Captain Harlock
Démocratie Participative
11 août 2018
Le juif Raphaël Enthoven a envoyé un message sans nuance aux Français de souche sur son compte Twitter : sa jubilation à l’idée de la destruction des Blancs en Europe, comparés à une souche morte.
En chemin, tout à l’heure, j’ai croisé @F_Desouche. pic.twitter.com/EvNhsghJ4p
— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) 8 août 2018
Les racines sont blanches parce qu’elles sont mortes
— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) 9 août 2018
J’ai pour ma part croisé les ancêtres des youpins Enthoven, père et fils.
Les bravades des juifs sont en général le signe le plus sûr que leur chute approche. La c’houtzpah hébraïque est ce qui a toujours perdu le juif à travers les époques, peu importe les peuples au sein desquels il se livrait à ses innombrables escroqueries.
Toujours, invariablement, le même scénario se répète.
Le continent européen est recouvert des ruines des juiveries jadis omnipotentes et insolentes qui, soudainement, furent foudroyées.
De grasses communautés organisées tiennent le haut du pavé, toisent les masses autochtones et se moquent d’elles et de leur naïveté, s’érigent en potentats, corrompent et menacent.
Elles en conçoivent rapidement un sentiment d’invincibilité.
Parfois, cette tyrannie dure des siècles et le juif croit qu’il a enfin établi une main mise éternelle sur le peuple qu’il étreint et étouffe, riant cyniquement des souffrances de sa victime. Il plante alors partout les marques insolentes de sa domination sans partage.
Et puis la malédiction divine frappe. Les juifs, soudainement, ne rient plus.
La victoire hitlérienne
Lorsque Hitler entra sur la scène politique allemande, l’Allemagne était entièrement et férocement contrôlée et exploitée par les juifs. Aussi bien de l’intérieur, grâce au système démocratique mis en coupe réglée par leurs partis, que de l’extérieur par le cartel bancaire sémitique international que protégeaient les troupes alliées. Pas un parti n’était contrôlé par eux, à l’exception du parti national-socialiste qui, jusqu’en 1928, n’était qu’une faction sans importance.
Leur nombre et leur proportion équivalaient à ceux de la France actuelle : plus d’un demi-million pour plus de 60 millions d’habitants.
Pendant la première décennie de l’engagement politique d’Adolf Hitler, les juifs se moquaient régulièrement de cet Autrichien exilé venu de nulle part comme de ces militants, des gaillards souvent chômeurs ou simples ouvriers, qu’ils pensaient stupides et incapables de déjouer les manoeuvres de ces juifs impudents confits d’intellectualisme.
La presse juive, certaine de sa toute-puissance, se déchaînait en campagnes d’injures et de démoralisation contre les nationaux-socialistes, Hitler en tête, qui n’avaient, en tout et pour tout, qu’un seul journal pour répliquer à ces attaques : le Völkischer Beobachter.
On mesure mal, aujourd’hui, la lutte héroïque que menèrent quelques poignées de Nationaux-socialistes dans des villes intégralement subjugées par la sociale-démocratie hébraïque tandis que leurs faubourgs étaient victimes de la terreur rouge.
Berlin, capitale du Reich, était sémitisée à outrance. Non seulement la lèpre bolchevique y régnait en maîtresse dans les zones d’habitation ouvrières, mais la pire vermine juive trônait sur le crime et la prostitution la plus repoussante tandis que la vie culturelle, économique et politique était entre les mains de gros israélites réchappés de tous les ghettos d’Europe orientale.
Pas plus qu’au Moyen-Âge il ne vint à l’esprit de ces juifs que la Providence mettrait sur leur chemin un caporal démobilisé n’ayant suivi aucune éducation supérieure : Adolf Hitler.
Edgar Feuchtwanger, qui vivait en Allemagne avant de devoir la fuir, était le fils d’un de ces journalistes juifs. Interrogé, il ne dit pas autre chose :
« Oui, je pense qu’ils [les juifs] pensaient que ce n’était qu’une phase temporaire, quelque chose qui finirait par passer. Quelque chose qui arrivait puis disparaîtrait, c’est ainsi qu’ils voyaient les choses. Le plus remarquable c’est que mon oncle, Lion, était dans le viseur de Hitler parce que, bien sûr, il l’avait caricaturé sous les traits de Rupert Kutzner dans sa nouvelle « Succès ». Mais Hitler ne savait pas que nous – mon père, moi, nos proches relations avec mon oncle – vivions juste près de chez lui. Je savais que c’était un homme dangereux. Qu’il n’était pas bon pour nous. Rien de bon ne pouvait venir de lui pour nous. Nous savions cela parfaitement. Mais nous n’avons pas réalisé que cela pourrait venir aussi vite.
