Captain Harlock
Démocratie Participative
11 mai 2018
Nous avons deux ou trois choses à reprendre de l’extrême-gauche.
Le cinéaste français Jean-Luc Godard a rejoint des dizaines d’autres professionnels de l’industrie cinématographique française qui ont promis de boycotter un événement célébrant le cinéma israélien.
Godard, pionnier du cinéma de la Nouvelle Vague des années 1960 et marxiste avoué qui a déjà combattu des accusations d’antisémitisme, a ajouté son nom à une pétition du 4 mai appelant à un boycott de la saison France-Israël organisée par l’Institut français.
L’organisation gérée par l’Etat qui vise à promouvoir la culture française à l’étranger a programmé l’événement, qui aura lieu le mois prochain, en coopération avec des responsables du gouvernement israélien.
« Sous couvert de promouvoir le dialogue et l’échange », lit-on dans la pétition, « cette initiative est en réalité l’un des moyens mis en œuvre par le gouvernement israélien pour redorer le blason de l’Etat d’Israël, passablement terni par sa politique chaque jour plus dure à l’encontre des Palestiniens et son statut de start-up nation du sécuritaire ».
Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme a accusé mardi les cosignataires « de tenter de discriminer le seul Etat démocratique juif » tout en « restant aveugles, sourds et muets quand il s’agit de la culture antisémite palestinienne transmise par des théâtres, des cinémas, de la musique et qui est utilisée pour propager cette haine dans les écoles » en Cisjordanie et à Gaza.
Lorsque l’on parle de cinéma, en Occident, on parle par nature de cinéma juif ou sémitisé.
C’est grâce au cinéma que la juiverie a pu subvertir l’esprit européen.
Il est en effet souhaitable d’organiser le boycott d’Israël mais pour d’autres raisons que celles avancées par la gauche pro-palestinienne.
Ce n’est pas le sort de ces arabes qui légitime le principe du boycott de la colonie juive en Palestine. Ce sont les crimes dont se rendent coupables les juifs contre les peuples blancs depuis si longtemps, tant en Amérique du Nord qu’en Europe et partout où ils vivent.
La liste de ces crimes est sans fin. Qu’il s’agisse des actes terrifiants des juifs durant la tyrannie communiste en Russie et en Europe, le pillage de la Russie dans les années 90 par les oligarques hébraïques ayant entraîné la mort d’un nombre affolant de Russes, les guerres constamment alimentées par les juifs depuis lors, de la Tchétchénie au Kosovo en passant par la Syrie et la Libye.
Ceci pour ne rien dire du crime absolu que fût la destruction de l’Europe par la coalition sémitique américano-bolchevique, en 1945. Guerre juive qui coûta à la France près d’un demi-million de morts, notamment durant les bombardements anglo-américains sur les villes françaises désarmées.
Rappelons le rôle accablant des juifs dans la promotion de la destruction des Blancs par l’arme de l’immigration de masse, de la culpabilisation ou du métissage d’éradication.
Que dire enfin du procès permanent que la juiverie aux peuples blancs pour légitimer sa tyrannie ?
A défaut de pouvoir dans l’immédiat organiser le grand procès de la juiverie et l’expulsion des juifs d’Europe, l’asphyxie de la tête de la juiverie internationale au Proche-Orient est un expédient acceptable.
Ces terroristes juifs doivent commencer à sentir que l’heure de la justice approche.
Au surplus, le juif tirant habituellement profit de la division d’un pays pour ses propres besoins, le boycott anti-israélien offre l’opportunité de faire converger antisionisme et antisémitisme. Un moyen très réel de déstabiliser le leadership enjuivé de la gauche radicale organisée menée par Mélenchon.