La Rédaction
Démocratie Participative
03 septembre 2024
C’est ce qui s’appelle trouver chaussure à son pied.
Remix :
Un homme arrêté jeudi, soupçonné d’avoir poignardé à mort une Italienne qui se promenait le soir près de son domicile en juillet dernier, a avoué le meurtre, affirmant qu’il ne savait pas pourquoi il avait attaqué sa victime.
Moussa Sangare, citoyen italien de 31 ans né d’immigrants maliens, a admis avoir poignardé Sharon Verzeni, 33 ans, à quatre reprises dans une petite rue, Terno d’Isola, à Bergame, aux premières heures du 30 juillet de cette année.
Bergame
Sharon avait décidé de faire une promenade nocturne pendant que son compagnon dormait lorsqu’elle a été abordée par Sangare qui l’a poignardée trois fois dans le dos et une fois dans la poitrine – une attaque dont l’autopsie a révélé qu’elle avait été rapide et qu’elle n’avait pas eu le temps de réagir.
Alors que son agresseur prenait la fuite, Sharon a réussi à appeler les services d’urgence pour leur dire « Il m’a poignardée », mais elle est décédée peu après son transfert à l’hôpital.
Si Sharon n’avait été une femme blanche sournoise et indisciplinée, elle serait sagement restée à la maison auprès de son compagnon.
Mais la succube qui sommeillait en elle n’a pas pu s’empêcher d’écouter la voie du démon qui l’appelait.
Un démon noir.
Les autorités italiennes se sont particulièrement intéressées à l’identité d’un homme filmé par la télévision en circuit fermé, qui s’enfuyait à bicyclette des environs du lieu du crime.
Cet homme a ensuite été identifié comme étant Sangare, qui a été arrêté la semaine dernière et a reconnu le meurtre.
« Ce soir, au terme d’investigations très intenses, nous avons pu identifier l’homme à vélo qui, au cours de la nuit, a d’abord fait des déclarations spontanées, puis des aveux complets », a déclaré à la presse Maria Cristina Rota, procureur adjoint de Bergame.
Lors de son audition par la police, Sangare a affirmé avoir eu « une crise soudaine » qui l’a poussé à attaquer Sharon, une femme qu’il n’avait jamais rencontrée et qu’il ne connaissait pas.
« Je ne peux pas expliquer pourquoi c’est arrivé, je l’ai vue et je l’ai tuée », a déclaré Sangare à la police.
Toutefois, le parquet local a affirmé que le tueur avait quitté son domicile muni de quatre couteaux, ce qui l’a amené à penser que l’attaque avait été préméditée.
« Le but était évident, il voulait blesser quelqu’un », a déclaré M. Rota, qui a révélé que ses déclarations à la police ont permis de retrouver les vêtements qu’il portait ce soir-là, ainsi que plusieurs couteaux utilisés lors de l’attaque et, surtout, un autre couteau enterré près de la rivière Adda, que le procureur considère comme l’arme du crime.
« Nous le pensons sur la base de la longueur et de la largeur de la lame, qui sont compatibles avec les blessures constatées par le médecin légiste sur le corps », a déclaré le procureur adjoint aux journalistes.
L’enquête a également révélé que deux mineurs, âgés de 15 et 16 ans, avaient été menacés par Sangare avec un couteau quelques instants avant le meurtre. Rota a expliqué comment le tueur Sangare « a abandonné les deux jeunes et a ensuite rencontré Verzeni qui se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment ».
C’est plutôt ce nègre qui se trouve dans le mauvais pays, à la mauvaise époque.
Le suspect, d’origine malienne, vivait à cinq kilomètres seulement du lieu du crime, à Suisio. Il était sans emploi et n’avait pas de casier judiciaire.
Lors d’une perquisition à son domicile, les policiers ont trouvé un découpage en carton de la taille d’un être humain adulte, qui avait été utilisé comme planche d’entraînement pour lancer des couteaux.
À la suite des aveux, la famille de Sharon a fait part de son soulagement de savoir que le meurtrier avait été appréhendé et qu’il serait traduit en justice.
« Cette nouvelle nous soulage et balaie toutes les spéculations qui ont été faites sur la vie de Sharon », peut-on lire dans le communiqué.
L’avocat du tueur a suggéré l’existence d’une maladie psychiatrique qui, si elle était médicalement prouvée, pourrait permettre à Sangare d’éviter la prison et d’être envoyé dans un établissement psychiatrique.
