Captain Harlock
Démocratie Participative
29 décembre 2018
Je hais les juifs en général mais je dois dire que ce youdi arrogant de Glucksmann avec ses manières de demi-pédé et son crâne grotesquement coiffé d’une poignée de cheveux de bédouin m’est physiquement insupportable.
Cette sale gueule est probablement le seul argument un tant soit peu solide dont disposent les juifs pour créditer cette histoire de chambre à gaz.
Et ce sale yid est occupé à faire ce que font les juifs depuis trois millénaires : conspirer.
Le Monde :
Parfois la magie de Noël opère même en politique. Juste avant les vacances, un drôle de déjeuner s’est tenu près de l’Assemblée nationale. Il devait être secret et réunissait quatre convives rarement ensemble : Jean-Luc Mélenchon, le chef de file de La France insoumise (LFI) ; Emmanuel Maurel, ancien socialiste devenu « insoumis » ; l’essayiste Raphaël Glucksmann et l’économiste Thomas Porcher, qui ont lancé avec Claire Nouvian, militante écologiste, le mouvement Place publique, qui veut notamment œuvrer à l’unité de la gauche pour les élections européennes de mai 2019.
« Unité à gauche » est nom de code pour dire « unité du judaïsme ».
Cette petite lope juive de Glucksmann, partisan de la guerre à outrance contre la race blanche, complote pour éviter que la juiverie ne perde le contrôle de la gauche radicale au profit des agitateurs marrons antisionistes.
Ce petit pédé juif prétentieux est de tous les coups du kahal.
On pouvait compter sur le frère trois points Mélenchon pour marcher dans cette combine hébraïque.
Un plan de table surprenant puisque les relations entre MM. Mélenchon et Glucksmann étaient jusqu’à présent à couteaux tirés. L’auteur des Enfants du vide (Allary éditions, 2018), qui a conseillé Benoît Hamon lors de la campagne présidentielle de 2017, représente une famille politique héritière de la deuxième gauche (décentralisatrice, pro-européenne et écologiste), qui diffère en plusieurs points du mouvement de M. Mélenchon qui se réclame du populisme de gauche et de l’écosocialisme. En revanche, M. Porcher, lui, ne cache pas avoir voté pour le candidat « insoumis » et a assuré dans un entretien au Monde que Place publique « ne s’inscrivait pas contre Jean-Luc Mélenchon ». De quoi détendre l’atmosphère.
D’ailleurs, la discussion autour de la table aurait été « conviviale, sympathique et bienveillante », l’ambiance « très détendue ». Au menu, pas d’accord secret pour une liste d’union (le sujet n’aurait pas été abordé) mais des débats de fond, sur la gauche, les « gilets jaunes », et l’Europe, histoire de souligner les divergences (notamment sur le rôle des pays de l’Est au sein de l’Union européenne) et les convergences entre ces deux gauches qui ne veulent pas être irréconciliables.
La seule perspective de discuter avec un youpin bisexuel qui zozotte comme cette tanche perfide de Glucksmann me donnerait la nausée.
Mélenchon, lui, a l’air très à l’aise dans ce genre de bassine de graisse levantine.
Pour la clique cosmopolite embusquée derrière Glucksmann, il s’agit de conjurer toute dérive populiste en France afin de redonner de l’oxygène à la juiverie.
Bref, de ramener la France Insoumise dans le marais sémitique puant de l’union des gauches, du pilpoul parlementaire, des négociations du souk jérusalémique de la démocratie.
Cette rencontre a eu lieu, en tout cas, dans un moment de doute à gauche, à un peu plus de cinq mois des élections européennes. Place publique veut être le catalyseur d’une liste d’union et rencontre tous les acteurs à cet effet. Pour l’instant, seul le PS semble vraiment intéressé par la démarche tandis que Génération.s de Benoît Hamon fait monter les enchères.
« Place judaïque » est une cabine téléphonique sans aucun militant. Uniquement des bobos sidaïques rameutés par le youdi Glucksmann.
Je ne comprends même pas comment LFI tolère le double jeu de Mélenchon.
LFI, quant à elle, a toujours été claire sur son refus des « soupes de logos » et de la stratégie d’union de la gauche, qu’elle estime non seulement dépassée mais surtout mortifère. Selon les « insoumis », il faut « fédérer le peuple », mener un combat contre « l’oligarchie » incarnée aujourd’hui par Emmanuel Macron. Deux visions divergentes, donc, mais qui n’empêchent pas de se parler.
Lol.
Bien sûr.
Je préfère encore Ruffin, malgré son air demeuré et ses théories absurdes au sujet de ses nègres de banlieues, que l’aigrefin Mélenchon.
Ce vieux machin approche des 70 ans et est déjà candidat pour 2022.
Avec le youpin sioniste Glucksmann dans l’ombre de ce type, les radicaux de la France Insoumise ont du soucis à se faire.
Je suppose que Mélenchon, du haut de ses 9% aux élections – inutiles – européennes, veut transiger en trempant son cul dans la piscine du judéo-socialisme dans l’espoir de gratter 2 ou 3% de plus.
Il doit être inquiet de ne plus pouvoir payer les dépenses de sa beurette algérienne.