Captain Harlock
Démocratie Participative
30 août 2019
L’invasion reprend de plus belle en Grèce.
Une flotte de près de 600 sous-hommes venus d’Afghanistan s’est jetée sur les côtes de l’île de Lesbos où se trouve la base opérationnelle de l’invasion de l’Europe sous la supervision du gouvernement israélien.
Mainstream media isn’t covering it but the #MigrationCrisis has started in #Greece again.
Yesterday, 13 boats with 600 migrants arrived in a span of just 30 minutes to the Greek island #Lesvos from #Turkey
They are almost all from Afghanistan
Turkish coastguard let’s them pass pic.twitter.com/ZIytNaUtYa
— BasedPoland (@BasedPoland) August 30, 2019
Cet armement biologique n’est pas sous le seul contrôle des juifs. L’empire ottoman l’alimente également et ce nouvel assaut est une création d’Erdogan.
L’augmentation des flux migratoires vers les îles du nord et de l’est de la mer Égée au cours du mois dernier a exercé une nouvelle pression sur les centres d’accueil déjà surpeuplés du pays, à la grande frustration des autorités grecques qui, selon les informations disponibles, étudient différentes options.
Depuis le début du mois d’août, quelque 6 000 demandeurs d’asile ont été admis dans des points chauds de l’île, ce qui a mis la vie en danger dans les camps surpeuplés, avec des cas de violence à la hausse – comme l’indique l’agression mortelle d’un adolescent afghan de 15 ans par un garçon du même âge il y a trois jours au camp de réfugiés Moria à Lesvos, à la suite de son agression à l’arme blanche.
Selon les dernières données officielles, les îles de Lesvos, Samos, Chios, Leros et Kos accueillent plus de 24 000 réfugiés et migrants, dont environ 20 000 séjournent dans des hotspots conçus pour en accueillir un tiers.
Au total, 67 000 demandes d’asile sont en instance, l’autorité chargée de leur traitement pouvant traiter environ 2 400 demandes par mois en moyenne. À ce rythme, il faudra plus de deux ans pour traiter les demandes de ceux qui se trouvent déjà dans le pays – sans compter une moyenne de 253 personnes venant quotidiennement de Turquie dans les îles grecques.
Des sources du ministère des Migrations ont attribué l’augmentation des flux aux efforts du gouvernement turc pour faire pression sur l’Europe. Les mêmes sources ont cité les propos tenus le 22 juillet par le ministre turc de l’Intérieur, Suleyman Soylu, qui a déclaré qu’aucun gouvernement européen ne tiendrait six mois si la Turquie ouvrait les vannes.
Pour faire face à ce problème, des sources indiquent que le gouvernement grec envisage d’augmenter les capacités sur le continent, de modifier le cadre juridique concernant les demandes d’asile et de définir les migrants sur les îles comme « vulnérables ».
Si les juifs et les djihadistes turcs se servent de ces créatures contre l’Europe, on peut également compter sur les Grecs pour s’en servir comme moyen de pression pour nous faire les poches.
Si ce n’était pas son but, la Grèce se contenterait d’investir dans sa défense maritime, notamment ses gardes côtes. Or, elle fait exactement l’inverse : elle investit dans des entrepôts pour y stocker ces métèques en vue de nous envahir.
Le nouveau premier ministre grec était à Berlin pour représenter ce qui sert d’état à la Grèce. Au programme de ce chef de gouvernement « conservateur » : un outrancier numéro de détournement de fonds antifascite.
Tout se présentait pourtant sous les meilleurs auspices pour la chancelière: le nouveau premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, est membre de la Nouvelle Démocratie, formation affiliée au PPE comme son parti chrétien démocrate et il affiche, à l’inverse de l’ex chef d’État de gauche, un conformisme ordo-libéral à toute épreuve en matière de gestion de la dette.
Pourtant une question, celle des réparations de guerre pour les spoliations et les crimes commis sous l’occupation nazie que Berlin considère comme définitivement enterrée, pourrait bien, si ce n’est alimenter, à tout le moins hanter la rencontre entre les deux dirigeants.
Alexis Tsipras en a fait jusqu’au bout une revendication «inaliénable,» de ces réparations. Il en a fait évaluer le montant à quelques 290 milliards d’euros.
Ces mangeurs de feta sont extraordinaires. Le PIB actuel de la Grèce s’élève à 200 milliards de dollars mais ils affirment sans trembler que la Grèce sous-développée de 1941 a perdu une fois et demi ce qu’elle vaut aujourd’hui.
Bien évidemment « à cause des Nazis ».
C’est le drame avec cet Euro : c’est un véritable paquet surprise où les banquiers juifs ont pu nous coller sur le dos toute une série d’états chroniquement en faillite que nous devons perpétuellement renflouer.
Non seulement les Grecs se sont associés aux juifs de Goldman Sachs pour truquer leurs comptes et adhérer à l’Euro mais en plus, maintenant qu’ils sont en banqueroute, ils nous font du chantage avec ces pouilleux venus des quatre coins de la terre.
Tous ces gens de ces états ruinés continueront à nous piller tant qu’ils évolueront dans cette sorte de Sécurité Sociale bis qu’est l’Eurozone. Ils utiliseront les pires procédés pour nous soutirer autant de cash que possible, à charge pour les contribuables du Nord d’éponger la différence.
Cela ne peut pas fonctionner.