Insurrection raciale : Macron décide de jeter les flics sous le train et annonce une nouvelle pluie d’argent sur les banlieues ethniques

Captain Harlock
Démocratie Participative
08 Juin 2020

L’insurrection raciale négroïde est désormais active dans la plupart des démocraties ouest-européennes et c’est magnifique à voir.

Comme à Bruxelles en Belgique :

A Londres en Angleterre :

En Suède.

En Allemagne.

Avec les émeutes raciales de la semaine dernière à l’instigation d’Assa Traoré, Macron a décidé de lâcher les flics en reprenant la rhétorique des activistes noirs qui exigent le démantèlement de la police dans les zones de peuplement africain.

Le Huffington Post :

Il ne s’est pas encore exprimé. Mais selon des informations du Monde, du Parisien et de l’AFP, Emmanuel Macron s’est entretenu dimanche 7 juin avec le Premier ministre Édouard Philippe, et lui a demandé “d’accélérer” dans ses propositions pour répondre aux revendications exprimées lors des manifestations antiracistes survenues cette semaine en France.

Une « manifestation antiraciste » ressemble à ça, en France.

Aux Etats-Unis, la presse voit en revanche des émeutes raciales.

Apparemment, quand une bande de nègres incendie quelque chose aux Etats-Unis, c’est une « émeute raciale » mais quand une bande de nègre incendie quelque chose en France, c’est une « manifestation antiraciste ».

C’est peut-être à cause de la latitude et de la longitude.

L’onde de choc provoquée par la mort de George Floyd aux États-Unis a continué de se propager samedi en France où plus de 23.000 manifestants, selon le ministère de l’Intérieur, ont dénoncé les violences policières et réclamé “justice pour tous”.

Le Président de la République a enjoint au chef du gouvernement et aux membres du gouvernement concernés de s’emparer des différents volets du sujet: la déontologie policière mais aussi la politique de la ville et le racisme. Il a aussi demandé à la garde des Sceaux Nicole Belloubet de se pencher sur le dossier du décès en 2016 d’Adama Traoré, un jeune noir de 24 ans, lors d’une arrestation.

La « politique de la ville » est ce truc qui a consisté à déverser 100 milliards d’euros sur les zones de peuplement afro-maghrébin depuis 30 ans pour remercier les métèques de venir transformer les villes France en poubelles criminogènes du tiers-monde.

Comme Beaumont-sur-Oise, le fief de la tribu Traoré.

Macron estime qu’il faut en faire plus. Il pense aussi qu’il faut davantage lier les mains d’une police française qui a depuis longtemps abandonné l’idée de réprimer les banlieues ethniques.

Le chef de l’État a ainsi demandé à au ministre de l’Intérieur de faire le point sur les questions de déontologie policière et de mener à bien le travail qu’il avait réclamé en janvier au gouvernement pour “améliorer la déontologie” des forces de l’ordre, suite à la crise des gilets jaunes. Le ministre a convoqué une conférence de presse pour ce mardi 16h30.

Selon son entourage, le président de la République a également demandé à Christophe Castaner de faire le point sur les mesures envisagées après l’affaire de la boucle WhatsApp et des propos racistes proférés par des policiers sur les réseaux sociaux.

“Le président de la République a souhaité qu’on puisse accélérer sur ces choses pour donner à la police les mots d’ordre qu’il faut pour que ce qui peut parfois paraître constituer des dérapages ne se produisent pas”, a confirmé sur CNews le ministre chargé des relations avec le Parlement Marc Fesneau.

Imaginez ça : devoir subir des criminels nègres et arabes qui vous insultent à longueur de journée tandis que votre hiérarchie surveille le moindre de vos propos pour s’assurer que vous n’êtes pas raciste.

Selon l’Élysée, Emmanuel Macron s’est également entretenu avec le ministre de la Ville Julien Denormandie sur les dossiers concernant le racisme, les quartiers et la politique de la ville. Le président a par ailleurs consulté des élus, des représentants d’associations et des personnalités impliqués dans la politique de la ville.

Interrogé sur une éventuelle prise de parole du chef de l’État sur le sujet, réclamée par plusieurs leaders de l’opposition, Marc Fesneau a répondu que “le président s’exprimera s’il entend le faire et s’il lui paraît nécessaire de le faire”.

Macron agit ici en parfait démocrate. Il sait qu’en 2020, la quasi totalité de la « culture populaire » se résume à du rap négro-algéroïde produit en banlieue et que son « autorité morale » repose sur sa popularité auprès des noirs et des maghrébins. S’il défend les flics, Macron subira l’hostilité croissante des millions d’allogènes qui prennent leurs consignes chez Assa Traoré.

Les flics ont compris que personne ne les défendrait face aux hordes de nogres déchaînés.

Leurs syndicats en sont réduits à se lamenter du lâchage organisé.

On ne peut pas dire que Macron ait la reconnaissance du ventre. Après lui avoir sauvé la mise face aux Gilets Jaunes, la moindre des choses aurait été de soutenir les flics face aux insurgés négro-marxistes que commande le gang Traoré. Macron préfère les vendre à la découpe pour apaiser l’ogre nègre.

Je ne vois pas d’avenir pour cette police. La raison d’être d’une police est de défendre un état. Si cet état considère que la police fait partie du problème et non pas de la solution, les deux sont condamnés à s’effondrer ensemble.

Quelle police peut défendre un régime qui ne croit plus lui-même en son autorité ?

Mais ce n’est que l’écume des vagues. En réalité, toute espèce d’esprit a abandonné l’Etat lui-même, lessivé par un demi-siècle d’anarcho-freudisme et de submersion migratoire. L’absurde est devenu le nouveau paradigme.

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