La rédaction
Démocratie Participative
04 août 2023
Le Pays Basque souffre de trois maux : les boomers qui viennent s’y acheter des maisons, les bobos en visite et leurs animaux de compagnie que sont les nègres et les arabes.
Actu17 :
Les Fêtes de Bayonne ont, cette année, été marquées par un meurtre. Un homme de 46 ans, prénommé Patrice, a succombé à ses graves blessures ce jeudi après avoir été très violemment agressé par trois personnes huit jours auparavant, le 26 juillet.
Les circonstances de l’agression, qui a eu lieu aux alentours de 22h30 lors de la cérémonie d’ouverture des fêtes, sont choquantes. Patrice rentrait chez lui lorsqu’il a trouvé trois individus en train d’uriner devant son domicile, situé quai des Corsaires. Après leur avoir fait une remarque en leur demandant d’arrêter, ces trois hommes l’ont roué de coups, lui portant notamment un violent coup à la tête, puis ils se sont enfuis par la rue Marsan.
Les secours ont pris en charge Patrice dans un état grave. Souffrant d’une hémorragie cérébrale, il a été transporté à l’hôpital de Bayonne et placé dans le coma, mais malheureusement, il n’a pas survécu à ses blessures.
Le parquet de Bayonne a rapidement ouvert une enquête pour tentative de meurtre, qui a été requalifiée en meurtre, après l’annonce de la mort de Patrice. La police judiciaire est à la recherche des trois agresseurs et a lancé un appel à témoins ce jeudi. Les suspects sont décrits comme des hommes âgés de 20 à 25 ans, de corpulence musclée ou athlétique, avec des cheveux courts châtains ou bruns. Ils étaient torse nus et portaient des shorts blancs ou rouges lors de l’agression. Un portrait-robot de l’un des agresseurs, qui mesurerait entre 1,80 et 1,85m, a également été diffusé.
Je connais ce genre de profils.
#AppelATemoins | Suite à notre précédant appel à témoins, la police judiciaire ajoute des éléments dans la recherche concernant 3 individus.
Merci de votre aide, elle est précieuse. pic.twitter.com/kcbZVfjgOz— Police nationale 64 (@PoliceNat64) August 3, 2023
On appelle ça des bougnoules, pas des gens « châtains ».
Pas de panique cependant, il va y avoir une marche.
Les réactions à la mort de Patrice ont été nombreuses. Jean-René Etchegaray, le maire de Bayonne, a exprimé son soutien et son affection à la famille et aux proches de Patrice. De plus, un rassemblement a été organisé par les peñas, les cafetiers-restaurateurs bayonnais ainsi que le collectif des riverains, ce vendedi 4 août à 18 heures, sur la place de la mairie de Bayonne pour dénoncer les violences lors des fêtes.
Je ne sais pas pourquoi, mais les Blancs croient que les marches modifient la génétique des arabes.
Ce sont les nouvelles processions pour conjurer la peste. C’est aussi efficace.
Je suis de l’avis qu’il faut définitivement interdire les rassemblements de masse partout. 1,3 million de pékins, c’est délirant et ça draine inévitablement la diversité.
Qui peut même vouloir baigner dans une telle masse de viande transpirante ?
C’est de l’aliénation pure.
Les Basques se font dévorer par la massification du bordel festif. Ils finiront submergés par les boomers, les bobos parisiens et les métèques.
La fête, c’est l’opium du peuple.
Tout le monde se fout de tout, même d’une insurrection raciale en règle, parce que durant toute l’année le plébéien moyen rêve à ses trois semaines de vacances à se biturer au soleil. Peu lui importe tant qu’il peut s’éclater du 15 juillet au 15 août. C’est la petite lucarne de sa cellule. Tant qu’il a ce petit espoir, il accepte tout.
Fêtes médiévales, soirée de la saucisse, bal populaire, concert punk jazz, concours de miss bikini, l’été est un enfer avec ses immenses masses de zombies dégénérés qui s’agrègent partout pour faire la fête.
C’est l’obsession des veaux blancs : se divertir.
Finalement, je deviens écologiste radical. Mieux, Khmer Rouge. Baisser le niveau de vie de 80% aurait des vertus éducatives pour cette immonde populace suante qui ne pense qu’à s’éclater et ingurgiter de la mauvaise bière en pleine invasion générale.
Il faut beaucoup moins de pain et de jeux, rationner le populo absolument.
Tant qu’il sera possible de faire la fête, cette race dégénérera tandis que l’assaut général du tiers-monde se poursuivra.
Nous avons besoin d’une révolution culturelle de type maoïste.
Retour aux champs, le premier qui proteste sera fusillé comme contre-révolutionnaire.