Honfleur : profanation d’une swastika bouddhiste par une poufiasse radicalisée

Captain Harlock
Démocratie Participative
16 février 2019

Les persécutions contre les militants bouddhistes ont pris un tour particulièrement brutal à Honfleur, en Normandie.

Le symbole de cette religion de paix ont été ciblés par des fanatiques de la théocratie juive.

France 3 Normandie :

Ce jeudi 14 février, en début de matinée, plusieurs inscriptions notamment à caractère antisémite ont été constatées rue des Capucins. Un dépôt de plainte a été enregistré par le commissariat d’Honfleur.

C’est en partant déposer ses enfants ce jeudi 14 février au matin qu’Alexandra Lorin Guinard constate des tags, sur la porte d’entrée de sa maison, qui donne sur la rue.

Sur le moment, j’ai été choquée. En remontant la rue, j’ai constaté que d’autres portes avaient été dégradées. Sur l’une d’entre elles, figurait une croix gammée. Sur une autre, l’inscription PD.

Les images :

La police anti-bouddhiste est sur la brèche.

Cette femme, installée à Honfleur depuis 6 mois, a décidé de porter plainte auprès du commissariat de la ville. Elle a également choisi de contacter la presse.

J’aurais pu me contenter de déposer plainte. Mais je considère que cela fait partie de mon devoir de citoyenne. Je ne suis pas de confession juive. Mais ce sont les valeurs de la République qui ont été bafouées. C’est intolérable.

Il faudra qu’un jour quelqu’un prenne le temps de lister ces valeurs dont, jusqu’à présent, on a jamais vu la description.

Je suppose que quand un juif ou un gauchiste a des gaz, il peut dénoncer une « atteinte insupportable aux valeurs de la république ».

Cela peut aussi marcher avec les courbatures, je pense.

Cette habitante souligne qu’il y a eu un formidable élan de solidarité dans sa rue. Des voisins sont venus les voir, certains ont déposé des fleurs. Le maire de la ville les a également contactés.

Une enquête pour dégradation par inscription de tags à caractère racial et religieux.

Le procureur de Lisieux confirme qu’une enquête est en cours pour dégradation par inscription de tags à caractère racial et religieux. Il ajoute que le prénom Simone inscrit sur une des portes de la rue renvoie naturellement à Simone Veil, étant donné les récents actes antisémites commis à Paris.

C’est juste extraordinaire.

Le délire paranoïaque de la juiverie médiatique agit sur ces éponges comme un stimulus électrique.

Une seule swastika bouddhiste et vous avez toute une ville en ébullition et la police qui se met à lancer la traque aux adeptes du message de paix du Bouddha.

Ne laissons pas la superstition sémitique qui anime cette république terroriser le peuple de la roue solaire.

C’est une atteinte insupportable à la liberté de conscience.

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