Captain Harlock
Démocratie Participative
12 Juin 2020
Il est fascinant de voir comment Emmanuel Macron et Marine Le Pen condamnent exactement de la même façon le racialisme sans que personne ne prenne le temps de le relever.
Dans un article paru dans Le Monde ce jeudi 11 juin, le président estime que “l’ethnicisation de la question sociale” des discours tenus par les universitaires reviennent “à casser la République en deux”.
Un mois après le déconfinement, alors que la crise sanitaire n’est pas encore terminée, le gouvernement connaît désormais une importante mobilisation de la population pour dénoncer les violences policières racistes. Sujet sur lequel Emmanuel Macron, qui a prévu une allocution dimanche 14 juin, ne s’est pas encore exprimé. Pourtant, l’Elysée s’inquiéterait de ce mouvement, qui prend de plus en plus d’ampleur en France, et de “voir se lever un vent de révolte au sein de la jeunesse”, écrit Le Monde, dans un article publié ce 11 juin.
La jeunesse, fortement mobilisée dans le mouvement de protestations actuel, apparaît désormais au cœur des préoccupations du gouvernement. Du côté de Matignon, on redoute des débordements en vue du rassemblement prévu par le Comité Adama Traoré le 13 juin prochain, selon les informations du Monde. Le président a en revanche eu des mots durs envers les chercheur·es. Selon lui, “le monde universitaire a été coupable. Il a encouragé l’ethnicisation de la question sociale en pensant que c’était un bon filon. Or, le débouché ne peut être que sécessionniste. Cela revient à casser la République en deux”.
Sur ce, Marine Le Pen s’est épanchée à propos de la récente vidéo de Marion Maréchal (ex-Le Pen) au sujet des troubles raciaux actuels.
La présidente du RN Marine Le Pen a estimé jeudi que sa nièce et ancienne députée du parti Marion Maréchal était tombée dans le «piège» des «indigénistes» et des «racialistes» en affirmant qu’elle n’avait «pas à s’excuser en tant que blanche et en tant que Française» pour la mort de George Floyd et d’Adama Traoré.
«Se mettre sur un plan racial, c’est tomber dans un double piège. Celui des indigénistes, des racialistes, alors qu’il faut rester sur un plan républicain. C’est aussi tomber dans le piège de l’américanisation, alors que rien ne se construit, en France, en fonction de communautés», a-t-elle déclaré à BFMTV, assumant avoir une «différence d’approche» avec sa nièce. «Moi je préfère me positionner dans la défense de notre constitution qui refuse toute base de communautarisme», a ajouté Marine Le Pen.
Parce que bien évidemment, agiter le mantra « républicain » suffira à calmer les quelques 15 millions d’allogènes expansionnistes présents en France tandis que déjà plus de 40% de la totalité des naissances sont déjà non-blanches en France. Il suffira que Marine Le Pen invoque la constitution. Je suis convaincu. Assa Traoré, après avoir relu la constitution rentrera sûrement chez elle avec ses dizaines de milliers de miliciens nègres.
Les divagations de Marine Le Pen à propos du racialisme allégué de Marion Maréchal sont d’autant plus cocasses que cette dernière a qualifié dans sa récente vidéo le racialisme de « régression morale ». D’après cette trentenaire divorcée, le fait de ne pas croire à l’égalité entre les Blancs et les nègres à 70 de QI serait « immoral ». Cette déclaration n’est pas étonnante. Quand une femme ne comprend pas quelque chose, elle le moralise pour disqualifier le phénomène que son cerveau ne parvient pas à assimiler.
Le caractère biologiquement inassimilable des nègres n’a rien à voir avec quelque morale que ce soit, c’est une simple constatation empirique. La sortie de Marion Maréchal est révélatrice : cette bourgeoise considère, au diapason de l’ordre établi, que la race est un tabou moral. Comme le sexe au siècle dernier. En parler revient à rompre les conventions établies par les juifs. Ces gens entendent bien continuer à évoluer dans le cadre sémantique et idéologique dominant qui est expressément édifié sur la négation de la réalité raciale, réalité qui devient de plus en plus pressante en raison du bouleversement démographique induit par l’immigration de masse. C’est pourquoi la droite réactionnaire établie sera le dernier bastion de l’antiracisme, pas tant par adhésion que par lâcheté et opportunisme. Ceci dit, nous ne sommes pas tenus d’écouter les mots d’ordre de ces gens-là ou de perdre notre temps avec des bourgeois installés qui cherchent simplement à exploiter une rente dans l’espace que les juifs veulent bien leur laisser.
Nous avons tous beaucoup mieux à faire que de voter ou de prendre les rombières Le Pen au sérieux.
Ce qui m’amène à réagir au propos de Macron sur le « sécessionnisme » [racial]. Macron a mis le doigt sur le problème stratégique fondamental du système : conjurer le sort funeste de la Yougoslavie, de l’Afrique du Sud et du Liban tout en continuant d’importer des millions de sous-hommes depuis l’Afrique. Ce qui n’est rien d’autre que la quadrature du cercle.
