La rédaction
Démocratie Participative
12 août 2022
La tendance était marquée, mais elle devient univoque : la France est plus noire que l’Algérie.
Abdalmalik Lahoulou, Oregon 2022
Bouanani, Oregon 2022
Slimane Moula, Oregon 2022
Wilfried Happio, Oregon 2022
Allégorie
Il est vrai que le peuple algérien affiche fièrement un taux de 20% de sang négroïde, mais il n’est pas uniformément réparti, tout particulièrement dans les villages berbères reculés où des restes de sang non-pollué par les sémites et les nègres perdurent.
Les Arabes, en conquérant l’Afrique du Nord, ont introduit dans la région leur vilaine habitude d’y vendre des nègres achetés à des tribus subsahariennes. Ce sont plus particulièrement les négresses ramenées par ces pillards lubriques qui ont fait souche sur place, si bien qu’une femme algérienne a typiquement 20% d’ADN provenant d’Afrique noire.
En Tunisie, ce chiffre effrayant atteint 30%.
Malgré cela, la France importe tellement de nègres depuis l’Afrique et à un rythme tellement rapide, que l’Algérie passe désormais pour un peuple susceptible d’être civilisé à côté de cet ancien pays de peuplement blanc.
Les Français en sont très fiers, pour la majeure partie d’entre eux.
L’inévitable nuit éternelle dans laquelle sombre un peuple génétique négrifié ne les dérange pas le moins du monde.
Même pas surenvahis.
Mais qu’est ce que tu racontes toi ?
Au Rassemblement National, on ne fait absolument aucune différence entre le Français « de souche » comme tu dis et le Français d’origine étrangère.
L’origine, la couleur de peau ou la religion n’a aucune importance.— Antho 🇫🇷 (@Disizz31) June 29, 2022
Ce qui les gène, c’est la fâcheuse tendance de l’islam à empêcher les femmes de porter des bikinis.