Captain Harlock
Démocratie Participative
02 Février 2021
Les soldats français meurent au Mali pour que Madama puisse venir baiser des Blanches en Haute-Loire
Après les boulangers et les électriciens, voici les bergers nègres magiques !
Madama Diawara, un jeune Malien arrivé mineur en Haute-Loire, aujourd’hui majeur, est dans l’attente d’un titre de séjour pour débuter des études agricoles. Sa famille d’accueil et ses maîtres d’apprentissage montent au créneau et fustigent les services de la préfecture.
Madama Diawara a traversé le désert et la mer sur un rafiot en quête d’une vie meilleure. Il est arrivé en France en septembre 2018. Depuis, il enchaîne les obstacles. Les différentes étapes qui doivent mener à une éventuelle régularisation de sa situation sont semées d’embûches. Confié à une famille d’accueil, il vit “dans une situation psychologique difficile alors qu’il a démontré sa volonté de s’insérer“, indiquent Véronique de Marconnay et Eric Durupt, un couple d’enseignants qui héberge le jeune homme depuis deux ans.
Rappel : il faut détruire l’Education Nationale, foyer de pestilence communiste.
La famille d’accueil est en conflit avec la préfecture. “On fabrique délibérément des clandestins“, s’offusque Eric Durupt, prêt depuis plusieurs semaines à entamer une grève de la faim. Alors qu’il n’avait jamais été à l’école, qu’il n’avait jamais appris à lire ou à écrire, Madama Diawara tente d’avancer. “Il a une scolarité difficile forcément mais il s’accroche, il est motivé“, assurent les deux enseignants qui l’accompagnent.
Croyez ce prof de gauche : ce sont les Français qui « fabriquent » des clandestins.
Après un premier échec dans un apprentissage en charcuterie, Madama a semble-t-il trouvé sa voie. Inscrit à l’ISVT, il a trouvé des patrons pour un apprentissage dans l’agriculture au sein de l’exploitation de Jean-Louis et Martine Vigouroux à Saint-Geneys-près-Saint-Paulien. Des employeurs qui s’accrochent à vouloir recruter le jeune Malien.
Notre malien musulman a fini par faire le lien entre la charcuterie et le porc.
Il a certainement menacé d’égorger des infidèles si on lui demandait de continuer.
Ses bienfaiteurs de gauche, déterminés à saper le socle biologique de la région, ont donc trouvé une alternative pour s’assurer que l’ADN malien puisse prospérer en Haute-Loire.
Il a suffi de solliciter le réseau marxiste local pour trouver une planque au caffre.
“Madama coche toutes les cases. Il a fait plusieurs stages chez nous et il se montre très intéressé par les cultures, les animaux. C’est le gars qu’il nous faut. Lui au moins ne nous demande pas la puissance de nos tracteurs, il a un profond respect pour le monde animal et veut comprendre le monde rural“, argumentent le couple d’agriculteurs.
Alerte, bavardage décroissantiste : faux « paysans » marxistes tendance EELV repérés. Forcément engagés chez les trotskistes de Solidaires.
Martine Vigouroux (au centre) est formelle : elle aime la bite des nègres
Le genre de crasseux qui ne jurent que par l’Afrique et le « développement durable ». Comme ils n’ont pas voulu s’établir au milieu des nègres, ils établissent les nègres au milieu de la France.
Inutile de préciser que Martine se fait salement bourriquer par Madama dans la grange pour lutter contre le fascisme et le colonialisme.
Morts au Mali pour une certaine idée de la Fronsse
Véronique de Marconnay et Eric Durupt, lequel a effectivement entamé sa grève de la faim ce week-end, ne comprennent pas l’absence de réponse de la part de la préfecture. “On en a assez d’attendre, on est en colère. On demande aux migrants d’être bons, d’être excellents. On leur demande de faire en quelques mois ce qui en fait en dix ans pour un Français. On lui demande des papiers d’identité alors qu’ils savent très bien que les registres ne sont pas tenus à jour dans les villages de la brousse, ou n’existent pas. On lui demande l’impossible à Madama.“
Puisque l’on parle de registres, tenez celui des ordures marxistes à jour.
*Merci à UbOj