Captain Harlock
Démocratie Participative
22 février 2019
Les juifs ont raison sur une chose : l’antisionisme est de l’antisémitisme.
Aude Lancelin est à ce titre une efficace ambassadrice du combat contre le sémitisme dans les milieux gauchistes. D’autant qu’elle le fait en s’appuyant sur des juifs tellement juifs qu’ils refusent même, par dogmatisme cosmopolite, toute idée d’état national juif.
C’est ce qu’elle a fait récemment.
Les gauchistes habituellement se récrient en rappelant les triangles rouges, l’Affiche Rouge, etc.
Mais les gauchistes n’ont jamais compris et ne comprendront jamais les déterminismes bio-culturels. A commencer par ceux qui font la race juive.
Les juifs se foutent éperdument de leurs « explications » à prétention morales ou idéologiques.
Les causeries de Jean-Marie Le Pen avec Marie d’Herbais ont pris un sacré coup de jeune #antisemitisme https://t.co/vIpCVAKQj2
— Gilles CLAVREUL (@GillesClavreul) 21 février 2019
Mon tweet d’hier dénonçant le tweet abject de @LeMediaTV d’ @alancelin m’a valu insultes, diffamations et menaces. Heureux de constater que @RenaudDely fait la même analyse que moi sur ce qui constitue en effet « une terrifiante justification de l’antisémitisme ». https://t.co/wpMfJRRhiZ
— Haziza Frédéric (@frhaz) 22 février 2019
Le juif agit toujours par calcul. Rien n’est plus étranger au juif que la notion d’idéalisme désintéressé.
Les juifs « antisionistes » sont plus perfides encore que les autres. En dépit de leur opposition méthodologique, rien ne distingue un juif antisioniste d’un juif sioniste.
Le juif antisioniste craint que son congénère sioniste, avec ses bannières déployées, ne pèche par excès de confiance et n’éveille chez le goy endormi la méfiance puis l’hostilité.
Mais les deux sont d’accord : qu’il s’agisse de l’arabe ou de l’Européen, les deux doivent être étroitement surveillés et écrasés.
Le juif antisioniste est devenu archi-minoritaire parce que sa machine de guerre qu’était le marxisme international n’est pas parvenue à éradiquer préventivement les nationalités.
Le juif est d’autant plus sioniste de nos jours qu’il associe désormais étroitement son nationalisme israélien et son sans-frontiérisme libéral grâce à son infiltration de toutes les organisations occidentales.
Israël, égrégore de l’esprit perfide juif
Personne ne peut sérieusement contester qu’Israël est un état juif qui pratique une politique juive. C’est pour cette raison qu’il est massivement soutenu par une écrasante majorité de juifs.
Cet état a été conçu par les juifs pour être peuplé de juifs. C’est sa réalité raciale, biologique.
Ce n’est donc pas une surprise si cet état juif est la projection des juifs comme entité collective : il agit sans aucune forme de scrupule et utilise systématiquement le mensonge dont le double standard moral est la pierre d’angle.
L’état national de ces juifs qui prêchent la paix universelle hors de leurs frontières est doté d’une armée juive particulièrement féroce.
Ces juifs qui agressent sans cesse psychologiquement les peuples blancs avec leur litanie de contes pour enfants au sujet du Ghetto de Varsovie se déchaînent comme des démons sur le moindre arabe de Palestine avec un plaisir sadique qui nous rappelle l’origine sémitique de ce peuple.
Les mêmes viennent ensuite se payer la tête des goyim chrétiens qu’il est si facile de circonvenir avec quelques larmes.
C’est précisément pour cela qu’Israël est édifié sur la religion de l’holocauste et que tout chef d’état doit, pour prêter allégeance, s’enfoncer dans la grotte du Moloch.
L’attitude d’Israël comme état est conforme en tous points au profil psychologique juif à travers les âges et à ses méthodes pour escroquer les nations. De la destruction de la Perse à la conquête de la Russie tsariste par les génocidaires judéo-communistes, les juifs n’ont jamais varié.
Le bolchevisme est l’expression même du fanatisme impérialiste juif, de l’esprit religieux juif. Israël n’est pas tant un état juif que la tête de l’internationale juive. Sans la rançon des nations qu’organise la juiverie à la travers le monde, ce quartier général ne tiendrait pas.
L’état d’Israël, comme le juif, est un tyran geignard qui feint la faiblesse au moment précis où il écrase la gorge de sa victime sous son poing.
Avant de commettre un crime, il ne manque jamais de se présenter comme la victime expiatoire d’une humanité foncièrement cruelle.
Il suit une géopolitique juive dont l’axe stratégique consiste à alimenter le feu de la guerre civile, raciale et religieuse au Moyen-Orient. Le juif faisait de même en Europe grâce à l’internationale communiste.
Israël a armé Al Qaeda en Syrie tout en démarchant tous les états européens pour se présenter en bouclier universel contre le « djihadisme ».
Les juifs, en associant antisionisme et antisémitisme, nous rendent un grand service en déniaisant ces gauchistes blancs qui évoluent en dehors des réalités matérielles et raciales les plus évidentes : ils leur font comprendre que le globalisme juif et Israël ne sont que les deux faces d’une même médaille.
Et plus ces gauchistes blancs essaieront de dissocier les deux, plus les juifs se sentiront insultés et réagiront en redoublant d’attaques contre eux.