Nous sommes passés devant la porte de chez Hitler juste quand il sortait et c’est le plus près que j’ai pu le voir. Evidemment, il ne savait pas qui nous étions et il m’a regardé plutôt gentiment et c’était tout. Je me souviens qu’il portait un chapeau ordinaire. Les gens dans la rue crièrent immédiatement, « Heil Hitler », mais il leva seulement un tout petit peu son chapeau puis entra dans sa voiture, c’était une voiture fermée. Plus tard évidemment, ce fut différent. Il y avait toujours trois voitures remplies de ses gardes du corps. Après, ses gardes du corps SS prirent l’appartement du bas de son immeuble et vous ne pouviez plus marcher en face de sa maison. Vous deviez marcher de l’autre côté de la rue.
Mon instituteur fut immédiatement un Nazi fanatique. Un de mes amis était très amical avec moi puis il cessa de l’être. La chose entière générait de plus en plus d’enthousiasme, aucun doute là dessus. Les gens étaient impressionnés par Hitler, aucun doute là dessus, surtout après qu’il ait conquis l’Autriche.
La tyrannie qu’exerçaient les juifs sur l’Allemagne leur semblait devoir durer perpétuellement, ce qui explique l’arrogance avec laquelle ils attaquaient les Nationaux-socialistes et les méprisaient.
Mais malgré les attaques de la presse, combinées celles de la police juive, notamment à Berlin, le fanatisme et la dureté des leaders vint à bout de tout. Josef Goebbels, malgré les vagues d’arrestation et les interdictions qui visaient le parti dans la région berlinoise à l’initiative de la juiverie parvint à briser non seulement la terreur rouge, mais encore la tyrannie juive sur la capitale.
Lorsque Hitler devint chancelier, ce fût la stupéfaction complète chez les juifs d’Allemagne. Mais la juiverie internationale, agissant exactement comme la juiverie d’Allemagne, crut pouvoir déclarer la guerre au peuple allemand révolté.
Hitler avait vu et étudié les méthodes utilisées par les communistes juifs, à Munich, et comment ils avaient livré la Bavière à la guerre civile en 1918-1919.
Il avait aussi soigneusement étudié la terreur judéo-bolchevique appliquée à la Russie et encore, peu avant sa prise du pouvoir, la sauvagerie avec laquelle les juifs éliminèrent des millions d’Ukrainiens.
L’arrogance des juifs fut, une nouvelle fois, la cause de leur évincement en Europe.
Hitler leur mit le contrat sous le nez.
Bien sûr, les juifs établis à l’extérieur du Reich, dans leur stupidité légendaire, riaient toujours.
Et puis, en 1941, les juifs cessèrent de rire.
Toute l’Europe, sans aucune exception, appuya la politique antisémite du Troisième Reich. Toutes les nations européennes communièrent, en quelques années seulement, dans cette nécessité historique d’affronter cette menace existentielle. De la France à l’Ukraine, des Pays Baltes à l’Italie, de la Roumanie à la Grèce.
Peu importe ce que proclament les juifs du résultat de la Seconde Guerre Mondiale : la base biologique du judéo-bolchevisme a été mortellement touchée.
Ce n’est que par le fragile équilibre existant aux USA qu’elle peut encore, superficiellement, influencer l’Europe grâce à ses deux bastions que sont la France et le Royaume-Uni.
Nous pouvons compter sur les juifs
L’arrogance de la juiverie sera toujours le meilleur allié du monde aryen. On peut faire confiance aux youtres pour savoir se rendre puants aux yeux de l’humanité entière.
Et désormais, grâce à l’internet, l’humanité peut s’informer, en temps réel, et engager la lutte globale contre les juifs.
Les rires de la hyène juive finissent toujours par s’effacer.
Toujours.