« Il est très probable qu’il y ait un problème psychiatrique, même si c’est prématuré et qu’il s’agit d’un sujet qui devra être exploré plus en profondeur avec une consultation et une éventuelle demande d’avis d’expert, mais c’est un aspect très pertinent », a expliqué l’avocat Giacomo Maj.
Ce noir ne souffre d’aucun problème psychiatrique particulier.
Ou plutôt, il fonctionne aussi anormalement que n’importe quel nègre d’Afrique vivant en Europe.
Il voulait du sang blanc.
Il en rêvait la nuit, bouillant d’une sourde colère raciale que seule la vue du sang pouvait temporairement apaiser.
Son allure banale rappelle d’ailleurs que même les moins dangereux d’entre eux sont des tueurs de Blancs.
Ce qui distingue ce nègre en particulier, c’est qu’il est passé à l’acte seul.
Mais tous les nègres, sans exception, souffrent de la même soif de sang blanc. Un nègre, dans une société blanche, est une créature frappée de malédiction. Il se sait inférieur en tout, condamné à subir l’écrasante domination de l’homme blanc par sa seule proximité.
Pour un rappeur ou un footballeur surexposé sur Instagram, des millions d’entre eux croupissent en Europe dans l’anonymat.
Tuer des Blancs est le seul médicament qui se trouve à leur portée.
Si les nègres ne se ruent pas en masse sur les Blancs pour les tuer partout, c’est parce qu’ils savent les terribles conséquences qui s’en suivraient pour eux.
Ce qui rend timide le nègre est ce qui le rend audacieux : la masse de noirs par rapport au nombre de Blancs.
Haïti, le Zimbabwe et l’Afrique du Sud le prouvent.
Malgré tout ce qu’ils bavent à propos des Blancs, les nègres savent que l’homme blanc est une terrible machine à tuer. Ce n’est pas pour rien que cette créature stupide et geignarde parle de l’esclavage, de la colonisation et du racisme matin, midi et soir.
Ceux de ces noirs qui passent à l’acte sont des éléments particulièrement frustrés, mais certainement pas plus dangereux que le reste de leurs congénères.
La solution
La solution à ce problème est très simple et pourtant personne en Italie ne semble en avoir l’idée.
C’est une solution 100% nationale pour l’Italie.
La décimation romaine.
La décimation est un châtiment collectif employé par l’armée romaine, qui était appliqué lors d’une mutinerie ou de désertions répétées, et qui consistait en l’exécution d’un soldat coupable sur dix.
Une innovation est nécessaire.
Pour un Blanc assassiné par un nègre, il suffit d’en passer un sur dix par le fil de l’épée dans la ville concernée, en place publique.
Aucune explication supplémentaire n’est nécessaire.
Par cette méthode, l’ordre est restauré dans toute l’Italie en 48 heures.
Le seul obstacle sur l’adoption de ces mesures aussi pressantes que légitimes sont les traîtres à la peau blanche.
Il faut revenir aux solutions éprouvées.
Les gens de nos jours sont beaucoup trop obsédés par les armes à feu. Les états peuvent obtenir de grands résultats par l’usage de l’arme blanche à grande échelle.
L’arme blanche a un effet visuel plus spectaculaire et convient davantage à la psychologie primitive de la sous-humanité dont il est question.
Notez que ces singes devraient d’abord avoir les pieds, les mains, le nez, les oreilles et la langue tranchés avant d’être achevés. Mais si le crime est particulièrement grave, la mise à mort devrait être laissée à des meutes de chiens spécialement dressés à cet effet.
En un mot comme en cent, nous avons besoin d’instaurer une terreur raciale sans précédent en Europe par des moyens que même le dernier des nègres est capable d’appréhender.
Je rêve de remplir des arènes entières de cette façon.
Celles de Nîmes par exemple.
Imaginez ce qu’un artiste comme moi pourrait offrir aux foules assoiffées de justice.
Je ne voudrais pas terminer cet article sans avoir rappelé la culpabilité écrasante de l’Église catholique dans ce meurtre.
Sans cette armée de prêtres homosexuels dirigée par Bergoglio, l’Italie ne serait pas aussi ravagée racialement qu’elle l’est aujourd’hui.
Nous allons aussi devoir renouer avec l’époque où ces anarchistes étaient amenés à fréquenter les arènes en raison de leurs activités contre l’État et la paix civile.
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