Captain Harlock
Démocratie Participative
10 Avril 2020
Le juif a peur de la mère de famille blanche
Tout est une question de volonté.
Les politiques pro-famille menées par le gouvernement du premier ministre hongrois Viktor Orbán comme alternative à l’immigration de masse portent leurs fruits, avec une augmentation des naissances de 9,4 % par an.
Eduard von Habsburg, l’ambassadeur de ce pays d’Europe centrale auprès du Saint-Siège – et arrière-arrière-petit-fils de l’empereur François-Joseph Ier d’Autriche-Hongrie – a indiqué que ces politiques s’accompagnaient également d’une augmentation de près de 100 % des mariages et du nombre d’enfants par femme, qui atteint en moyenne 1,6.
« En Hongrie, la population a diminué depuis 1981 », a déclaré Katalin Novák, secrétaire d’État hongroise à la famille, à la jeunesse et aux affaires internationales, dans un commentaire exclusif à Breitbart Londres, expliquant l’énormité du redressement réalisé par son gouvernement.
« En 2010, lorsque le parti Fidesz d’Orbán a remporté les élections avec une majorité des deux tiers après huit ans de gouvernance socialiste, anti-travail, anti-économie et anti-famille, notre pays était au bord de l’effondrement », a-t-elle rappelé, citant « les mesures d’austérité et le démantèlement du système d’allocations familiales ».
« En 2010, nous avons commencé à construire un pays favorable à la famille… Notre principal objectif est d’éliminer les charges auxquelles les couples sont confrontés lorsqu’ils souhaitent avoir des enfants« , a-t-elle déclaré, en soulignant les politiques comprenant « l’exonération à vie de l’impôt sur le revenu des personnes physiques pour les femmes ayant quatre enfants », l’amortissement partiel des hypothèques pour les familles après la naissance de leur deuxième enfant, et le congé parental.
Nous connaissons parfaitement ce sabotage démographique voulu par les juifs, les homosexuels et la gauche pour l’avoir expérimenté depuis plus d’un demi-siècle en France avec les conséquences sociales, économiques, sécuritaires et raciales que nous savons.
Les juifs n’ont qu’une seule politique : détruire les capacités de reproduction des populations blanches. Qu’il s’agisse de l’immigration de masse, de l’apologie du métissage, de l’avortement, de l’antiracisme d’état, de la promotion agressive du cancer LGBT, les juifs font feu de tout bois pour dynamiter systématiquement la natalité blanche.
Les os de l’avorteuse juive Veil ont été vidés au Panthéon, temple de l’hébraïsme
L’extinction biologique de la race blanche est leur seul et unique objectif.
L’empoisonneur des peuples n’a de véritable inquiétude que lorsqu’une nation blanche devient immune et décide de lutter frontalement contre la dénatalité que le juif organise et promeut.
Quand la résistance s’organise, ses médias se déchaînent pour railler les mesures adoptées par la nation rebelle.
« Les chiffres démographiques récents parlent d’eux-mêmes, le nombre de mariages est à son plus haut niveau depuis 40 ans, le taux de fertilité à son plus haut niveau depuis 20 ans, tandis que les divorces n’ont pas été aussi bas que l’année dernière au cours des six dernières décennies », a-t-elle ajouté fièrement.
La secrétaire d’État, elle-même mère de trois enfants, s’est montrée franche lorsqu’on l’a poussée à commenter les propos tenus par des médias tels que le magazine de gauche The Economist, qui a dénigré les aspirations du gouvernement hongrois à enrayer son déclin démographique par des politiques dites naturalistes plutôt que par une immigration massive, comme l’ont tenté des pays d’Europe occidentale tels que la Grande-Bretagne, l’Allemagne et la Suède.
Effectivement.
Les « solutions » juives mises en oeuvre dans les démocraties occidentales ont démontré ce qu’elles valaient.
