GREAT RESET & Fémo-marxisme : les hommes (blancs) font monter la température en mangeant plus de viande que les femmes courageuses et indépendantes d’après une « étude »

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 novembre 2021

Ce n’était qu’une question de temps avant que l’agenda écolo-globaliste n’en vienne à viser la seule et unique cible de leur programme : l’homme blanc hétérosexuel.

BFMTV :

D’après une étude britannique, en consommant plus de viande et plus de boissons, les hommes émettent plus de gaz à effet de serre que les femmes.

Bonbons, viande rouge, café, alcool… À travers leur alimentation, les hommes émettent 41% de gaz à effet de serre de plus que les femmes, d’après une étude britannique publiée dans le journal Plos One ce mardi.

Les conclusions des chercheurs, reprises par nos confrères du Guardian, sont sans appel: avec un régime plus carné et une plus grande consommation de boissons, les hommes polluent plus que leurs homologues féminines.

Les scientifiques ont analysé le régime alimentaire de 212 Britanniques. Ces hommes et ces femmes ont enregistré leur consommation de nourriture et de boissons sur trois périodes de 24 heures.

Les chercheurs se sont aussi penchés sur les émissions liées à plus de 3200 aliments. Ils ont ensuite séparé les catégories d’aliments en fonction de leurs émissions. Ils ont conclu que 31% des émissions polluantes alimentaires étaient imputables à la viande, 15% aux boissons, 14% aux produits laitiers et 8% aux gâteaux, confiseries et biscuits.

Le sujet est essentiel car la production alimentaire est à l’origine de 30% des émissions de gaz à effet de serre et la viande tient une place essentielle dans cette pollution. Les produits carnés produisent en effet plus de déforestation et produisent du méthane, dont les effets sont encore plus dévastateurs que ceux du CO2.

C’est pour cette raison que les régimes végétariens créent 59% d’émissions en moins que les régimes qui comprennent de la viande, expliquent les chercheurs de l’université de Leeds.

Un quart des émissions liées à l’alimentation humaine provient de denrées « facultatives » comme l’alcool, le café ou les bonbons, souligne aussi l’étude. Au-delà de la réduction de la viande rouge, « notre travail montre que de gros gains peuvent être réalisés à partir de petits changements, comme la suppression des sucreries », déclarent les scientifiques.

Selon eux, les politiques visant à encourager les régimes alimentaires durables devraient donc se concentrer sur les fruits et les légumes ainsi que sur le remplacement des boissons et la réduction des collations sucrées. Une autre étude, relayée par The Guardian en juillet dernier, montrait que les hommes étaient responsables de 16% d’émissions supplémentaires que les femmes en Suède.

Autant que je puisse en juger, personne dans l’opinion ne rejette violemment cette théorie grotesque de réchauffement climatique généré par les pets de vache.

Des pets de vaches.

Comme pour le Cohen19, le système répète brutalement le mot SSIENSSE et l’immense masse des bots répètent ce truc aveuglément, tout particulièrement les femmes blanches.

Les femmes sont généralement incapables de rationalité. Celles qui en font preuve sont une minorité et cette rationalité est toujours précairement maintenue, constamment menacée par un bouleversement d’humeur inattendu.

L’accès à la rationalité amène à prendre conscience des inégalités indépassables de notre réalité et les femmes se trouvent rarement en position avantageuse face à ces inégalités fondamentales. L’esprit féminin préfère donc inventer un monde qui n’existe pas, où les émotions gouvernent tout, pour justifier les manipulations permanentes auxquelles elles se livrent afin de mitiger la supériorité de l’homme. Dans le petit monde des femmes qui tourne sur lui-même, rien ne peut se penser sincèrement dans une plus grande réalité puisque cette grande réalité est faite par les hommes et leur génie. La femme n’existe que par rapport à quelque chose d’autre et ce quelque chose d’autre est toujours pensé et créé par des hommes.

Quand la femme le réalise, la jalousie lui fait envier cette écrasante supériorité créatrice et ordonnatrice. Mais vouloir n’est pas pouvoir et plutôt que d’accepter sa sujétion anthropologique, la femme se met à vouloir redéfinir les règles en les tirant vers le bas pour que l’autorité lui soit enfin accessible.

Les lois de trucage sociales que sont les mesures « paritaires » induisent cette notion d’égalité de principe, inéquitable en pratique où celui qui a le talent (l’homme) est réduit par celui qui ne l’a pas (la femme).

L’antiracisme fonctionne exactement sur le même mode et se nourrit de la jalousie des perdants de l’évolution.

Faute de pouvoir détenir le phallus de l’autorité, la femme entreprend de saboter les hiérarchies réelles qui l’empêchent d’assouvir ses rêves castrateurs. C’est là que l’utopie gauchiste, foncièrement ovarienne dans ses représentations égalitaires, trouve chez la jalousie des femmes un puissant et malhonnête soutien d’opinion.

La femme veut « l’égalité », mais par égalité, elle entend la soumission absolue de l’homme à son joug.

Comme le Great Reset de Klaus Schwab suppose de réduire définitivement le travailleur sédentaire blanc en esclavage au profit des parasites cosmopolites de l’hyperclasse, mobiliser les femmes blanches contre l’homme blanc avec des contes pour enfants est d’une extraordinaire facilité. Surtout si c’est pour atteindre « l’égalité » mensongère maladivement poursuivie par les femmes.

Pour en revenir à cette histoire grotesque de réchauffement climatique masculiniste par pets de vache, si les hommes consomment plus de viande c’est parce que leur masse musculaire est beaucoup plus grande et qu’ils doivent la renouveler. Ce constat élémentaire est caviardé par les vagins féministes qui voient dans le bolchevisme vert le moyen de transformer les hommes blancs en hamsters inoffensifs.

Chez les plus haineuses, la supériorité physique des hommes est une obsession et l’écraser en privant l’homme des protéines dont il a besoin contribue à la « redistribution des cartes » sexuelle auxquelles ces garces aspirent.

Il va sans dire que l’affaiblissement physique des hommes blancs s’insère parfaitement dans le programme de domestication des bolchevistes de Davos.

Les femmes créent des règles pour les mâles beta et les foutent à la poubelle pour les mâles alpha. Leur univers magique est par définition conçu pour des mâles beta, c’est-à-dire des hommes subjugués. Ce shit test énorme à propos de la viande est en soi ce qui va mettre les hommes soja d’un côté et les mâles blancs carnassiers de l’autre. Les carnassiers blancs devant finir au goulag de l’utopie écolo-communiste non-genrée.

D’ici quelques temps, votre application covido-climatique bloquera vos achats de viande au supermarché ou au restaurant et les mâles beta sous soja seront heureux.

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