Captain Harlock
Démocratie Participative
01 octobre 2021
Voici le témoignage récent d’un homme qui vient de découvrir l’hypergamie féminine, à la manière forte.
Reddit :
Je m’appelle David, j’ai 36 ans, et je ne sais pas quoi faire. Ma femme a demandé le divorce récemment et depuis que nous sommes séparés, je n’arrive plus à continuer. J’ai construit presque toute ma vie avec elle, et même si, c’est vrai que ces derniers temps, notre relation avait changé, je ne pensais pas qu’elle allait en finir. Nous avons eu quatre enfants, dont elle m’a laissé la garde, mais je ne sais pas si je suis capable de rester fort pour eux.
Nous nous sommes mariés jeunes et nous avons eu notre premier enfant jeunes, mais nous avions toujours réussi à nous en sortir. Au départ, c’était difficile, je terminais seulement mes études, mais elle avait un travail. Nous avons réussi à trouver un équilibre pour notre fille, et plus tard, nous avons eu deux autres enfants. Tout allait bien. Jamais je n’aurais pu penser épouser une femme aussi magnifique, intelligente et passionnante. Elle est ma première réelle relation.
Et, depuis plus d’un an, je sentais un changement, un froid entre nous. Elle me reprochait d’avoir pris du poids, de ne pas rapporter assez d’argent, elle a commencé à contrôler mes repas, mes fréquentations. J’ai essayé de discuter avec elle, mais elle m’ignorait. Alors j’ai essayé de nous réconcilier avec un petit séjour ensemble, rien que tous les deux. Sur le moment, ça avait marché, j’avais l’impression de la retrouver. Et avec ce séjour, elle est tombée enceinte à nouveau… C’était une surprise, mais je voyais ça comme une seconde chance. Au départ, je croyais qu’elle aussi, même si elle n’était finalement pas très à l’aise à l’idée d’avoir un nouveau bébé. Nous avons quand même eu ce nouvel enfant et après quelques mois, elle est partie. Je rentrais à la maison avec les enfants et ses affaires avaient disparu. Elle m’a ignoré pendant deux jours, j’étais mort d’inquiétude et je ne savais pas quoi dire aux enfants, avant de finalement me répondre pour me dire qu’elle était chez ses parents et qu’elle préparait les papiers de divorce. Ça m’a détruit… Elle a dit que je ne faisais pas assez d’efforts et après le divorce, j’ai appris qu’elle avait trouvé quelqu’un.
Je dois m’occuper de nos quatre enfants, qui ne comprennent pas tous la situation, alors que je ne suis même plus capable de m’occuper de moi-même. Je n’arrive plus à manger et dormir, je me sens mal tout le temps, j’ai des crises d’angoisse, des nausées, j’ai du mal à sortir du lit le matin, mais je le dois à mes enfants. Ma plus grande fille veut m’aider, mais je sais que ce n’est pas à elle de s’occuper de sa petite sœur, elle va devoir retourner à l’école. Mon premier fils, qui a sept ans, n’arrive plus à dormir seul et dort maintenant avec moi dans mon lit, ce qui ne l’empêche pas de faire des cauchemars très régulièrement. Heureusement, mon deuxième fils et la petite dernière sont plus calmes, mais ils ne comprennent pas la situation. Ils sont aussi perdus que moi… J’essaie de ne pas craquer devant eux, de rester à la hauteur, mais même quand mes parents viennent m’aider, je sais ce qu’ils pensent de moi… Je ne sais pas si je peux continuer de vivre comme ça, mes enfants ont besoin de moi mais j’ai peur de ne plus avoir la force de continuer dans ces conditions très longtemps… Est-ce que quelqu’un aurait des conseils ? N’importe quoi, je serai extrêmement reconnaissant. Je veux juste aller mieux pour eux. Je ne peux pas les abandonner.
Ce type est à genoux et son incompréhension de ce qui se passe l’oblige à une pénible analyse post mortem de sa relation avec son ex-femme. Le problème, c’est que la conclusion de ce mâle beta le mène invariablement sur un chemin où son égo est chaque jour un peu plus étrillé : je ne suis pas au niveau de ses attentes, mais c’est une pute.
Notre sujet continue d’ailleurs d’idéaliser son ex, intériorisant de la sorte ses attentes déçues.
Le soucis, c’est que cette nana a entamé un processus inverse à son sujet il y a déjà un moment et elle le lui a signifié très nettement il y a environ un an quand la situation lui apparaissait déjà intolérable. Une femme signifie à son partenaire entre 6 mois et un an à l’avance qu’elle va le quitter, de sorte que la séparation en elle-même n’est qu’une formalité qui paraît soudaine au mâle beta incapable de lire de ce que lui dit une femme.
