Hidalgo finance une gigantesque fresque pro-migrants au pied de la Tour Eiffel tandis que Paris sombre sous un torrent de créatures du tiers-monde

Captain Harlock
Démocratie Participative
16 juin 2019

 

Les Jeux Olympiques de 2024 s’annoncent sous les meilleurs auspices.

Sous la sage direction de la socialiste andalouse Anne Hidalgo, la capitale française a brillamment utilisé le site de la Tour Eiffel pour magnifier l’accueil des migrants.

Les Russes, les Américains ou les Japonais vont pouvoir apprécier la beauté de notre religion d’état.

20 Minutes :

Elle couvre 15.000 m2 et mesure près de 600 m de long, soit deux fois la hauteur de la tour Eiffel. Une fresque géante s’est installée sur le Champ-de-Mars. Saype, street-artist franco-suisse, pourtant déjà connu pour ses réalisations monumentales, vient de faire son plus gros coup.

L’œuvre Beyond Walls (Au-delà les murs) a été réalisée en partenariat avec l’association SOS Méditerranée et la mairie de Paris. A vocation sociale, elle rend hommage au travail des marins sauveteurs qui viennent en aide aux migrants en Méditerranée. « C’est une fresque au service de l’humanité », a déclaré l’artiste lors de l’inauguration.

« Au service de l’humanité ».

Je ne suis pas sûr que l’humanité en ait quelque chose à foutre.

Je ne suis pas certain que cet homme et les 1,3 milliard de Chinois qui lui obéissent au doigt et à l’oeil se sentent concernés.

Ni cet homme avec son autre milliard d’hindous.

Ou même cet homme et le continent qui lui sert de pays.

Je pense sincèrement que l’humanité ne s’intéresse pas à cette fresque. En fait, les Français ne s’intéressent pas à cette fresque.

Ce sont les médias juifs qui s’y intéressent.

Plus globalement, l’humanité ne s’intéresse pas à ce qui se passe à Paris.

Sauf quand il y a un attentat djihadiste commis par des migrants.

L’humanité est assez intriguée par ce concept bizarre qui consiste à remplacer les Français par des coupeurs de tête musulmans parce que c’est à dire bien sûr.

Hélas, comme l’humanité s’intéresse aux attentats commis par les migrants de la paix, il faut ensuite aller lui expliquer qu’il ne faut pas s’intéresser à ce qui passe à Paris pour qu’elle puisse s’intéresser à ce qui passe à Paris.

Donc, non, je ne pense pas que l’humanité s’intéresse à cette fresque.

« On l’a fait ! » Saype montre un visage fatigué, mais soulagé au moment de la présentation de son œuvre à la presse. L’artiste a travaillé pendant huit jours à raison de 17 à 20 heures par jour. Et avec le blocage compliqué de la circulation sur le Champ-de-Mars, le vent, la pluie et la tempête Miguel également passée par là, la création de la fresque n’a pas été de tout repos. Mais le résultat est là : plusieurs séries de mains gigantesques serrées en signe de fraternité au pied de la tour Eiffel.

Niveau fresque, je m’étais arrêté à Michel Ange.

Mais je suis fasciste donc j’admets que ce n’est pas très pertinent.

Les choses ont quand même évolué depuis ces cinq derniers siècles.

Apparemment.

La fresque s’inspire, selon son auteur, du geste des marins sauveteurs qui portent secours aux migrants tentant de traverser la mer Méditerranée. Son œuvre veut rendre hommage à leur courage. « Mon action est plus sociale que politique », indique Saype.

Pour réaliser cette œuvre, l’artiste s’est associé avec l’association d’aide aux migrants SOS Méditerranée. Un choix logique pour Saype. « Je n’ai pas envie de m’engager pour un parti, je veux travailler pour l’édifice du vivre-ensemble et c’est ce que représente je crois SOS Méditerranée », explique-t-il.

L’édifice.

Francis Vallat, président de l’association, a de son côté salué une œuvre aux valeurs positives, avant de lancer un appel. « Nous sommes au centre de la Ville lumière. Que ce symbole puisse éclairer le monde et le faire avancer », a-t-il appelé de ses vœux.

L’œuvre a été réalisée à partir d’une peinture 100 % biodégradable afin de ne pas abîmer les sols. Elle est pour cette raison éphémère et disparaîtra progressivement au bout d’une semaine. Vous n’avez donc que quelques jours pour en profiter !

Lol, les Blancs profitent tous les jours de la diversité migratoire.

Puisque nous parlons de « ville lumière », admirons-en les bienfaits là où Anne Hidalgo entasse les migrants qu’elle aime et admire.

Dans le 18ème et 19ème arrondissements.

La solidarité, il n’y a que ça de vrai.

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