« J’ai plus rien, ils ont pendu mon chat » : un teufeur antifa médite sur le vivre ensemble après une furieuse attaque de Gitans

La Rédaction
Démocratie Participative
05 novembre 2024

 

Rave party chez les babos bretons.

Comment ça a commencé :

Comment ça se passe :

Après une longue nuit de labeur à voler moutons et cuivre, les Tziganes voulaient profiter d’une bonne journée de sommeil dans leurs roulottes.

RMC :

Une rave party a dégénéré à Brie, près de Rennes (Ille-et-Vilaine). Quelque 3.000 teufeurs s’étaient donné rendez-vous dans un bâtiment désaffecté. Un événement illégal, interdit par la préfecture et interrompu par l’intervention musclée de riverains, membres de la communauté des gens du voyage, gênés par le bruit.

Au total, 15 personnes ont été légèrement blessées, dont huit hospitalisées. Deux personnes ont été interpellées et placées en garde à vue.

“J’ai vu une trentaine de gens du voyage entrer dans mon camion, casser mon camion”, raconte Steven, qui était venu faire la fête. Dans son cou, sur son nez, les blessures des affrontements avec les riverains.

“J’ai plein de marques. Ils étaient vraiment énervés et moi, je leur disais que je n’avais rien fait”, indique-t-il.

Des affrontements qui ont duré une bonne partie de la nuit. Un des fêtards, qui veut rester anonyme, en est ressorti très choqué.

“On voyait les gens du voyage lancer des cailloux. C’était vraiment traumatisant”, confie-t-il.

Du côté des riverains, qui font également partie de la communauté des gens du voyage, on explique que la musique n’était pas l’unique raison de leur colère. Ils disent avoir découvert une seringue dans un des jardins.

Selon eux, leur intervention ne visait qu’à protéger leurs enfants. Vers 1h du matin, dimanche, les organisateurs ont décidé de couper la musique. Mais ce n’est qu’à l’aube que le calme est revenu sur le site.

C’est malheureux pour le chat, par contre on ne versera pas une larme sur ces crasseux complètement camés qui haïssent les patriotes blancs.

Soutien critique aux voleurs de poules face au péril sanitaire que représentent les crasseux antifascistes.

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