La rédaction
Démocratie Participative
30 avril 2023
Il n’y aura pas de libération sans que la swastika flotte à nouveau glorieusement sur l’Europe.
Mais de quelle libération s’agit-il ? De la libération raciale des peuples aryens actuellement emprisonnés dans le système d’exploitation financier global. Cette démocratie financière a ses tables de la loi, les droits de l’homme, sa religion d’état, le mythe de l’holocauste, et sa caste dirigeante, les juifs et leurs associés démocrates.
Trônant sur des sociétés occidentales post-chrétiennes inervées d’égalitarisme et d’universalisme, les juifs sont devenus le clergé de substitution de l’Occident. Ils ont remplacé prêtres et évêques d’antan pour enseigner aux masses blanches une conception corrompue du sens de la vie afin de mieux les guider d’une main de fer, imposant par leurs parlements, médias et écoles les valeurs corrosives des nomades éternels qu’ils sont.
Le juif enseigne aux Blancs la trahison de leur sang, de leur famille, de leur patrie, de leur race, en les détournant d’eux par un appel mensonger à servir une moralité supérieure, sa « démocratie » ou peu importe ce qui lui semble utile, pour mieux recruter chez eux les renégats dont ils ont besoin pour s’emparer froidement du contrôle des sociétés qu’ils convoitent et veut exploiter avec férocité. Pour cette raison, les rares amis des juifs sont, en tout temps et en tout lieu, des imbéciles et des traîtres.
Le juif, contrairement au naïf de gauche qui croit sincèrement à l’utopie égalitaire mondiale, ne prêche pas la fin des frontières par générosité, mais, bien au contraire, par appât du gain et intérêt ! Lui, le seul élément véritablement sans frontières qui se dit partout chez lui, veut desserrer l’étau du contrôle de ses activités financières en convainquant les nations de se débarrasser des outils de surveillance qui le gênent dans ses innombrables escroqueries.
Comment y parviennent les juifs ? En abusant de l’innocente crédulité quasi illimitée des Blancs qu’ils finissent, grâce à leur arsenal médiatique, par convaincre d’adopter leurs anti-valeurs que sont les valeurs nomades du juif, par définition hostiles aux sociétés blanches : préférence étrangère, haine de la hiérarchie et de l’ordre, reniement de la terre des ancêtres et de l’intégrité du sang. Une société contaminée par le juif accouche de l’anarchie permanente, du désordre établi, de la division et de la haine.
Face à ce péril mortel, et quoi que hurlent les médias juifs et leurs démocraties sur le sujet, un homme s’est dressé héroïquement.
C’est homme, c’est Adolf Hitler.
Avant d’aller plus loin, prenez le temps d’oublier les insultes contre cet homme et vous posez la question suivante : peut-on prendre à la légère les arguments d’un homme qui, orphelin de père errant dans les rues, a travaillé inlassablement jusqu’à devenir le maître de la nation la plus avancée de son temps pour libérer son pays de la tyrannie des juifs, et de là résister à la guerre mondiale déclenchée par la finance juive pour sauver son empire bancaire menacé ?
Adolf Hitler n’avait rien, sauf la vérité et une volonté d’acier. Il était allemand, mais les vérités qu’il a découvertes en résistant à la menace juive sont des vérités d’application universelle, peu importe le contexte national.
Pourquoi, depuis 78 ans, le système financier qui opprime les nations enseigne-t-il dès le plus jeune âge aux nouvelles générations la haine aveugle contre Adolf Hitler ? La réponse est simple : les vérités découvertes par le révolutionnaire allemand sont plus que jamais d’actualité et ce système d’exploitation juif craint qu’une nation ou qu’un bloc de nations utilisent les vérités édictées par le leader national-socialiste pour abattre l’hydre juive mondiale.
Qu’a produit la victoire de ces démocraties juives depuis 1945 ?
Vous avez le résultat sous les yeux.
Après 1945 et la défaite de l’Europe, les sociétés blanches ont été reconfigurées par les juifs contre les peuples blancs pour rendre ces sociétés pleinement compatible avec leur parasitisme.
