Captain Harlock
Démocratie Participative
01 août 2020
Quelqu’un pourrait déjà pulvériser l’Union Européenne et Bruxelles ?
Merci.
L’Union européenne envoie un signal arc-en-ciel à la Pologne. La Commission européenne a rejeté les demandes de financement dans le cadre d’un programme de jumelage à six villes polonaises s’étant déclarées zones « sans LGBT » en raison de leur attitude envers les communautés lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, intersexes et queers (LGBTIQ), a confirmé mercredi 29 juillet 2020 un porte-parole de l’institution, Adalbert Jahnz, à l’agence Associated Press.
Ce programme de jumelage finance des activités visant à créer des liens entre les communautés de différents pays. Le montant maximum d’argent accordé aux projets présentés par les communes est de 25 000 €.
Certaines villes rurales de l’est de la Pologne se sont déclarées en 2019 zones sans idéologie LGBT. Ces prises de position n’ont certes pas de conséquences juridiques, mais ont choqué de nombreuses associations polonaises et dans le reste de l’Europe qui les ont considérées comme hautement discriminatoires.
En France, quelques communes sont jumelées avec des villes polonaises anti-LGBT. Mais certains jumelages sont en sommeil depuis longtemps. C’est le cas notamment de la ville de Nowa Deba qui n’a plus de relations avec la ville de Ploemeur dans le Morbihan depuis quelques années.
J’ignorais que Plœmeur était une ville séropositive.
Et puis j’ai regardé qui était le maire de cette ville, Ronan Loas.
Propos inacceptables du Président polonais à l’égard de la communauté #LGBT. D’une violence inouïe, c’est inexcusable malgré le contexte de la campagne électorale. Une pente glissante…
— Ronan Loas (@RonanLoas) June 15, 2020
Forte émotion à l’annonce du décès de Paweł Adamowicz, maire de #Gdansk. Connu pour son attachement aux valeurs progressistes, de liberté et de tolérance. Défenseur de la cause LGBT et des minorités dans une Pologne de plus en plus nationaliste et conservatrice…
— Ronan Loas (@RonanLoas) January 14, 2019
52 % des jeunes #LGBT+ ont déjà subi des injures ou des menaces en milieu scolaire
https://t.co/i680WcjuFO via @TETUmag— Ronan Loas (@RonanLoas) January 24, 2020
La crise sanitaire exacerbe les #violences conjugales, les violences contre les enfants, mais aussi contre les jeunes #LGBT+ qui sont confinées au sein de familles homophobes.
La mise en place d’un plan d’aide pendant le #confinement est une bonne nouvelle !#JeunesLGBTenDanger
— Ronan Loas (@RonanLoas) April 25, 2020
Le 17 mai, c’est la journée mondiale contre l’#homophobie et la transphobie, une journée annuelle de sensibilisation aux discriminations faites à l’égard des personnes LGBT 🏳️🌈
Liberté, Egalité, Fraternité, à nous d’agir pour la dignité humaine pic.twitter.com/0jTTSiwy8m
— Ronan Loas (@RonanLoas) May 17, 2020
34 députés français au Parlement européen se sont abstenus ou ont voté contre l’interdiction des « thérapies de conversion » visant la communauté LGBT. Je suis preneur d’explications car avec 435 voix pour, 109 contre et 70 absentions, l’amendement 8 a été adopté🏳️🌈🇪🇺
— Ronan Loas (@RonanLoas) March 4, 2018
Cette pédale qui avale le sperme saveur VIH par l’anus appartient au courant fondamentaliste LGBT. Vu sa gueule, le type doit être sous trithérapie depuis facilement dix ans.
Le regard lascif caractéristique du suceur de nœud
Typiquement, on reconnaît une grosse tantouze à son costard serré et aux montures de ses lunettes outrageusement épaisses. C’est une sorte de règle.Vous pouvez être sûr que cette fiotte a toujours du sperme séché sur sa barbe de trois jours.
Quoi qu’il en soit, cette fiotte radicalisée à décrété un embargo politique sur la ville polonaise avec laquelle Plœmeur est jumelée. Ce qui démontre par l’absurde que ces enculés sont de petites lopes hystériques qui ne cesseront leurs provocations que lorsque les hommes normaux, sans regard de race ou de religion, décideront de mettre un terme à leurs menées subversives.
En la matière, je suis pour un dialogue interculturel très poussé car la menace est planétaire.
Mardi soir, la commissaire européenne en charge du portefeuille à l’égalité, Helena Dalli, a tweeté que six demandes de jumelage de villes polonaises « ayant adopté des résolutions sur les zones franches LGBTI ou les droits de la famille ont été rejetées. » D’autres villes polonaises ont quant à elle obtenu ce financement.
Cette sanction intervient quelques jours après un sommet européen sur le prochain budget de l’UE qui a introduit la notion de respect des valeurs fondamentales et de l’état de droit par un pays pour pouvoir bénéficier des fonds européens.
