Israël : des rabbins formant les futurs officiers de Tsahal affirment que les idées d’Hitler sont correctes à 100% mais que les goyim ne doivent pas le savoir

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 mai 2019

Cela explique probablement pourquoi les juifs veulent désespérément faire disparaître Démocratie Participative.

The Times of Israël :

Deux rabbins d’une académie religieuse pré-militaire dans une implantation en Cisjordanie ont été enregistrés, faisant des commentaires désobligeants et racistes sur les Arabes, défendant la vision du monde d’Adolf Hitler et encourageant ouvertement la suprématie juive.

Dans une série d’enregistrements non datés publiés lundi par la Treizième chaîne d’information, le rabbin Eliezer Kashtiel, directeur de l’Académie Bnei David à Eli, plaide pour réduire à l’esclavage les non-juifs « stupides et violents » du fait de leur infériorité génétique.

Vous avez ici un concentré de la véritable ligne politique juive.

Ces deux rabbins ne se sont pas vaguement égarés. Vous ne vous égarez pas quand vous êtes en charge de l’encadrement idéologique des futurs conscrits de l’armée juive issus des colonies défendues par le gouvernement de Netanyahou.

Ces deux rabbins sont parfaitement représentatifs.

« Tout autour de nous, nous sommes entourés de gens qui ont des problèmes génétiques. Demandez à un Arabe ordinaire : « Où voulez-vous vivre ? Il veut vivre sous occupation. Pourquoi ? Parce qu’ils ont des problèmes génétiques, ils ne savent pas comment diriger un pays, ils ne savent rien faire. Regardez-les ».

Dans son cours, Kashtiel poursuit en prônant le racisme contre les non-juifs.

« Oui, nous sommes racistes. Nous croyons au racisme… Il y a des races dans le monde et les peuples ont des caractéristiques génétiques, et cela nous oblige à essayer de les aider », a-t-il dit. « Les Juifs sont une race qui réussit mieux ».

L’enseignement diffusé par ces deux rabbins vise à donner une compréhension globale aux conscrits juifs qu’ils doivent préparer pour servir à l’armée.

Au quotidien, ces soldats seront au contact d’arabes et doivent savoir pourquoi ils font ce qu’ils font. Notamment pourquoi ils doivent, de temps à autre, les abattre.

L’argument central de ces rabbins est le suivant : l’armée juive est fondée à dominer les arabes parce que la race arabe est inférieure à la race juive.

Dans une autre vidéo de la Yeshiva Bnei David diffusée par la Treizième chaîne, le rabbin Giora Redler fait l’éloge de l’idéologie de Hitler pendant un cours sur la Shoah.

« Commençons par nous demander si Hitler avait raison ou non », a-t-il dit aux étudiants. « C’était la personne la plus correcte qu’il y ait jamais eu, et tout ce qu’il a dit était vrai… il était juste du mauvais côté. »

Ces juifs ne le reconnaissent certainement pas en public mais nombre d’entre eux savent qu’Adolf Hitler était un génie immense.

Probablement, le plus grand génie qui a jamais marché sur cette terre.

Croyez-vous qu’un homme qui combat les juifs, aime les enfants et les animaux soit le mal ?

Quand je pense que cet homme, la bonté même, a été persécuté par les juifs pour avoir voulu nous épargner les horreurs que nous connaissons, je ne peux surmonter la profonde nausée qui me vient qu’avec les plus grandes difficultés.

Le martyr d’Adolf Hitler sous les coups des juifs est un drame aussi terrible que la mort du Christ.

Quand les boomers seront finalement morts, ce saint sera progressivement reconnu pour ce qu’il est.

Et c’est tout le problème.

Le problème, pour ces juifs, n’est pas qu’Adolf Hitler ait fondamentalement raison ou qu’il soit l’homme qui ait approché, en politique, le plus près de la vérité. Le problème c’est qu’il avait compris, du fait de son génie, toute la nécessité de mener une guerre sans merci à la juiverie, faute de quoi le monde serait englouti dans les ténèbres.

Tout ce que vous entendez, quotidiennement, au sujet d’Adolf Hitler n’est qu’une somme de déjections juives ou d’esprits enjuivés, tantôt libéraux, tantôt marxistes, pour masquer cette vérité toute simple qu’énoncent ces rabbins : l’unique tort d’Adolf Hitler est d’avoir combattu la puissance juive internationale.

Enlever cet élément et Hitler serait aujourd’hui le Napoléon allemand, admiré publiquement malgré l’échec final.

Les juifs se laissent aller, de temps en temps, à dire la vérité sur Adolf Hitler. Comme au sujet de ce concept absurde d’holocauste.

Le fait même qu’un homme aussi extraordinaire soit toujours combattu au quotidien, 74 ans après sa mort, démontre à quel point il a ébranlé ce monde juif en seulement 12 années à la tête de l’Allemagne.

Ce n’est donc pas parce que le national-socialisme était erroné que les juifs l’ont combattu mais précisément parce qu’il était entièrement fondé sur la vérité : le racisme, la fraternité sociale et la lutte contre le juif, empoisonneur des peuples.

Et la vérité, pour ce peuple de menteurs et d’escrocs que sont ces hébreux, est la plus grande menace qui soit.

Les propos ont été largement condamnés par les députés de l’opposition, qui ont demandé le retrait de tout le financement public de l’académie d’Eli à la suite des déclarations de Kashtiel et Redler.

« Ce n’est pas du judaïsme, et ce ne sont pas nos valeurs », a déclaré le député Yair Lapid du parti Kakhol lavan dans un communiqué. « Les gens qui parlent ainsi ne sont pas dignes de s’appeler rabbins… l’État doit cesser de financer ce programme jusqu’à ce que les rabbins racistes soient expulsés. »

La présidente de Meretz, Tamar Zandberg, a envoyé une lettre au ministère de l’Éducation demandant que tout le financement de l’État soit coupé à la lumière du « chauvinisme, de l’homophobie et de la haine qui se dégagent de cette école ».

