Capitaine Harlock
Démocratie Participative
06 mars 2018
Je ne voyais pas l’urgence de commenter à chaud les élections en Italie donc j’ai attendu un peu avant d’essayer de voir, dans les grandes lignes, ce que l’on peut en conclure.
Ma conclusion est à peu près celle-ci : la machine de guerre juive qu’est l’UE se trouve en face d’une très sérieuse crise systémique.
Les élections législatives italiennes ont rendu, le 4 mars dernier, un verdict particulièrement anti-européen. À Bruxelles (Belgique), Valéry Lerouge évoque la réaction de la communauté européenne. « La réaction a été très tardive et surtout bien embarrassée. Finalement, la Comission Européenne s’est contentée de déclarer qu’elle faisait confiance à l’Italie pour former un gouvernement stable. En réalité, aux yeux de Bruxelles, le pire scénario s’est produit lors des élections du 4 mars dernier », estime-t-il.
Les électeurs italiens ont marqué un véritable rejet de l’Union européenne. Le journaliste poursuit : « D’abord, le parti de la Ligue, clairement europhobe, fait mieux que prévu et dépasse son allié plus modéré, Silvio Berlusconi. S’il y a coalition, il faudra tenir compte en majorité de la ligne très dure de la ligue du nord. Ensuite, le parti qui a fait campagne contre les migrants, celui des 5 étoiles, arrive en tête. Ses électeurs ont sanctionné le manque de solidarité de l’Union dans la crise migratoire. Enfin, l’Italie est ingouvernable pour quelques mois. Il s’agit de la troisième économie de l’Euro : autant dire que les réformes de l’Europe, poussées notamment par Emmanuel Macron, risquent d’en pâtir. »
Macron n’était certainement pas enchanté. Mais il a surtout l’air de sentir que cette histoire de négrification commence à devenir un vrai danger pour le maintien du système.
Cette histoire de paradis nègre et arabe ne va nulle part. Macron semble avoir à peu intégrer l’idée. Mais Macron est de toute façon l’otage des juifs comme Attali sans parler de cet état républicain totalement judéo-bolchevisé.
Donc Macron ne va pas commencer à sérieusement tenter de juguler l’invasion. Il va renvoyer 20,000 tziganes et albanais au lieu de 15,000 sous Hollande et ce sera à peu près tout.
Pour être au clair, ces partis populistes sont encore trop modérés quoiqu’en disent les médias juifs. Et en fait, ils sont uniquement amenés à se durcir sous l’impulsion du peuple italien et non l’inverse. Il est pratiquement certain que les Italiens, surtout les jeunes qui sont massivement au chômage, veulent une politique antisémite.
Ce que je veux dire par là, c’est qu’ils ne veulent sûrement pas que l’on continue de forcer le peuple italien à rembourser cette pile de (((dettes))) délirante à la finance juive qui contrôle cette organisation de recouvrement qu’est l’Union Européenne. Donc, les jeunes Italiens sont pour une politique financièrement antisémite même si les partis actuels préfèrent parler de « restructuration » et d’autres euphémismes.
Evidemment, ces juifs avaient déjà pris leur disposition en organisant l’invasion de l’Italie via des (((ONGs))) financées par de gros levantins comme le juif intergalactique Soros. Sans oublier le terroriste rouge du Vatican, Bergoglio. Tout ceci dans le but créer des bataillons d’électeurs nègres et arabes à la solde de la gauche, la plus favorable au projet juif en Europe.
Donc, la réaction anti-invasion est partagée par plus de la moitié des Italiens si l’on additionne la coalition menée par la Lega et le Mouvement 5 étoiles et ce n’était pas du tout ce qu’espérait la juiverie et ses laquais démocrates.
Que 75% du peuple italien soit désormais acquis, consciemment ou inconsciemment, à l’idée du nettoyage ethnique de l’Italie éloigne le spectre de la démagogie marxiste que l’on a pu retrouver en Grèce avec Tsipras, le trotskiste de la banque juive, ou le sénateur du Grand Orient Mélenchon chez nous.
Cela démontre aussi que la campagne de terreur menée contre les patriotes italiens après le carnage nègre de Macerata où ces animaux ont tué une jeune fille lors de rites animistes n’a pas fonctionné. La propagande juive ne fonctionne plus. C’est terminé et ce n’est vraiment que le début.
La vermine communiste au service des juifs est vraiment en bout de piste.
Donc, si je prends la température, je dirai que la tendance est haussière pour nos idées, partout en Europe. Résolument.
Ensuite, pour les conséquences, je dirai que tout ce qui rend la machine de guerre juive qu’est l’UE inopérante est à prendre. Idéalement, une sorte de coalition se mettrait en place pour ne plus rembourser les juifs afin de rebâtir l’économie sur une base fasciste, c’est-à-dire populaire et raciste qui aboutirait à la purge totale des métèques et des exploiteurs internationaux.
Mais je crois que c’est encore trop tôt. Le peuple italien veut encore croire que l’on peut négocier ces deux choses avec des partis démocratiques plus durs. Ils vont en revenir.
L’Italie a besoin d’une version 2.0 du fascisme, avec un régime autoritaire et populaire qui détruise une fois pour toutes la démocratie, la gauche, la finance juive. Sans parler du fléau racial allogène.
Casapound a semble-t-il fait 0,7%. Ce n’est pas si mal si l’on intègre le fait que la Lega est très bien implanté sur le thème de l’immigration et que le M5S est assez récent. Mais j’aurais certainement voulu voir des députés fascistes à l’assemblée, comme en Grèce avec l’Aube Dorée. Au départ, l’Aube Dorée ne faisait pas plus que ces 0,7%.
Maintenant, l’Aube Dorée est à 10%. Et notez bien que nous ne sommes qu’au début de la guerre d’extermination avec les hordes musulmanes, notamment face à la Turquie.
Greece: Neo-fascist Golden Dawn (NI) at 4 year record high in Pulse RC poll: 10% (last election: 7.0%).
— Europe Elects (@EuropeElects) 5 mars 2018
Ces partis « populistes » ne sont vraiment que transitoires. Ils sont encore démocratiques et donc soumis aux juifs. Et les juifs vont rapidement leur faire sentir qui dirige l’Italie, qui tient l’économie de l’Italie.
Vous aurez toujours des politiciens pour vous faire miroiter la révolution sans la révolution, la libération du peuple sans douleur. Mais c’est faux.
Pour sauver l’Italie, une révolution fasciste est tout simplement inévitable. Sinon, la démocratie continuera de pourrir dans son jus et les juifs continueront de faire envahir le pays avec l’aide des marxistes et de la curaille rouge à la solde de Bergoglio. La démographie fera le reste et dans 50 ans, l’Italie sera une excroissance du Pakistan et du Soudan.