« Le point de vue hongrois est que nous devons compter sur nos ressources internes, à savoir soutenir les familles et permettre aux jeunes couples d’avoir des enfants. L’autre approche dit qu’il y a une surpopulation dans une moitié du monde, alors qu’il y a un déclin de la population dans l’autre, alors équilibrons simplement la différence« , a-t-elle dit, offrant un résumé concis de l’état actuel du débat.
Il n’y a que les juifs pour oser avancer un concept aussi perfide que cette idée de remplacer démographiquement les autochtones par des allogènes afin de sauver la démographie autochtone.
C’est pourtant l’idée centrale derrière l’immigration de masse.
Ceci dit, les juifs reçoivent le soutien des Boomers qui comptent bien combler le déficit de natalité dont ils sont responsables en important des sauvages du tiers-monde par dizaines de millions pour sauver leurs retraites.
C’est une véritable cabale.
« Nous sommes sermonnés et stigmatisés simplement parce que nous avons pris un chemin différent de celui du reste de la population… [et] exposés à des attaques continues pendant des années, mais les faits sont les faits, nos résultats sont clairs et nous bénéficions également du soutien du peuple hongrois », a-t-elle déclaré.
Ces attaques ne tombent pas du ciel.
C’est la politique constante du juif.
Mais ce serait oublier un peu vite l’autre poison à la racine de l’effondrement démographique européen : les traînées féministes excitées par les lesbiennes.
Sans ces folles, le juif ne pourrait pas avancer aussi aisément.
« J’ai lu les critiques et les prévisions pessimistes de The Economist en février, maintenant, je serais heureuse de lire au moins la reconnaissance des faits, les chiffres démographiques positifs évidents de ces derniers mois », a-t-elle ajouté, dans ce qui pourrait s’avérer être un espoir désespéré.
Mme Novák a également adressé une réprimande pleine de tact au gouvernement suédois, qui a pris la décision extraordinaire de convoquer l’ambassadeur hongrois lors de l’annonce du dernier paquet de politiques pro-famille, en affirmant qu’elles « empestaient les années 1930 ».
« Après la déclaration scandaleuse de leur ministre de la famille, de nombreux Suédois m’ont assuré qu’ils accueilleraient très favorablement un tel ensemble de mesures favorables à la famille dans leur propre pays », a déclaré M. Novák.
Voici la putain suédoise à l’origine de ces attaques, Annika Strandhall.
Le regard de folle psychotique qui ne trompe pas
Ce pays assailli de pirates somaliens a encore l’audace de « convoquer » les ambassadeurs des nations civilisées qui essaient de survivre à la folie vaginocratique.
Je l’ai déjà dit ici : si une seule nation doit périr en Europe sous le poids de ses fautes, bien plus que toutes les autres, c’est la Suède. La transformer en base djihadiste avancée où les féministes seraient réduites en esclavage constituerait la meilleure leçon historique adressée aux autres peuples européens.
Un exemple vivant, grandeur nature, de ce qu’il advient quand un peuple devient si faible qu’il donne le pouvoir à des femmes.
Les traînées partagent avec les juifs l’obsession de l’ouverture des frontières mais pour des raisons différentes. Les premières veulent un arrivage permanent de chibre marron pour truquer le rapport entre l’offre et la demande, à leur avantage.
Les juifs quand à eux sont guidés par leur seule haine raciale et leur soif illimitée de domination.
Cette coalition juive composée de Boomers nihilistes, de putes à métèques et de pédés hétérophobe est ce qui se cache derrière la politique de dénatalité d’état.
La moindre mesure nataliste, de par la manifestation de l’envie de vivre et de la santé raciale qu’elle exprime chez un peuple, est une déclaration de guerre pour ses goules de cimetière qui se sustentent des chairs putréfiées des nations qu’ils tuent.
Il suffit de tenir tête aux mensonges de la presse juive et les résultats sont immédiatement au rendez-vous. Quiconque se défait du poison sémitique recouvrira toujours, peu importe sa situation de l’heure, la pleine santé.
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