Ici, il ne faut pas se laisser égarer par ces soi-disantes « condamnations ».

D’abord, parce que ces juifs passent leur temps à se battre entre eux pour exploiter plus férocement la faction adverse durant leur marche commune vers la victoire finale.

La gauche juive – qui est vraiment à l’extrême-droite d’Orban – a simplement cherché à se redonner de la contenance face à la majorité en place. Rien que le petit jeu politicien habituel.

L’essentiel est ailleurs.

Peu importe la façon dont on évalue cet état juif, il s’agit d’un état raciste, militarisé, déterminé à imposer sa suprématie par la force en écrasant ses voisins par les armes. Y compris en soutenant des djihadistes au besoin.

Quand on interroge leurs officiers du renseignement, ils disent qu’ils soutiennent Al Qaeda au nom de la charité universelle.

C’est bien simple : tout ce que les juifs nous accusent de vouloir faire en Europe, ils le font chez eux.

Au décuple.

A commencer par leur mur de séparation.

En plus d’exécuter des arabes de temps à autre et de semer la mort et la destruction grâce à leur golem américain dont ils excitent le bellicisme depuis un siècle.

Ces mêmes juifs qui nous disent que cette Union Européenne bancaire qui est entre leurs mains est absolument indispensable car elle est édifiée sur le pacifisme.

Visiblement, ces juifs ne sont pas très pressés de recourir à ce pacifisme dont ils nous abreuvent dès lors qu’il s’agit pour eux de défendre leur race.

C’est au nom des intérêts supérieurs de la race juive que ces juifs ont poussé les USA dans la guerre contre l’Allemagne. C’est au nom de ces mêmes intérêts que les juifs ont entraîné les USA dans leurs guerres orientales.

Et c’est encore au nom de leur soif de domination que les juifs veulent que l’Amérique déclenche une guerre contre l’Iran.

Netanyahou, chantre de la démocratie universelle, a récemment rappelé qu’Israël était un état juif, fait pour et par les juifs et personne d’autre.

Quand on parle « d’état juif », on parle d’un état dont l’unité repose sur le socle biologique juif, garanti par la filiation du sang. Pas sur une vague idée « démocratique » passe-partout, à la différence des états occidentaux sémitisés, ouverts aux quatre vents et réservés aux goyim stupides.

Les juifs savent pertinemment que non seulement le racisme est une science aux implications politiques et géopolitiques mais que cette science doit rester la propriété exclusive de la juiverie.

Le juif, aussi libéral qu’il se présente, est un raciste féroce. Un apologiste de la suprématie hébraïque.

Quiconque combine science raciste et politique devra affronter sur le champ toute la force de la répression juive afin d’empêcher l’émergence d’un concurrent sérieux.

C’est aussi pour cela que la juiverie s’interdit de parler librement de ces questions dès lors que cela peut être découvert par des goyim : l’affaiblissement des nations blanches obtenu par l’arme de l’antiracisme serait remis en cause. Donc, tôt ou tard, leur parasitisme.

Si les actes de ces juifs sont ontologiquement guidés par le racisme le plus implacable, ils décrivent en revanche ces mêmes actes comme la meilleure garantie de leur adhésion à l’antiracisme. Dans le but de mystifier les goyim qui ne demandent, de par leur naïveté, qu’à être circonvenus.

Faites-le test : quand ces juifs abattent des arabes, c’est au nom des droits de l’homme et de la paix entre les peuples.

Après la diffusion de la vidéo lundi, Kashtiel et Redler ont admis avoir fait ces remarques dans un communiqué à la Treizième chaîne, mais ont affirmé que les propos avaient été sortis de leur contexte.

Kashtiel s’est dit « peiné » que son « cours sur les droits de l’homme » ait été mal interprété, en expliquant à la chaîne qu’il voulait dire exactement le contraire et qu’il appelait à « une responsabilité sociale et à se soucier des plus faibles ». Il a déclaré que ses références à l’esclavage et au racisme étaient une « interprétation ‘Socialist Modernism’ » de ces concepts.

Dans son cours, Redler a dit qu’il essayait simplement d’“expliquer la logique morbide d’Hitler” et a accusé les médias de « calomnie cynique » contre lui quelques jours avant Yom HaShoah.

Les rabbins qui enseignent à l’académie Eli – la coqueluche du camp sioniste religieux pour avoir propulsé des milliers d’officiers religieux à des postes de combat supérieurs dans l’armée israélienne – ont des antécédents de propos controversés et intolérants.

En 2016, le co-fondateur de l’académie Bnei David, Yigal Levinstein, a été enregistré en classe en traitant les homosexuels de « malades et pervers ». Dans une autre conférence cette année-là, Levinstein prétendait que le fait de recruter des femmes dans Tsahal les rendait « folles » et les éloignait de leur judéité.

L’autre cofondateur de Bnei David, le rabbin Eli Sadan, prêche contre l’éducation des femmes, affirmant que la pensée indépendante « neutralise leur aptitude la plus importante… de bâtir un foyer ».

L’année dernière, des vidéos ont fait surface d’un autre enseignant de Bnei David, le rabbin Yosef Kelner, qui donnait des cours sur les femmes « faibles d’esprit » et ayant une capacité réduite pour la spiritualité.

Ces rabbins connaissent leur affaire.

A mesure que la juiverie s’enkyste en Israël, elle se révèle. Donnez encore 20 ans à cet état et vous aurez l’équivalent du DAECH juif.

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