Halloween c’est COOL et c’est BLANC

La Rédaction
Démocratie Participative
02 novembre 2024

 

Je voulais écrire cet article hier, mais peu importe.

Avec Halloween, nous avons eu le camp des rabat-joie, tout spécialement de droite, qui a trouvé judicieux de pester. À cette occasion, les Catholiques ont particulièrement voulu se rendre plus marginaux qu’ils ne le sont déjà.

« Je préfère l’amour ! »

Ces Chrétiens « pétris d’amour », avec leur inquisition et leurs bûchers, le sont tout autant que les antifas qui vous cassent la gueule en meute au nom de la tolérance universelle.

Quand ils saccageaient notre culture, ils ne procédaient pas avec des mots doux.

On s’en doute, rembarrer les gamins du voisinage en rageant comme un vieux con va contribuer à une affluence renouvelée à l’église. Qui ne voudrait pas fréquenter des saint-sulpiciens aigris qui refusent de donner des bonbons aux gosses, je vous pose la question ?

Quoi qu’ils en pensent, avec 3% de pratiquants réels, le christianisme est résiduel en France et il ne reviendra pas. Ils peuvent bouillir dans leur coin en maudissant leurs semblables, c’est la réalité et la réalité est tout ce qui nous importe tant que nous vivons sur cette terre.

Parmi les arguments récurrents contre cette fête, le caractère « américain » d’Halloween auquel est associé sa dimension « commerciale ». Cette festivité serait le symptôme de l’acculturation des Français sous l’effet de la domination du capitalisme américain et son caractère artificiel proviendrait de cette importation « verticale » imposée par le business transatlantique que les masses de consommateurs abrutis adopteraient sans réfléchir.

Tout cela est vrai, mais ça ne change rien.

Les Chrétiens sont les derniers à pouvoir l’ouvrir sur ce sujet, eux qui ont imposé leur religion désertique aux Européens par la coercition et la terreur intellectuelle.

Si cette religion est aussi massivement abandonnée par les peuples blancs, ce n’est pas uniquement en raison du matérialisme culturel, mais aussi parce qu’elle était une prison mentale qui reposait sur la terreur infernale agitée sous le nez des masses par des curés qui n’étaient pas les derniers à sauter leurs bonnes ou à piquer dans la caisse.

Et je ne parle pas de l’accueil chaleureux que la plupart des Catholiques réservent aux nègres d’Afrique dans leurs églises et qu’ils ne trouvent pas du tout « importés », ni inorganiques en Europe.

Il est un fait incontestable que les représentations de Halloween – d’ailleurs littéralement « Fête de tous les saints » en anglais – est autrement plus authentique et légitime chez nous que cette histoire de « saints » inspirés par Yahveh.

D’ailleurs, ce sont les Chrétiens qui se sont appropriés cette fête, pas l’inverse.

Wikipédia :

La fête catholique de la Toussaint tire son origine d’une commémoration de tous les martyrs, instituée à Rome en 613 par le pape Boniface IV ; à l’origine, elle était fêtée le 13 mai, jour anniversaire de la consécration chrétienne du Panthéon. Elle remplaçait la fête des Lemuria de la Rome antique célébrée à cette date pour conjurer les spectres malfaisants.

Au IXe siècle, la fête fut étendue à « tous les saints » par le pape Grégoire IV et décalée au 1er novembre. Les historiens considèrent généralement que cette date a été choisie pour christianiser la fête de Samain.

C’est par un heureux effet boomerang que cette fête anglo-celtique de Grande-Bretagne est revenue en Europe continentale receltiser les Blancs, Gaulois en tête.

Pour les Celtes dont nous descendons, Halloween n’est rien d’autre que Samonios, le premier jour du premier mois de l’année celtique. Elle ouvre la saison sombre, qui dure 6 mois, et s’étend jusqu’à Beltaine, le 1er mai.

Wikipédia :

La plupart des historiens considèrent la fête folklorique païenne traditionnelle d’Halloween comme un héritage de Samain, une fête qui était célébrée au début de l’automne par les Celtes et constituait pour eux une sorte de fête du Nouvel An.

Pendant la protohistoire celtique, existait une fête religieuse – Samain en Irlande, Samonios en Gaule –, qui se déroulait sous l’autorité des druides, pendant sept jours : le jour de Samain lui-même et trois jours avant et trois jours après. « C’est une fête de fermeture de l’année écoulée et d’ouverture de l’année à venir.

Dans le calendrier celtique basé sur le cycle solaire, la date de Samain correspondait à la mi-temps d’une des quatre périodes allant d’un équinoxe et à un solstice, ou d’un solstice à un équinoxe. Par différence, ce sont les extrémités de ces périodes qui sont aujourd’hui l’occasion de célébrations dans les sociétés occidentales, et non leurs mi-temps : notre nouvel an actuel est fixé dix jours après le solstice d’hiver, Pâques est fêtée au moment de l’équinoxe de printemps, au solstice d’été a lieu la fête de la musique. Seul l’équinoxe d’automne n’étant pas fêté au profit de la mi-temps de la période qui le sépare du solstice d’hiver.

