Captain Harlock
Démocratie Participative
22 Mai 2020
Des nouvelles du leader spirituel de l’Occident.
La semaine dernière, le pape a envoyé de l’argent à une petite communauté de transsexuels vivant à Torvaianica, dans le centre de l’Italie, selon les médias locaux et internationaux.
La communauté, dont beaucoup sont des prostitués, a connu des moments difficiles en raison de la perturbation de l’épidémie de coronavirus et a demandé l’aide financière de son curé local, le père Andrea Conocchi.
Le père Conocchi, curé de la paroisse de la Sainte Vierge de l’Immaculée, a fourni à ce groupe de 20 personnes des colis alimentaires de Caritas, l’organisation caritative catholique, mais n’a pas pu apporter une aide supplémentaire en raison de la situation financière difficile de sa paroisse. Il a conseillé à la communauté de demander l’aide directement au Pape.
Le padre doit régulièrement avoir recours aux services de ces travelos sidaïques.
En 2020, distinguer l’Eglise Catholique de la communauté LGBT est devenu très difficile. 80% des curés du Vatican sont homosexuels. Ce n’est plus vraiment contesté. Et il est notoire que nombre que des curés pédés, notamment en Italie, paient des migrants musulmans pour les enculer.
Dès réception de la demande, le pape a demandé à son aumônier, le cardinal Konrad Krajewski, de transférer l’argent directement au groupe. Krajewski a reçu le surnom de « Cardinal Robin des Bois » pour son soutien aux migrants et autres personnes marginalisées en Italie. En mai dernier, Krajewski s’est attiré les critiques du vice-premier ministre italien après avoir remis en service l’électricité d’un refuge pour migrants à Rome.
Le cardinal doit se faire livrer des jeunes éphèbes musulmans à son palais et tient donc à leur bien-être.
Plus récemment, le cardinal, nommé aumônier papal en 2013, a visité des congrégations religieuses souffrant sous l’impact du coronavirus.
Par l’intermédiaire de Krajewski, la communauté trans a envoyé des messages audio au pape : « Merci beaucoup au Pape François. Que Dieu vous bénisse, merci pour tout. Mille bénédictions. Que la Vierge vous protège ».
S’adressant au quotidien italien Il Fatto Quotidiano, le père Conocchi a déclaré que de nombreux membres de la communauté transgenre sont originaires d’Amérique du Sud et sont des fans du pape actuel. Bien que la plupart ne soient pas catholiques, plusieurs d’entre eux ont demandé au prêtre de bénir leurs objets ou de prier avec eux.
Ces adorateurs de la Pacha Mama avec des nichons et un service trois pièces adorent François.
Probablement parce qu’ils savent que François est lui-même un pratiquant assidu de la sodomie.
S’adressant à Reuters, le cardinal Krajewski a souligné que les membres de la communauté étaient très probablement des sans-papiers, les coupant du soutien de l’État pendant la période de fermeture. L’Italie a l’une des plus fortes populations de sans-papiers en Europe, certains experts estimant le nombre total de résidents dans le pays à plus d’un demi-million.
« Tout est fermé », a poursuivi M. Krajewski, 56 ans, « Ils n’ont pas de ressources. Ils sont allés voir le pasteur. Ils n’auraient pas pu aller voir un politicien ou un parlementaire. Et le pasteur est venu nous voir. » Envoyer de l’aide à la communauté, c’était simplement suivre l’Evangile, a souligné Krajewski : c’était, a-t-il dit, ce que Jésus aurait fait.
Jésus leur aurait peut-être donné un bol de soupe mais il les aurait aussi menacé des flammes de l’Enfer si ces hommes déguisés en femmes avaient continué à faire commerce de leur anus. Et je ne parle pas de Saint Paul, le premier militant homophobe de l’histoire. Ce dernier point n’a pas l’air d’effleurer la cervelle de cette prêtraille sodomite.
Ce n’est pas nouveau. Il y a 5 siècles, le pape Léon X adorait enculer de jeunes garçons de mille manières différentes. Aujourd’hui, plus un évêque en France, sauf exception, n’est hétérosexuel.
En même temps, qu’attendre d’une organisation qui interdit spécifiquement à ses cadres de se marier à des femmes ? Les orthodoxes sont de ce point de vue beaucoup plus avisés. Le premier effet est de limiter l’infiltration sodomite et de conjurer le danger pédophile.
L’objectif réel du « célibat des prêtres » n’était pas d’empêcher les curés de se livrer à de coupables passions, contrairement à ce que racontent les naïfs, mais d’empêcher que celles-ci ne soient fertiles et n’entraînent d’impossibles problèmes politiques et financiers. Car beaucoup de cadres de l’Eglise ont longtemps été issus de l’aristocratie, avec ce que cela suppose au plan patrimonial. La papauté a donc solutionné le problème en édifiant une société homosexuelle fermée.
D’un point de vue politique, c’était bien trouvé. En plus des énormes taxes prévelées sur les masses par tout ce qui portait une soutane, cela donnait un ciment tangible à une organisation qui autrement se serait rapidement défaite. Comme aujourd’hui, il existait une minorité homosexuelle invisible au potentiel politique considérable pour peu qu’on sache la recruter et l’organiser. C’est ce qu’a par exemple appliqué le prêtre mexicain fondateur des « Légions du Christ ».
A présent que le pédo-LGBTisme est un des piliers centraux de l’idéologie dominante, les curés sentent qu’ils peuvent enfin assumer à demi-mots leurs penchants pour les jeunes garçons. Le cardinal belge Josef de Kesel est par exemple un pédé ardent et un soutien sans faille au mariage des sodomites.
En 2020, si quelqu’un veut être sûr qu’un prêtre soit hétérosexuel, il doit chercher du côté des prêtres nègres que les évêques français importent par centaines. Ceux-là se contentent des Blanches qui leur tournent autour après la messe.
Je ne crois pas qu’on y gagne au change au vu du nombre de mulâtres que ces unions contre-nature doivent générer en secret.