Leutnant
Démocratie Participative
04 janvier 2018
L’audace de ces juifs est vraiment sans limite. Après avoir décrété un « embargo » contre les ministères autrichiens récemment pris en main par les nationalistes autrichiens pour cause « d’islamophobie », Israël a annoncé une chasse aux nègres inédite. Près de 40,000 africains vont être traqués.
Le départ ou la prison. C’est le choix consenti par Israël aux 38 000 clandestins recensés sur le territoire, selon l’AFP. Benjamin Netanyahu s’est félicité du lancement mercredi de ce projet de grande ampleur.
Ces sans-papiers, qui proviennent en majeure partie d’Érythrée et du Soudan, ont jusqu’à mars pour accepter le billet d’avion et la somme de 3000 euros qui leur est promise s’ils choisissent de partir. Passée la date limite, ceux qui refusent le départ seront emprisonnés pour une durée indéterminée.
Cette alternative est un compromis entre fermeté et ouverture. De fait, le gouvernement israélien, s’il souhaite l’expulsion de ces migrants illégaux, reconnaît tacitement le caractère criminel des régimes érythréens et soudanais : le président du Soudan Omar el-Béchir est recherché par la Cour pénale internationale pour crimes de guerre et génocide, tandis que l’Érythrée est accusée de crimes contre l’humanité « généralisés et systématiques » par l’ONU. Israël aurait ainsi passé accord avec les pays voisins de Rwanda et d’Ouganda pour accueillir certains ressortissants étrangers.
Selon les chiffres officiels, plus de 4 000 clandestins ont quitté Israël en 2017.
C’est encore les mêmes qui avaient menacé de faire s’effondrer la Création suite à la manifestation nationaliste de Charlottesville où le maire juif avait organisé un traquenard contre les patriotes américains.