Captain Harlock
Démocratie Participative
23 juin 2018
Le niveau de stupidité de ces cafres est fascinant.
Grégory Paisley s’est fendu d’un commentaire pour le moins malheureux lors de la rencontre Nigeria-Islande, comptant pour la 2e journée de la Coupe du monde 2018. A l’antenne sur beIN Sports, aux côtés de Philippe Genin, l’ancien défenseur du PSG a réagi à une touche trop courte du milieu du terrain de Leicester, Wilfred Ndidi. « Il faut qu’il prenne du Banania », s’est amusé Paisley, qui trouvait que la remise en jeu du joueur des Super Eagles « manquait de puissance ».
La séquence a immédiatement fait réagir sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes trouvant la comparaison de Paisley assez douteuse. La marque Banania est régulièrement associée au colonialisme à cause de son slogan « Y’a bon Banania », inspiré d’une phrase d’un tirailleur sénégalais, qu’elle a été priée de retirer sur demande du Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP).
A la mi-temps, visiblement averti de la polémique naissante, l’ancien défenseur central s’est défendu de tout racisme. « J’ai dit Banania comme j’aurais pu dire Poulain, Benco ou Nesquik », a justifié Paisley avant d’ajouter que son « meilleur ami est sénégalais, Habib Beye ». Ce qui n’a pas forcément arrangé son cas. A la fin du match, Alexandre Ruiz, le présentateur vedette de beIN Sports, a présenté ses excuses, au nom de la chaîne.
Les nègres et les arabes ont vociféré sur Twitter.
Okay, donc Wilfred Ndidi du Nigéria rate sa touche et le commentateur de @beinsports_FR lui conseille de « manger du Banania ». Dans le plus grand des calmes. Elle est vraiment cool cette Coupe du Monde 1938 #NIGISL pic.twitter.com/rSaIK7P7kU
— Azzedine Fall (@AzzedineFall) 22 juin 2018
#CoupeDuMonde2018 : Il devrait «prendre du Banania», les propos racistes d’un commentateur pendant Islande-Nigeria choquent https://t.co/KixwpsEujO
— Parti des Indigènes (@PartiIndigenes) 23 juin 2018
Voici la photographie du suprémaciste blanc à l’origine de la remarque.
En regardant de plus près, vous pouvez devenir le phénotype islandais.
Le complexe d’infériorité raciale des ces tribus est tel que tout pour eux est prétexte à sortir les machettes.