Captain Harlock
Démocratie Participative
06 Juin 2020
Fort de ma prescience particulièrement aiguë, j’avais annoncé ici l’émergence d’un nouveau phénomène d’ampleur : l’antiracisme de droite.
Relire : Avec l’aide des racialistes allogènes, nous allons enterrer le dogme antiraciste des Boomers
En analysant cet inévitable phénomène, je disais notamment :
Cet autisme droitier va aller si loin qu’ils se donneront pour slogan, « c’est la gauche les vrais racistes ! ». Ces imbéciles pensant déborder les antiracistes avec des slogans antiracistes. Au bout d’un moment, ces demeurés finiront par s’en convaincre à force de le répéter et deviendront d’authentiques relais du discours antiraciste, culpabilisant encore davantage leur propre camp politique, c’est-à-dire la bourgeoisie blanche réactionnaire.
Avec l’accélération soudaine de la polarisation raciale que nous connaissons depuis une semaine, ce phénomène culturel droitier se développe à toute allure.
Je le confesse, un peu plus vite que je ne le prévoyais.
Nous savons tous ce que nous devons à la @PoliceNationale et à la @Gendarmerie et que les propos racistes tenus sur cette page #Facebook sont ultra-minoritaires.
Ils sont toutefois totalement inacceptables.
La défense de l’identité oui.
Le #racisme non !https://t.co/fFsfS8Ol9Z— Jean MESSIHA (@JeanMessiha) June 6, 2020
Noire américaine, Joséphine Baker choisira la France pour patrie et sera naturalisée française en 1937.
En 1940, au lieu de repartir aux USA, elle s’engage dans la Résistance pour défendre son pays contre les Nazis
Qu’en pensent les indigénistes et autres gauchistes racialistes ?— Jean MESSIHA (@JeanMessiha) June 5, 2020
Inutile de dire (((qui))) donne le ton de ce mouvement.
Comment l’antiracisme sélectif est-il l’héritier en extrême gauche ligne du racisme de l’extrême-droite d’hier.
Mon dernier article dans le @FigaroVox https://t.co/eILaGayRym— G-William Goldnadel (@GWGoldnadel) June 2, 2020
L’option qu’on vous laisse est donc la suivante : l’antiracisme mis en oeuvre avec l’aide de la coercition policière (antiracisme de droite) ou l’antiracisme sans l’aide des flics (version trotsko-indigéniste).
Pour les raisons que j’ai exposées dans un autre article, j’ai d’ores et déjà fait connaître ma préférence pour l’antiracisme associé au démantèlement de la police.
Relire : Le maire juif de Minneapolis annonce la dissolution de la police de la ville
Dans un monde occidental promis à devenir une dystopie négro-LGBT arqueboutée sur le génocide des Blancs comme politique d’état, le concept de « police » est obsolète. Bien sûr, les flics essaient de convaincre l’immense masse des créatures du tiers-monde qui nous submergent de leur bienveillance et même de leur utilité dans la lutte pour l’éradication des Blancs.
Un de leurs représentants, le Breton David Le Bars, s’est déclaré extrêmement désireux de se mettre à genoux devant Assa Traoré et ses milliers de coupeurs de route afin de lui prêter serment d’allégeance.
▶️ Pourquoi les policiers français n’ont-ils pas mis le genou à terre lors de la manifestation ? Les explications de David Le Bars, secrétaire général du syndicat des commissaires de la police nationale ? pic.twitter.com/jnLieHoumu
— RMC (@RMCinfo) June 3, 2020
La police accusée de racisme : « un complot médiatique et politique », dénonce le chef du syndicat des commissaireshttps://t.co/hlL7dz2KjI pic.twitter.com/Tev4hiTrur
— franceinfo (@franceinfo) June 5, 2020