Le commissaire européen en charge du portefeuille de la Justice, Didier Reynders, a également tweeté mardi soir que la discrimination de quelque nature que ce soit ne peut jamais être tolérée dans l’UE. Les valeurs de l’Union doivent être respectées dans tous les programmes financés par l’UE.
L’arrogance de l’UE a dépassé tout ce qui est humainement tolérable.
Elle alterne entre tweets sur le mythe de LOLocauste et homosexualité interraciale.
Freedom to love is freedom to live. 🏳️🌈
Every person in Europe is free to be who they are, live where they like, love who they want and aim as high as they want.
We will continue to push for a #UnionOfEquality.
— European Commission 🇪🇺 (@EU_Commission) July 31, 2020
Ces sales fiottes ont décrété que l’éjaculation anale mutuelle entre hommes séropositifs est l’un des principes cardinaux de toute organisation politique continentale et que les nations qui refusent de livrer leurs enfants à des pédophiles sodomites seront placées sous embargo.
Cela me convainc encore davantage de la nécessité de démanteler l’Union Européenne et de procéder à l’arrestation de tous les commissaires politiques qui travaillent pour cette organisation pédo-LGBT.
Le ministre polonais de la Justice, Zbigniew Ziobro, qui a récemment fait la Une des médias en Europe pour avoir demandé le retrait de son pays de la Convention d’Istanbul en faveur de la lutte contre les violences faites aux femmes, a qualifié la décision de rejet de non fondée et illégale et a exhorté le gouvernement à intervenir auprès de la Commission européenne pour l’annuler.
Le gouvernement ultraconservateur polonais du PiS (Droit et Justice – CRE) a fait des droits des homosexuels et des transgenres un argument politique lors de la dernière élection présidentielle. Pendant la campagne, le président réélu Andrzej Duda n’a cessé d’attiser la controverse en appuyant les attaques du PiS contre les droits des homosexuels et les valeurs occidentales. Il a comparé l’idéologie LGBT à une nouvelle forme de communisme et a promis d’interdire l’adoption aux couples homosexuels dans la constitution polonaise.
L’idéologie est officiellement une forme du communisme. Le mouvement LGBT a été fondé par des activistes juifs adeptes du freudo-marxisme.
Ne prenez pas ce que je dis pour argent comptant. Lisez par vous-même ce que disent les marxistes sur la question.
Il fut un temps où le mariage homosexuel était légalisé, où les personnes transgenres étaient autorisées à servir dans l’armée, où un homme ouvertement homosexuel était ministre des Affaires étrangères, où la discrimination était supprimée de la loi, et où changer de genre sur des documents officiels était une simple formalité administrative. Quel était cet endroit merveilleux ? Quand est-ce que de telles lois – qui sont allées plus loin que celles de n’importe quel pays moderne en termes de droits LGBT – ont été édictées ? Et plus important encore, pourquoi ces mêmes lois ne sont-elles pas en vigueur partout dans le monde aujourd’hui ? Sans surprise pour les marxistes, le pays en question était l’Union Soviétique et ces lois furent adoptées pendant la phase ascendante de la révolution, de 1917 à 1926, sous la direction de Lénine et de Trotsky. Également sans surprise, elles furent par la suite abrogées par la contre-révolution stalinienne qui foula aux pieds toutes les avancées sociales et politiques du bolchévisme.
Le président polonais se borne à énoncer un constat : le mouvement fondamentaliste LGBT est une des annexes de l’internationale judéo-marxiste. Mais ce faisant, il dévoile aux yeux des goyim la subversion en cours et menace de la faire échouer.
Ce qui explique les dénégations grotesques de la presse juive.
Le judaïsme, bacille de destruction des civilisations, agit naturellement comme un dissolvant culturel et sait d’instinct quelles sections d’un peuple agiter pour s’infiltrer jusqu’au sommet de l’appareil d’état de la nation qu’il veut contrôler et avilir. Les malades mentaux que sont les homosexuels représentent une de ces catégories d’auxiliaires idéales pour le prédateur juif. Il faut dire que les juifs, en raison de leurs propres pratiques, sont de grands amateurs d’homosexualité. La frontière entre judaïsme et homosexualité est pour le moins ténue et les juifs n’en font pas grand mystère.
Aucun peuple qui veut vivre dignement et résister à l’esclavage hébraïque ne peut faire l’économie d’une sauvage répression contre ces corrupteurs à la solde de la juiverie que sont les activistes de l’homo-sidaïsme et les lesbiennes hystériques. La moindre marque de faiblesse ou de magnanimité envers ces ennemis du peuple se convertit instantanément en catastrophe pour le bien de la nation.
Vous noterez que dans une démocratie, plus vous montez dans les strates de la société, plus la concentration d’homosexuels et de juifs s’accroît. Ce n’est pas le fruit du hasard mais la condition même du développement de cette lèpre qu’on appelle la démocratie juive dans une nation. Au stade ultime, la nation qui a contracté la démocratie finit par mourir d’épuisement et de dégénérescence.
Parmi les tâches qui incombent aux révolutionnaires voulant sauver leur pays de l’anéantissement, l’extirpation des homosexuels de l’appareil d’état est un impératif non-négociable.