Viva Europa
03 décembre 2020
Avant-propos
I La main mise du juif sur l’Allemagne
II Les conséquences de l’envahissement juif : la défaite de 1918
III Le marxisme, triomphe du juif
IV La juiverie étrangère contre l’Allemagne
V Le racisme conséquence des abus juifs.
« Ce qui me donna le plus à réfléchir, ce fut le genre d’activité des Juifs dans certains domaines dont j’arrivai peu à peu à percer le mystère. Car, était-il une saleté quelconque, une infamie sous quelque forme que ce fût, surtout dans la vie sociale, à laquelle un Juif au moins n’avait pas participé ? Sitôt qu’on portait le scalpel dans un abcès de cette sorte, on découvrait comme un ver dans un corps en putréfaction un petit youtre tout ébloui par cette lumière subite. »
C’est en ces termes qui ne laissent place à aucune ambiguïté qu’Adolf Hitler, au début de Mein Kampf, parle de ses premiers contacts avec les Israélites.
Et Alfred Rosenberg, le grand théoricien du IIIe Reich, résume à son tour le Judaïsme en ces quelques lignes :
« En étudiant l’histoire et la littérature des Juifs, on y trouve presque uniquement une activité acharnée, sans bornes, un rassemblement tout à fait unilatéral de toutes leurs forces en vue de la propriété matérielle. De cette tournure d’esprit — presque amorale, peut-on dire — résulte aussi un code de morale qui ne connaît qu’un article : l’avantage du Juif. Ainsi admet-on, approuve-t-on même la fourberie, le vol, le meurtre. De là découle l’autorisation religieuse et morale du parjure, la religion talmudique du « Mensonge légal. » Tous les penchants naturellement égoïstes sont renforcés par cette « moralité » tolérante. Alors que, chez presque tous les peuples du monde, les idées morales et religieuses barrent la route à l’arbitraire purement instinctif et à la licence effrénée, chez les Juifs c’est l’inverse ! Aussi depuis 2500 ans nous assistons éternellement à la même histoire : avide des biens de ce monde, le Juif s’en va de ville en ville, de pays en pays, et séjourne là où il trouve le moins de résistance à son activité de parasite des « Affaires. » On le chasse, il revient ; on en massacre une génération, la suivante recommence imperturbablement le même jeu. Moitié fourbe et moitié démon, à la fois ridicule et tragique, méprisé de tout ce qui est noble — et s’estimant néanmoins ; innocent, parce qu’incapable de comprendre autre chose que soi-même — le Juif‑Errant fils du principe du Mal traverse l’histoire du monde. Changeant sans cesse de nom et cependant toujours identique, protestant toujours de sa sincérité et mentant sans cesse croyant toujours à sa « mission » et pourtant condamné par son absolue stérilité au métier de parasite, tel est le Juif éternel. »
Voici, n’est-ce pas, une position nette et des gens proprement accommodés ; et ce n’est pas sans une certaine surprise et une indéniable incompréhension que tous les peuples du monde ont accueilli ces déclarations qui ne laissent point place à la moindre équivoque.
« Guerre aux Juifs et Persécution religieuse — Vague d’antisémitisme en Allemagne. »
C’est ainsi que l’Europe et l’Amérique ont jugé l’action du Führer et de ses collaborateurs, cherchant vainement une explication à cette offensive de grand style contre les Israélites.
Les causes de cette action sont cependant de la plus extrême simplicité, et les dirigeants du IIIe Reich n’ont jamais caché les raisons et les mobiles de leurs actes.
La « Guerre aux Juifs » en Allemagne est tout au contraire une guerre purement défensive, un acte d’autodéfense contre l’emprise morale et matérielle du judaïsme dont l’Allemagne a manqué mourir.
Auto-défense à l’intérieur, où l’infiltration juive avait abouti à une main-mise totale sur les moyens d’expression de la pensée — livre, journal, théâtre, cinéma — où le Juif, maître tout puissant de la Bourse et de la grosse industrie, était devenu ipso‑facto le maître du travailleur allemand, du pain allemand, de la volonté productrice allemande, le tyran brutal de l’esprit et du corps allemand.
Autodéfense à l’extérieur, où le Juif seul soulève contre l’Allemagne les « Démocraties » qui se mordront un jour les doigts de l’avoir accueilli. Sans le Juif, le péril Russe ne menacerait pas jour et nuit l’Allemagne de son rougeoiement de sang ; sans le Juif, la France n’eût jamais connu la honte et la folie du pacte soviétique ; sans le Juif l’Angleterre et la France auraient depuis longtemps renoué avec l’Allemagne les relations qui doivent automatiquement exister entre ces trois grands peuples.
Contre le Juif du dehors comme du dedans, l’Allemagne, État souverain, prend telles mesures qu’il lui plaît et n’a à en rendre compte à personne. Libre aux sentimentaux de la Société des Nations — ce Conservatoire de l’Idéal Judéo‑Maçonnique, — de s’indigner vertueusement en toute hypocrisie. Les chefs de l’Allemagne, après avoir extirpé le Juif de leur sol, s’accouderont eux aussi à leurs fenêtres pour voir un peu ce qui se passe au dehors, et le spectacle sera réjouissant… et peut-être avant peu. Déjà la France sent qu’elle a des poux, et cette nation étourdie étouffe mal, sous une indignation de commande — plus gouvernementale que populaire — contre la « croisade hitlérienne anti-juive », sa démangeaison chaque jour grandissante et sa croissante envie de se gratter…
Aujourd’hui, nous ne saurions mieux faire que de passer la plume aux Chefs Allemands, qui vont nous expliquer comment et pourquoi ils ont été amenés à faire campagne contre l’envahissement et l’encerclement Judaïques.