Captain Harlock
Démocratie Participative
30 octobre 2019
L’ambiance est chaude dans cette splendide création française qu’est Haïti.
Outre l’inévitable chaos inhérent à n’importe quel endroit peuplé de nègres, les troubles ont pris un tour plus violents ces derniers temps.
Le pillage s’est intensifié. Officiellement, c’est le roi nègre en place qui est coupable : Jovenel Moïse.
RFI :
Une majorité des secteurs de la société a rallié le mouvement de contestation contre le président Jovenel Moïse mais aucune avancée politique n’a été réalisée, ce qui ne fait qu’aggraver jour après jour la situation humanitaire.
Ce lundi, les rues de la capitale ont été totalement désertées par les habitants. Des carrefours et axes routiers d’ordinaires encombrés étaient absolument vides de tout véhicule et les passants se faisaient très rares car quantité de barricades avaient été érigées à travers la ville.
C’est donc une nouvelle semaine de « peyi lok » – l’expression créole désormais consacrée que l’on peut traduire en « pays bloqué ».
Cela fait déjà deux mois que la contestation populaire a gagné Haïti, rendant la circulation difficile. Rejoindre certaines villes de province s’avère même totalement impossible. C’est ce qui préoccupe la communauté humanitaire qui, via un communiqué de presse du coordonnateur humanitaire de l’ONU, a annoncé lundi 28 octobre que faute de ravitaillement, les vies de nombreux Haïtiens étaient en danger.
« 19 000 enfants souffrant de malnutrition ont besoin de soins d’urgence. Des milliers de personnes n’ont pas ou peu d’accès à l’eau potable », détaille le document.
La colère populaire ne faiblit pas et lundi ce sont les ouvriers du secteur textile qui ont manifesté pour réclamer la démission de Jovenel Moïse, l’accusant de n’avoir pas tenu les promesses qui leur avait faites.
Ce qui est intéressant, dans cette situation, c’est de voir comment fonctionne vraiment le pays.
Ce nègre Jovenel Moïse n’est qu’un domestique. Les véritables propriétaires du pays sont différents, très différents.
L’un des hommes les plus puissants de l’île est le milliardaire Gilbert Bigio, un séfarade originaire d’Alep en Syrie qui est également consul honoraire d’Haïti en Israël.
Le juif Gregory Brandt pour sa part vit comme un planteur de canne à sucre du 18ème siècle.
Il contrôle la Banque de l’Union Haïtienne, principale banque privée du pays.
L’oligarque juif Gregory Mevs contrôle le secteur du bâtiment haïtien ainsi que celui du pétrole à la tête du groupe familial West Indies Group.
Le juif Carl Braun est le maître de l’une des quatre principales banques d’Haïti, UniBank.
Parmi d’autres.
Les nègres, après avoir finalement senti que les juifs resserraient leur étreinte, ont décidé de manifester.
Les juifs ont répondu.
@pnh_officiel La police haïtienne pourchasse des gens et tire dans le voisinage de la maison du président Jovenel Moise @moisejovenel. @USEmbassyHaiti @BINUH_UN @amnesty @UNHumanRights @UN @hrw @antonioguterres @nytimes @CNN @BBCNews @AP @Reuters @NPR @AFP #haiti #repression pic.twitter.com/BypJkoNeIJ
— Gilbert Mirambeau Jr?? #PwosèPetrocaribeA (@GibszZZz) October 26, 2019
Ce que vous voyez ici, c’est ce que sera la France une fois que les juifs en auront fini avec ce pays, si aucune opposition antisémite ne se forme.
La France deviendra un état mulâtre, gouverné par des fantoches créoles et sera férocement exploité par des dynasties levantines plus voraces que des vampires.
Au moindre mouvement, des mercenaires nègres surarmés et totalement drogués tireront dans le tas. Pour le moment, ce sont encore des flics blancs et les balles sont en caoutchouc.
A Haïti, la (((communauté internationale))) veille au grain, estampille le gouvernement en place comme (((démocratique))). Lequel est défendu militairement par l’armée américaine, c’est-à-dire les soldats blancs aux ordres de la finance juive.
Si ces nègres haïtiens veulent avancer d’un millimètre – si jamais les nègres pourront jamais avancer tout court – ils devraient commencer par aller renifler du côté des résidences juives et des synagogues du pays.