Le temps de Samain est celui du Sidh (l’autre monde) brièvement confondu avec celui de l’humanité ». La nuit de Samain n’appartient ni à l’année qui se termine, ni à celle qui commence. La fête est une période close en dehors du temps. C’est la période où les barrières sont baissées et où, selon les croyances de l’époque, l’irréel côtoie le réel et où les hommes peuvent communiquer avec les gens de l’autre monde (Il s’agit là de démons ou des dieux des Tuatha Dé Danann).

Lors de cette nuit de fermeture, les Gaulois avaient l’habitude de pratiquer une cérémonie afin de s’assurer que la nouvelle année à venir se déroulerait sereinement. Par tradition, ils éteignaient le feu de cheminée dans leur foyer puis se rassemblaient en cercle autour du feu sacré de l’autel, où le feu était aussi étouffé pour éviter l’intrusion d’esprits maléfiques dans le village. Après la cérémonie, chaque foyer recevait des braises encore chaudes pour rallumer le feu dans sa maison pour ainsi protéger la famille des dangers de l’année à venir.

Les fêtes druidiques ont disparu d’Irlande au Ve siècle, avec l’arrivée d’une nouvelle religion, le christianisme.

Samonios est un moment hors du temps où le monde se dissout et se régénère. Il est pour cette raison associé à la mort, elle même un état transitoire de l’âme entre deux états stables, mais aussi entre deux mondes.

C’est pour cette raison que nous allons fleurir les tombes de nos morts à cette occasion : c’est le moment de l’année où nous pouvons en être physiquement le plus proches. Telle était la conception de nos druides.

Cela se perpétue dans le monde nord-européen en illuminant les tombes le premier novembre. Se souvenir des morts les empêchent de disparaître dans l’indifférenciation post-mortem.

C’est également un moment de danger. Les esprits chtoniens, du monde souterrain et obscur, peuvent surgir dans notre monde. D’où ces références aux monstres et à la mort. Loin d’être leur « célébration », c’est une épreuve pour s’en emparer et mieux les dominer.

C’est donc une fête qui repose sur des mécanismes psychologiques ancestraux extrêmement puissants qui réveillent la mémoire raciale des Blancs.

Les Catholiques – rejoints par quelques marxistes toujours obsédés par le fric des autres – qui viennent geindre à propos de la dimension « commerciale » de l’affaire oublient de dire que toutes les grandes fêtes chrétiennes étaient des excuses pour commercer.

Ce que l’on appelait les « foires » médiévales. Un continent inconnu de ces gens enfermés dans leurs clapiers résidentiels.

Wikipédia :

L’originalité des foires de Champagne est sans doute de former ainsi un cycle équilibré et continu tout au long de l’année de « foires chaudes » (en été) et « froides » (en hiver) ainsi que de foires principales et secondaires qui procure aux marchands une place d’échange presque permanente permettant non seulement d’échanger des marchandises mais aussi de régler leurs affaires financières.

  • 2 au 15 janvier : foire « des Innocents » de Lagny-sur-Marne ;
  • mardi avant la mi-carême au dimanche de la Passion : foire de Bar-sur-Aube ;
  • semaine de la Passion : foire de Sézanne ;
  • mai : foire chaude de « Saint-Quiriace » de Provins ;
  • 24 juin à la mi-juillet : foire « chaude » ou de la Saint-Jean à Troyes ;
  • septembre / octobre : foire froide de « Saint-Ayoul » à Provins16 ;
  • début novembre à la semaine avant Noël : foire « froide » ou de la « Saint-Remi » à Troyes.

L’Eglise est fortement représentée dans l’organisation de ces foires dans une société où la vie séculière est rythmée par le calendrier religieux. Les grandes fêtes et les pèlerinages coïncident souvent avec des foires et une fréquentation importante.

Quand la France était chrétienne, on ne laissait pas le commerce dénaturer notre culture !

S’il y a bien quelque chose qui a contribué à la ruine de l’âme des gens en France, c’est la conjonction de la casuistique médiévale et du rationalisme de l’Encyclopédie en plus du saupoudrage marxiste au 20ème siècle.

Ça nous a donné des coupeurs de cheveux en quatre à « principes », généralement dégarnis et myopes, cette sous-humanité dépourvue de toute énergie vitale et de toute mystique – oui, la casuistique est dépourvue de mystique, peu importe ce qu’elle bavarde – dont nos profs de gauche contemporains descendent en droite ligne.

Terrifie l’église de bergogliologie

Enfin, plus concrètement, en cette époque d’individualisme terminal où les Blancs sont incapables de faire quoi que ce soit ensemble, tout ce qui peut les pousser à sortir de leurs pavillons pour échanger toutes générations confondues est bénéfique. Les personnes âgées sont ravies de voir les gamins du quartier avec leurs petits costumes venir sonner à leurs portes. Les enfants voient autre chose que leurs écrans et se rendent compte qu’il y a des personnes qui vivent près de chez eux.

Enfin, ce qui ne gâche rien, par son caractère païen, elle est délicieusement haram, foncièrement anti-abrahamique, inconsciemment raciste.

Pour toutes ces raisons, je suis un partisan résolu de la Samonios contemporaine que l’on nomme « Halloween », à défaut d’une Samonios stricto sensu, peu importe ce que racontent les casse-pieds qui voudraient nous clouer devant leur Yeshoua communiste.

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