Une femme est gouvernée par son hypergamie, sa stratégie reproductive héritée de l’évolution qui la pousse à choisir le meilleur partenaire pour avoir des enfants.
En plus d’être conditionnée par cette hypergamie, une femme est par ailleurs consciente que sa valeur sur le marché sexuel décroît avec le temps.
Comme le dit David, les deux se sont mariés jeunes et ont très vite eu des enfants. Arrivée au milieu de la trentaine, après quatre enfants, cette femme a conclu avec un très profond sentiment de dégout qu’elle avait « gâché ses meilleures années » et fait un très mauvais choix reproductif, asymétrie qui semble confirmée par les déclarations de David qui estime inversement avoir obtenu une femme pour mâle alpha tout en étant un mâle beta.
Après plus d’une décennie, le statut social de David ne convenait plus à sa femme, ce qu’elle lui a fait remarquer en lui reprochant son niveau de salaire insuffisant. En lui reprochant son poids, elle lui indiquait qu’elle ne le désirait plus sexuellement ou plus exactement qu’elle désirait un meilleur partenaire sexuel. Enfin, en essayant de gérer son cercle social, elle espérait sortir David d’un milieu qu’elle pensait être la cause de cette perte de valeur sexuelle.
C’est là que la vérité la plus dérangeante est apparue : en essayant de modeler son hamster beta en mâle alpha, sa nana a réalisé qu’une femme doit désirer appartenir au monde qu’un homme lui propose et vouloir en devenir complémentaire. Une femme rentre dans un cadre, elle ne détermine pas le cadre. Ce monde est celui de l’homme qui s’affirme et démontre sa compétence. David lui était satisfait de son rôle de pourvoyeur beta ayant réussi à pirater le processus de sélection hypergame d’une femme de valeur sexuellement supérieure.
Le pire qui puisse arriver à une femme est donc arrivé : conclure qu’elle s’est mal reproduite.
Sous la pression d’une frustration croissante, cette femme a décidé d’écouter son horloge biologique. Elle a coupé sans aucune pitié les liens avec son mari et surtout, fait particulièrement exceptionnel, elle lui a abandonné la garde des quatre enfants. L’explication que David cherche sans oser la trouver se trouve son nez et c’est ce que lui hurle son ex :
« Ces enfants sont une erreur, j’aurais pu faire mieux avec un mâle de meilleur qualité. Garde-les. »
La seule vue de ces enfants la renvoie à une impression intolérable de déchéance – l’échec de sa mission biologique sur terre – que seule la reproduction avec un meilleur mâle peut compenser au plan psychologique. Cette rupture radicale sous-entend la suite : avant que sa valeur sexuelle ne s’évapore totalement, cette femme entend avoir un ou deux enfants avec un mâle d’une plus grande valeur sexuelle pour effacer ce qu’elle identifie comme un mauvais choix reproductif.
Un homme trouve une telle réaction extrêmement brutale, mais elle n’est pas si étrange pour une femme. L’évolution a programmé les femmes pour s’adapter à de spectaculaires et rapides changements de leur environnement. Imaginez être exposé, sur des millénaires, à la perte d’un enfant, tué par des guerriers de tribus hostiles et les traumatismes que cela induit. La capacité des femmes à « éteindre » leurs émotions est bien supérieure à celle des hommes, ce qui leur permet de se réconcilier avec la réalité si leur survie en dépend.
C’est le syndrome du butin de guerre qui s’exprime à notre époque par le Syndrome de Stockholm en environnement racialement sinistré. Quand une femme dit « vous n’aurez pas ma haine » à ses violeurs afro-maghrébins (ou à des islamistes), elle veut dire « vous pouvez me prendre comme femme, j’accepte les nouvelles règles du jeu, en échange, vous m’épargnez, moi et ma future progéniture. » Quand un mâle beta dit « vous n’aurez pas ma haine » à des agresseurs extérieurs, les femmes comprennent « je vous autorise à vous reproduire avec ceux qui sont venus me tuer, moi et ma lignée. »
Ce genre de mâles beta est célébré par les femmes car ils les soulagent de leur crainte animale de subir des représailles en cas de basculement dans le camp ennemi.
Dans cette société vaginocratique, l’hypergamie doit pouvoir s’exprimer totalement, sans aucune entrave de la part du groupe lésé (masculin et blanc). Toute une gamme d’alternatives sont rendues possibles légalement, culturellement et techniquement pour les femmes qui veulent changer de chemin reproductif en cours de route sans que les hommes puissent intervenir.
Y compris en abandonnant quatre enfants au besoin pendant que le mâle beta se lamente sur Reddit à propos de sa « magnifique femme » qui l’a déjà totalement oublié seulement une minute après que l’encre du contrat de divorce a séché.
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