Captain Harlock
Démocratie Participative
14 mai 2019
La presse juive est extatique après l’annonce par Facebook de la censure de 23 pages populistes majeures en Italie en pleine campagne électorale pour les Européennes.
La Croix :
Facebook a fermé 23 pages présentes sur son site véhiculant des fausses nouvelles et des contenus haineux, dont plus de la moitié soutenant les deux partis au gouvernement en Italie, a annoncé l’ONG de cybermilitantisme Avaaz.
« Facebook, une enquête d’Avaaz entraîne la fermeture de pages non officielles » de la Ligue (extrême droite) et du Mouvement 5 étoiles (M5S, antisystème), au pouvoir en Italie, a annoncé l’ONG dans un communiqué.
Au total, ces pages comptaient près de 2,5 millions d’abonnés, a précisé l’ONG.
Vous vous rappelez de l’énorme raffût qu’a fait pendant deux ans cette même presse juive au sujet de la fausse interférence russe dans les élections américaines ?
Facebook était accusé par le système politico-médiatique et financier d’avoir été manipulé par les Russes pour truquer l’élection présidentielle de 2016 en faveur de Trump.
Bien sûr, le fait que la totalité des médias occidentaux ait fait campagne contre Trump au même moment n’a jamais été qualifié « d’interférence » par ces mêmes médias.
La véritable interférence a consisté pour la presse juive à inventer cette histoire d’interférence pour discréditer Trump et son agenda politique originel.
Une étude menée aux USA par le Computational Propaganda Research Project a démontré que cette « interférence russe massive » sur Facebook a consisté à 1 post sur 23,000 en moyenne pour un budget global de 75,000 dollars. Soit 0,05% des 81 millions de dollars générés par Facebook en publicités sur la même période.
Curieusement, Facebook reçoit le feu vert de la part de ces médias pour interférer officiellement dans la campagne électorale européenne contre les deux partis gouvernant l’Italie.
La plus active s’intitulait « Nous voulons le Mouvement 5 étoiles au gouvernement ». Selon Avaaz, elle affirmait par exemple que l’écrivain italien antimafia Roberto Saviano a déclaré qu’il préfère « sauver des migrants que des victimes italiennes des tremblements de terre ». L’auteur de « Gomorra » n’a jamais dit cela et a été contraint de faire des démentis publics, a rappelé Avaaz.
En ce qui concerne la Ligue, la page la plus active publiait une vidéo qu’elle présentait comme montrant des migrants en train de détruire une voitures des carabiniers.
Cette vidéo, visualisée presque 10 millions de fois, est en fait une scène prise dans un film et la désinformation a été dénoncée mainte fois dans le passé, mais elle continue à être utilisée à des fins politiques.
« Tout cela représente l’énième preuve qu’il existe des réseaux qui partagent de la désinformation et de fausses informations dans le but de propager la haine et les divisions justement en vue des élections européennes », a affirmé Christoph Schott, directeur de campagne d’Avaaz.
Une vidéo. En effet, il fallait réagir en censurant tout ça rapidement.
D’ailleurs, il vaut la peine de rappeler que les médias juifs, eux, ne mentent jamais.
Ils n’iraient jamais truquer une élection présidentielle américaine en inventant des histoires d’interférence russe.
Ou dire qu’aucun terroriste ne s’infiltrent en Europe parmi les migrants.
Surtout pas au point de rectifier les titres des mois plus tard pour ne pas se faire gauler.
« Facebook a fait un bon travail en fermant ces pages mais le fait qu’une société multi-milliardaire soit obligée de s’appuyer sur une enquête financée (…) par Avaaz pour défendre la démocratie en Europe en dit long. Facebook doit faire davantage et doit le faire de toute urgence », a insisté M. Schott.
En avril, une enquête similaire d’Avaaz en Espagne avait conduit Facebook à fermer, peu avant les élections législatives, trois réseaux d’extrême droite avec un total de 17 pages et 1,4 million d’abonnés, selon le même communiqué.
Le fait qu’Avaaz soit financé par le milliardaire juif Soros qui veut nous recouvrir de migrants du tiers-monde n’a aucun lien avec cette campagne de censure continentale.
Ou qu’Avaaz soit tout simplement dirigé par Ricken Patel dont la mère est une juive britannique.
Ni le fait que Macron, cette lope arrogante anti-Salvini, vient de rencontrer le juif Zuckerberg pour coordonner cette même censure au niveau de l’UE.
Mystérieusement, quand les juifs interfèrent dans les affaires politiques européennes pour faire taire les peuples du continent, c’est démocratique.
C’est en tout cas ce qu’explique la presse juive.
Quoi qu’il en soit, vous pouvez méditer sur ce truc : si ces multinationales juives et l’UE n’hésitent plus à censurer sur le net des partis au pouvoir dans un pays comme l’Italie, qu’est-ce qui va les dissuader de boucler intégralement les réseaux sociaux en France dès lors que cela concernera le quidam ?
Bingo : rien.
Comme je le disais hier, tout ce qui ne sera pas capable d’opérer depuis le Dark Web sera écrasé et disparaîtra quand la situation sera jugée trop critique par les juifs.
Soutenez-nous.
Bitcoin : 3PsfrALruXZReEUifefL1PfVfWHAxTk5w9
Commenter l’article sur /dempart/