Il est temps pour nous de travailler à des solutions concrètes.
Je suis pour ma part enthousiasmé par un projet qui, je l’espère, aura vocation à se matérialiser dans le futur. Je parle d’une ou plusieurs république(s) blanche(s) sur le territoire français. J’ai déjà évoqué le cas de l’expatriation, je n’y reviendrai donc pas et parlerai ici de cette perspective. Une république raciste de ce type a pour but de remédier à la question fondamentale de l’espace vital dont une race a besoin pour vivre et prospérer.
Bien sûr vous aurez toujours des gens qui voudront croire à ces histoires de République café-au-lait à la sauce Asselineau ou Philippot mais nul n’est tenu de s’intoxiquer avec ces stupidités hébraïques. Les récentes émeutes raciales en France consécutive à la mort de l’acteur porno noir George Floyd démontrent que les frontières des états démocratiques n’ont plus aucune espèce de signification, la négritude ne connaissant pas de limites géographiques. Pour ceux des Blancs un tant soit peu en phase avec la réalité, la seule option viable consiste à construire un état blanc dans la France post-française.
C’est, au minimum, une solution défensive incontournable.
Ce projet est de nature à plonger dans l’effroi la clique juive au pouvoir et avec elle, ces millions de parasites négro-communistes et mahométans qui dépendent de l’argent blanc pour vivre et nous cracher à la face.
Le sécessionnisme racial est donc la seule et unique solution. La solution finale, si vous préférez.
Comme c’est un projet nouveau, des tas de choses sont à discuter. A commencer par la localisation du territoire de cette (première) république blanche. J’utilise le mot république même si le mot état est tout aussi valable. Mais disons que le mot république permet d’aider les masses à visualiser le projet tout en récupérant un terme vénéré par la presse du système. Il va sans dire qu’une république blanche et raciste n’aurait rien de commun avec l’ignoble régime juif que nous avons sous les yeux. Ce serait son antithèse.
Vous aurez bien évidemment des gens qui énonceront la longue liste des obstacles pour décourager toute entreprise révolutionnaire. Il faut d’emblée réaffirmer que seule la volonté importe. Et puis, si l’on considère l’alternative – finir à feu doux dans le jus nègre -, tout paraît réalisable par comparaison. Des tas de choses décrétées impensables et impossibles se sont matérialisées. Il faut être prêts à penser l’impensable. Une république sécessionniste blanche est à bien des égards autrement plus réaliste que de croire à la fonctionnalité d’une France peuplée de nègres, d’algériens et de tziganes sous contrôle juif.
Bref, il faut commencer quelque part, avec un concept, et avancer.
Je considère avec intérêt la Bourgogne comme base territoriale de cette république blanche. Je suis particulièrement sensible à la nécessité de frontières avec des états voisins et la Suisse fédérale est à n’en pas douter un voisin qui offre quelques avantages, à commencer par la façon dont est structuré cet état.
Avec la réforme de 2015, l’ancien état bourguignon est déjà reconstitué.
Il va sans dire que des villes comme Dijon devront être purgées ethniquement de la lie qui y a été importée. Mais ce n’est pas réellement un problème. Ce qui compte, c’est de rassembler des Blancs qui sont conscients de ce qu’ils sont et de ce qu’ils doivent faire pour assurer leur survie comme groupe.
Si au terme de convulsions graves, une telle république raciste bourguignonne émergeait, elle serait en mesure de tenir en respect la basse humanité qui l’entourerait après un patient travail de construction étatique. Elle n’aurait pas de difficulté à aimanter le matériel aryen de qualité des régions avoisinantes.
Ce qui compte, c’est de stabiliser la situation politico-raciale grâce à des môles de résistance aryennes qui ensuite serviront de bases offensives.
Ce qui rend également pertinente la renaissance de la Bourgogne comme état, outre ses fondations historiques, c’est qu’elle a déjà existé en tant qu’état nordique.
Nous avons déjà un drapeau.
Et un palais gouvernemental.
J’ajoute que ce plan s’inscrit dans le projet plus large d’édification du IVe Reich en Europe et que cette république serait contrôlée par un ordre raciste secret.
Mais tout cela sera abordé ultérieurement.
Pour l’instant, il faut déjà que l’Idée avance dans la psychée collective et enflamme l’imaginaire de ceux qui sont susceptibles d’y être réceptifs. L’Idée d’une République raciste de Bourgogne, premier état blanc libre d’Europe en lutte pour la reconquête raciale. Voilà une cause pour laquelle il vaut la peine de se battre.
Il faut simplement donner une forme concrète au sécessionnisme blanc, un objet sur lequel il peut se fixer durablement.
Cela n’écarte pas la possibilité d’autres républiques blanches sur le territoire français. Tout ça est encore très neuf mais il faut bien commencer quelque part.
Ce mouvement bourguignon a un réel potentiel. Bien supérieur à celui des Zad ou de la zone autonome de Seattle.
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