Captain Harlock
Démocratie Participative
28 mai 2018
Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans le mot « juif » ?
Voici comment fonctionne réellement la démocratie.
Luigi Di Maio, le chef de file du M5S, a déclaré vouloir la destitution du président. Celui-ci a bloqué la nomination d’un ministre eurosceptique, empêchant de fait la validation du gouvernement. Le Premier ministre désigné a même démissionné.
Le leader du Mouvement 5 étoiles (M5S) a annoncé le 27 mai vouloir la destitution du président italien Sergio Mattarella. En effet, Luigi Di Maio a déclaré, au cours d’un entretien téléphonique pour la télévision publique Rai, qu’il comptait invoquer l’article 90 de la Constitution italienne, permettant de mettre en accusation le chef de l’Etat pour «haute trahison» ou «atteinte à la Constitution».
Luigi Di Maio cherche donc à obtenir du Parlement la destitution du président Sergio Mattarella, après le refus de ce dernier de nommer un ministre proposé par le président du Conseil désigné Giuseppe Conte. «Nous étions à deux doigts de former un gouvernement mais nous avons été stoppés parce que, dans notre équipe, il y avait un ministre qui critiquait l’Union européenne», a déclaré Luigi Di Maio dans cette interview, en faisant référence à Paolo Savona, ouvertement eurocritique, que la coalition populiste M5S-Lega souhaitait voir investir le ministère des Finances. Or, le président italien Sergio Mattarella a refusé de valider le nom de Paolo Savona, ne souhaitant pas menacer l’Italie d’une sortie de la zone euro.
Le chef du gouvernement italien désigné, Giuseppe Conte, a quant à lui jeté l’éponge le 27 mai face à l’intransigeance de Sergio Mattarella. Cette action du président ouvre la voie à de possibles nouvelles élections et replonge l’Italie dans une crise politique.
L’Union Européenne est un synonyme pour dire « juifs ».
La finance juive internationale n’allait pas laisser les Italiens nommer un homme opposé à leur machine de pillage économique au ministère des Finances. C’est-à-dire en charge du coffre fort de l’Italie qui, jusqu’à présent, était en leurs mains.
La Banque Centrale est littéralement aux mains d’un shabbat goy de Goldman Sachs.
Donc, non.
Les gens pensaient que les juifs allaient dire, « d’accord Luigi, vous avez eu plus de votes, on vous rend votre pays ».
Et vous avez donc ce président italien même pas élu au suffrage universel qui a décidé de livrer le gouvernement de l’Italie à un mafieux du FMI, juste comme ça.
Le Président italien a nommé lundi Carlo Cottarelli, un ancien responsable du Fonds monétaire international (FMI), au poste de Premier ministre par intérim, chargé d’essayer de former un nouveau gouvernement de transition.
«Le Président Mattarella a reçu le docteur Cottarelli, auquel il a demandé de former un gouvernement», a annoncé aux journalistes le secrétaire général de la présidence, Ugo Zampetti.
Stupéfiant.
Les laquais de la finance juive ne cherchent même plus à faire semblant. Ils disent publiquement au peuple italien et à toute l’Europe que la démocratie est en effet une escroquerie sémitique de part en part. Les gens peuvent voter pour ce qu’ils veulent, c’est sans importance.
Quand vous couplez ça avec les chambres à gaz volantes d’Assad pour justifier des bombardements afin d’imposer ce concept de démocratie en Syrie, vous comprenez que tout, depuis 1945, est du même tonneau.
L’expansion infinie de la rapine financière juive.