La Rédaction
Démocratie Participative
09 septembre 2024
Aujourd’hui, nous présentons le « Baron », un des architectes de la Fraternité Aryenne qui a fait de ce gang exclusivement blanc l’organisation la plus létale de tout le système carcéral américain.
Barry Byron Mills (1948-2018) est à l’origine d’une brutale campagne d’élimination de criminels noirs. Le gouvernement fédéral a tout tenté pour obtenir son exécution, en vain.
En plus de la Fraternité Aryenne, le gang blanc le plus puissant, on trouve des gangs comme les Nazi Lowriders, les Public Enemy n°1, l’Aryan Brotherhood Texas, les Soldiers of the Aryan Culture, Silent Aryans, Aryan circle et d’autres gangs plus petits.
La particularité des gangs blancs est qu’ils s’organisent exclusivement depuis les prisons.
Après la fin de la séparation raciale dans les pénitenciers du pays à partir des années 1960, les Blancs se sont progressivement organisés en gangs racistes pour survivre aux tueries de masse qui ont immédiatement suivi. Les Blancs étant surclassés numériquement, de l’ordre de 1 contre 15 ou 20., ils sont organisés en une véritable dictature raciale qui mobilise d’emblée chaque nouveau détenu blanc. Aucun détenu ne peut refuser de servir sa race en prison sous peine de mort (par les Blancs ou les autres).
Le racisme est la règle.
Les prisons sont des modèles réduits de la société multiraciale. Elles démontrent comment les dynamiques raciales déterminent tout et comment le fascisme racial est la réponse naturelle des Blancs face à l’ennemi. Elles prouvent aussi que l’homme blanc est le prédateur le plus dangereux. Il compense le manque de quantité par la qualité. La Fraternité Aryenne a elle seule totalise près de 20% des meurtres en prison.
Ces gangs blancs, en se professionnalisant, ont progressivement pu élargir leurs activités à l’extérieur des prisons pour mieux se renforcer à l’intérieur des pénitenciers. S’ils ne tiennent pas les rues en tant que tel, les gangs blancs, grâce à un flot constant de détenus, disposent des effectifs qui leur permettent de faire des prisons les bases opérationnelles de la résistance blanche dans le monde criminel.
Cette présence est politiquement essentielle pour ne pas céder ces activités aux gangs des autres races.
Un détenu blanc mobilisé doit rendre des services à la hiérarchie du gang en échange de sa protection. Il doit « travailler pour son peuple » en rendant différents services qui lui valent ensuite des années de détention supplémentaires. Quand le gang juge qu’il a fait son temps (5 ou 10 ans), le détenu termine sa peine.
Les « lifers » (détenus à perpétuité) règnent en maîtres. Ils n’ont rien à perdre et sont prêts à tuer et faire tuer, ce qui en fait les cadres naturels de ces gangs.
De nombreuses règles invisibles, dictées par la lutte pour la survie dans cette guerre raciale permanente, organisent les prisons américaines. Face à leur infériorité numérique, les gangs blancs doivent économiser leurs effectifs. Au plus haut niveau sécurité, un détenu blanc qui veut se battre avec un autre détenu blanc a obligation de se battre avec lui au couteau. Cette obligation réduit considérablement les rixes futiles entre détenus blancs et épargnent donc les effectifs.
Malheureusement, il n’existe pas de gangs blancs de cette nature dans les prisons en France, ni en Europe.
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