroite et ont interrompu le fonctionnement de l’hôpital régional d’urgence de 21 heures à 1 heure du matin. Les Kurdes sont invités à être très prudents. Ils sont très bruyants. Ils se prennent pour des patients à l’hôpital ? Nous voulons faire passer le mot pour faire connaître le problème !

Le signalement de cette situation auprès des autorités, fin 2023, a déclenché la fureur des Kurdes qui estiment que le Japon n’a qu’un problème : les Japonais. Ils sont depuis encore plus agressifs.

Les Kurdes zonent en bandes dans les parcs ou aux abords des gares, rôdent en voiture la nuit en dévisageant les passants d’un air patibulère. Autre habitude d’importation kurde, le saccage des toilettes publiques et le jet de déchets sur fond d’alcoolisation généralisée.

Si en France la destruction des toilettes publiques sont une norme culturelle bien établie et documentée, au Japon, c’est une révolution progressiste.

Ishii Takaaki, qui découvre les Kurdes au fil des mois, s’interroge, surpris de leur hostilité aux remontrances qui leur sont faites :

C’est comme s’il ne réalisait pas qu’il avait fait quelque chose de mal.

Il poursuit, contemplatif :

Les Kurdes ont tendance à mentir fréquemment.

Et ajoute :

Les Kurdes vivant au Japon agissent et pensent souvent d’une manière que les Japonais ne peuvent pas comprendre. 

Il apparaît que cette faune kurde est clandestine pour l’essentiel.

La droite nationaliste japonaise, assez réduite, est désormais sur la brèche, pour le plus grand déplaisir des Kurdes. Si ceux-ci organisent des meetings locaux à la gloire de leur organisation terroriste en Turquie, ils sont sidérés que des Japonais puissent se soucier de l’ordre qui règne dans leur propre pays.

D’où ces appels au génocide contre les Japonais.

Ce bordel n’est pas causé par des centaines de milliers de Kurdes. Quelques milliers d’entre eux ont suffi pour ruiner la paix et l’harmonie sociale, même si leur nombre augmente.

Leur ultra toxicité raciale est un euphémisme et c’est pour cela que tous les états du Moyen-Orient veulent éradiquer les Kurdes. Turcs, Iraniens, Arabes, tous, sans exception, voudraient en finir avec ce fléau.

Tous, sauf un. Israël.

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