Par leur propagande, les juifs, aidés de leurs idiots utiles, qu’ils soient de gauche ou de droite, ont appris à chaque génération d’hommes blancs à haïr leur sang, à trahir leur propre peuple, à divorcer d’avec leur patrie, à contribuer activement à la destruction de toutes les valeurs sociales aryennes positives sans lesquelles l’homme blanc ne peut vivre.
Agissant comme une pure force de destruction, le juif a ainsi créé un système spirituel et politique entièrement dédié à son plein développement parasitaire qui implique par définition le dépérissement moral et matériel de sa victime : le travailleur aryen.
Le juif ne prêche pas l’immigration totale par amour des étrangers – le juif n’aime que ses profits – mais parce qu’il a trouvé là des supplétifs indispensables à la guerre raciale qu’il mène contre les peuples blancs pour les affaiblir en balkanisant ses pays.
Cette occupation coloniale, politique et spirituelle juive se mesure à l’interdiction du symbole de l’aryanité vivante : la roue solaire, la swastika !
Des plaines de l’Ukraine actuelle, il y a 12,000 ans, à Rome en passant par la Grèce et la Scandinavie, la swastika représente le feu de la civilisation aryenne.
L’impudence avec laquelle le sémitisme organisé – la « démocratie de marché » – s’est efforcé de proscrire notre glorieux symbole de vie témoigne de l’obscurité dans laquelle l’Europe a sombré. C’est la meilleure démonstration de l’expropriation générale qui frappe les peuples blancs dans leur propre pays.
Le nomade a pris le pouvoir et le travailleur aryen a été réduit au rang d’étranger sur la terre de ses ancêtres.
Tant que le symbole millénaire de notre volonté de vivre et de notre droit à la vie sera interdit, ce sera le signe que nous sommes interdits de cité dans nos propres pays, ce sera la preuve que nous acceptons d’être des esclaves, pire, des esclaves des juifs, cette antithèse de l’humanité !
Brandir la swastika est ce qui déclenche instantanément les plus violentes réactions de l’ensemble de ce système d’exploitation, tout comme de ses partisans, conscients ou simplement rééduqués. Et c’est parfaitement normal dans un système construit contre l’homme blanc !
Le système ne craint pas les serviteurs du juif Karl Marx. Leurs faucilles et leurs marteaux n’inquiètent pas la banque internationale qui provient de le même synagogue.
La swastika a le pouvoir magique de faire trembler le sol sous les pieds des juifs ! Les juifs se tordent de douleur sous l’effet de l’exorcisme soudain qu’est la vision de la croix aryenne.
En instant, le conflit est ouvert, les positions irréversiblement définies et le statu quo est rompu.
Par peur ou par adhésion à la vulgate juive, elle est répudiée par ceux qui veulent négocier avec le système en place sans bouleverser le statu quo. Le statu quo n’est pas la fixation des lignes actuelles, bien au contraire. Le statu quo, c’est la poursuite du recul de l’homme blanc partout, submergé par les races étrangères hostiles que le système démocratique juif importe pour s’assurer du maintien de sa réduction en esclavage.
On ne se contorsionne pas devant le juif dans l’espoir qu’il fasse preuve de clémence – une idée dont la cervelle du juif est incapable de se faire une représentation schématique. On le combat !
Notre lutte ne consiste pas à remporter la prochaine élection dans un système consubstantiellement étranger et hostile. Il consiste à libérer l’âme aryenne enchaînée par le mensonge et la terreur sémitiques, à mettre en mouvement la conscience aryenne endormie, à réveiller la fureur révolutionnaire de l’homme européen.
C’est pourquoi brandir la swastika est un acte révolutionnaire dont la profondeur historique et spirituelle est sans équivalent. Elle est tout à la fois l’épée et le bouclier de l’Aryanité millénaire.
Hisser la swastika face à l’ennemi, c’est le frapper avec la foudre que les dieux tendent à l’homme blanc ! Brandir la swastika, c’est combattre, vivre et être libre !