Captain Harlock
Démocratie Participative
17 Décembre 2020
L’hypocrisie des traînées féministes est enfin révélée au plus haut niveau.
Une amende portée en étendard. La Ville de Paris a été sanctionnée par l’État pour ne pas avoir respecté la parité après «avoir nommé trop de femmes aux postes de direction» en 2018. Sur les 16 postes, onze étaient occupés par des femmes et cinq par des hommes, soit 69% de salariées. La loi fixait pourtant jusqu’en janvier 2019 une représentation d’au moins 40% pour chaque sexe. Ironie du sort : cette mesure devait justement servir à promouvoir les femmes dans le monde du travail. Ne répondant pas aux consignes, l’Hôtel de Ville doit donc régler une amende de 90.000 euros au ministère de la Fonction publique.
Lors du Conseil de Paris mardi, Anne Hidalgo a fait part, non sans ironie, de sa «joie» lorsqu’elle a appris la nouvelle une semaine plus tôt. «Ce qui est très beau avec la bureaucratie, c’est qu’elle ne connaît absolument pas le discernement, et que donc elle ose tout», a-t-elle raillé. «Cette amende est évidemment absurde, injuste, irresponsable, dangereuse. Nous devons promouvoir des femmes avec détermination et rigueur car le retard partout en France est encore très grand», a-t-elle souligné. «Il faut accélérer le tempo et faire en sorte que dans les nominations il y ait plus de femmes que d’hommes», a jugé Anne Hidalgo.
Cette garce simili marocaine estime qu’avec 70% des postes donnés à des traînées de gauche à Paris, la France est « en très grand retard ».
La vérité, c’est qu’en dessous de 100% des postes, les féministes trouveront toujours ça « scandaleusement » insuffisant.
Dans l’esprit de ces catins manipulatrices, il n’a jamais été question de « parité » mais de dictature vaginocratique sans partage aux mains de quelques bourgeoises castratrices.
La maire socialiste a annoncé qu’elle irait régler l’amende en main propre au ministère de la Fonction publique début 2021. Elle sera accompagnée par ses «adjointes», ses «directrices» et «l’ensemble des femmes du secrétariat général». «Je proposerai bien sûr à toutes les présidentes de groupe, majorité comme opposition, de se joindre à nous si elles le souhaitent», a-t-elle indiqué.
L’indécence exhibitionniste de cette maghrébine imbue d’elle-même est incroyable.
Elle va rameuter toutes les poufiasses de la mairie pour se livrer à un numéro d’hystérie devant les portes du ministère.
Une nouvelle loi a cependant été votée en 2019 permettant une dispense de pénalités pour les employeurs qui nomment trop d’hommes ou de femmes, si cela n’aboutit pas à un déséquilibre parmi les emplois concernés. La Ville de Paris est en phase, puisqu’elle compte 47 % de femmes cadres supérieures. Cependant, la dispense de pénalités n’est entrée en vigueur qu’en juin 2020 et n’a donc pas pu s’appliquer à la Ville de Paris, sanctionnée pour les nominations réalisées en 2018.
Evidemment, une loi limitant le népotisme des putes n’allait pas durer. Ce processus ne peut aller que dans une seule et unique direction : toujours plus de putes, à tous les niveaux, pour coopter de nouvelles putes et étendre ainsi indéfiniment la ruine de l’ordre social. C’est le véritable projet.
Cette affaire a en tout cas démontré qu’il n’a jamais été question « d’égalité ». C’est n’est qu’un slogan de la part de ces garces pour se victimiser et avancer leurs pions. Ces harpies assoiffées de pouvoir sont prêtes à tout pour parvenir à leurs fins.
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