Captain Harlock
Démocratie Participative
01 novembre 2019
« Les bébés blancs doivent mourir pour que je retrouve le sommeil »
Ces vampires boivent le sang de bébés chrétiens pour vivre 100 ou 200 ans.
En voici la dernière preuve.
L’Italie a définitivement adopté cette semaine la création d’une commission parlementaire chargée de lutter contre les phénomènes d’intolérance, de racisme, d’antisémitisme et l’incitation à la haine et à la violence, une mesure portée par la sénatrice à vie et survivante de la Shoah, Liliana Segre.
Admirez cette grasse youpine de 89 ans, « survivante » des chambres à insecticide d’Adolf Hitler.
Elle a été nommée « sénatrice à vie » sur les deniers du peuple italien en 2018.
A peine entrée dans la bergerie, elle réussit l’exploit de mettre en place une commission parlementaire chargée de mener la guerre d’éradication biologique contre la population autochtone.
Et comme de juste, ces youpins présentent leur haine raciale antiblanche en « lutte contre la haine ».
L’inversion accusatoire typique de cette race de brigands.
La création de cette commission spéciale voulue par Liliana Segre (prononcer Segré, ndlr), 89 ans, a été adoptée mercredi lors d’un vote au Sénat par 151 voix pour et 98 abstentions, ces dernières correspondant à des élus issus des partis Forza Italia (centre droit), La Ligue (extrême droite) et Frères d’Italie (extrême droite).
Des élus de La Ligue ont notamment expliqué s’être abstenus parce le texte présenterait, à leurs yeux, des points pouvant porter atteinte à la liberté d’expression.
« Pouvant ».
C’est une opération terroriste juive au plus haut niveau. Pas une « possibilité ».
Il y a quelque jours, le patron de la Ligue et sénateur lui-même Matteo Salvini, avait anticipé cette prise de position assurant être « contre le racisme, la violence et l’antisémitisme, sans réserve, mais refuser les bâillons et les états policiers nous ramenant à Orwell ».
Je sais que Matteo Salvini est particulièrement soucieux de se montrer bienveillant avec la juiverie mais cela ne mène jamais nulle part.
Mais la gauche, ainsi que certains élus de Forza Italia, ont estimé que cette abstention sur un texte qui aurait dû fédérer l’ensemble de la classe politique était « une erreur ». Le chef du Parti démocrate (au pouvoir) Nicola Zingaretti l’a qualifiée « de honte de la part d’une droite pleine de haine, de rancoeur et de violence ».
Ce n’est jamais assez.
Ce ne sera jamais assez.
Composée de 25 parlementaires, la Commission « Segre » aura un rôle d’observation, d’étude et de contrôle des actes d’intolérance, de racisme et l’incitation à la haine et à la violence contre des individus ou des groupes sociaux sur la base de critères comme l’ethnie, la religion, l’orientation ou l’identité sexuelle.
Avant le 30 juin de chaque année, elle devra transmettre au gouvernement et aux deux chambres du parlement un rapport d’activité et pourra signaler des tels actes à la presse et aux responsables de sites internet, en demandant le retrait des contenus correspondants.
Née dans une famille juive en 1930 à Milan et déportée à Auschwitz en 1944 à l’âge de 13 ans, Liliana Segre avait dénoncé, au début de la législature, l’an passé, la résurgence de messages de haine et la diffusion accrue sur internet du « hate speech », le langage violent à l’égard des minorités.
Il y a quelques jours, le quotidien La Repubblica avait révélé que Mme Segre était la cible d’environ 200 messages et menaces antisémites sur internet chaque jour.
Les socialistes soutenus par la finance juive et Bruxelles pensent qu’en nommant cette « survivante de l’Indicible », cette véritable campagne de police politique passerait comme une lettre à la poste.
« MEURS, GOY ! »
Mais cette vieille youpine ne sèmera plus très longtemps la terreur en Italie.