Captain Harlock
Démocratie Participative
09 janvier 2020
L’avantage quand vous courtisez agressivement les juifs sans avoir d’armée, c’est que vous pouvez appeler à faire leur guerre tout en sachant que jamais un de vos soldats ne devra mourir pour Israël.
C’est encore plus vrai quand vous n’avez pas d’argent et que vous êtes à vendre pour une bouchée de pain.
La Hongrie souhaite que la position européenne sur le conflit américano-iranien soit plus proche de celle d’Israël et des Etats-Unis, a déclaré jeudi le Premier ministre hongrois Viktor Orban.
« Je voudrais que la position européenne, qui n’est pas claire sur cette question iranienne, soit orientée vers la position israélo-américaine« , a déclaré M. Orban lors d’une conférence de presse.
Les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne se réunissent vendredi à Bruxelles pour discuter de la crise iranienne, en mettant l’accent sur l’apaisement des tensions entre Washington et Téhéran.
Les signaux d’accumulaient à propos d’Orban.
Comme sa rencontre de 2h30 en tête-à-tête avec Bernard-Henri Lévy, au printemps dernier, lors duquel ce dernier a pu longuement enchaîner les promesses et les menaces.
« Ecoute goy, tu as deux solutions. »
Un chef de gouvernement n’accorde jamais deux ou trois heures à quelqu’un, sauf à un autre chef d’état de premier plan.
C’est bien en tant que haut-représentant du Kahal que Bernard-Henri Lévy peut recevoir une telle audience. En fait, c’est Lévy qui a accordé une audience à Orban et non l’inverse.
Peu importe ce qui se passera au Moyen-Orient, en Europe seules la France et la Grande-Bretagne seront engagées en cas de conflit.
Pas la Hongrie.
En échange de son nouveau rôle de belliciste néo-conservateur, Orban espère détourner de lui la colère de Yahvé.
Quand Bernard-Henri Lévy s’est rendu à Budapest pour le compte de Soros il y a quelques mois, il a remis à Orban une série d’exigences à remplir pour donner de l’espace à « l’opposition » sous contrôle sémitique.
Comme par exemple ce « prédicateur chrétien » dont il était question récemment qui appelle à la croisade contre Orban.
On le reconnaît avec son immense barbe à poux blanche :
En organisant l’agitation intérieure, il s’agissait pour la juiverie internationale de faire monter la pression sur Orban pour qu’il commence à lâcher du leste.
Le but des juifs à terme est rien moins qu’un putsch à l’ukrainienne.
La pression commence donc à payer et d’abord dans un domaine où la Hongrie n’a aucune influence réelle : la grande politique internationale.
Orban veut signaler aux juifs qu’il joue le jeu sans avoir à débourser un centime.
Bien évidemment, avec les juifs, l’appétit vient en mangeant. Ils vont identifier cette conciliation comme une marque de faiblesse et faire monter les enchères. Les juifs ne veulent rien de moins que jeter Orban dans une geôle pour crime de lèse-majesté après avoir refusé l’invasion allogène en 2015, conséquence de la guerre de Syrie.
D’ailleurs pourquoi le même Orban – qui a dû ramer contre vents et marées pour survivre aux conséquences de la guerre de Syrie dont sa presse a toujours furieusement dénoncé les commanditaires – se retrouve désormais à appeler de ses voeux un alignement complet sur les pires fauteurs de guerre américano-israéliens ?
Pour sauver sa tête.
Au parlement européen, la droite lambda doit trancher à son sujet d’ici quelques semaines. Il songe à rejoindre le parti de la droite pro-yankee polonaise. Ce qui suppose de s’aligner totalement sur Varsovie qui a toujours paraphé les consignes venues de Washington.
Signer un pacte avec le démon hébraïque finit toujours mal.
Kadhafi a essayé et ça n’a pas marché.
Et ça venait d’un leader qui était parfaitement conscient de ce qui se passait mais qui croyait pouvoir échapper à la colère de Satan en négociant avec lui.
Orban ne sera pas lynché par la foule payée par les juifs mais plutôt jeté dans une cage avant d’être jugé pour avoir « ruiné la démocratie hongroise ». C’est-à-dire pour avoir essayé de priver les juifs du contrôle total du pays avec le repeuplement afro-musulman que ça suppose.
Enfin, je ne pense pas qu’Orban soit lynché.
Après, si j’étais à sa place, je ne ferais pas mes calculs sur la base de la générosité juive.