Captain Harlock
Démocratie Participative
14 janvier 2019
Nous allons enfin pouvoir débattre.
Du moins de ce dont les juifs veulent bien que nous débattions sous leur surveillance.
BFMTV :
Sébastien Lecornu doit s’occuper de la mobilisation des élus tandis qu’Emmanuelle Wargon va s’occuper de l’organisation générale du débat.
Sébastien Lecornu, le ministre chargé des Collectivités territoriales, et Emmanuelle Wargon, secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, vont être chargés d’animer le grand débat national, a assuré ce lundi une source gouvernementale à BFMTV.
Emmanuelle Wargon sera chargée de l’organisation générale du débat et de la mobilisation de la société civile tandis que Sébastien Lecornu sera chargé de la mobilisation des élus.
Le grand débat national voulu par Emmanuel Macron, doit démarrer mardi avec la visite du président de la République à Grand Bourgtheroulde dans l’Eure. Cette consultation inédite doit s’achever le 15 mars prochain.
Dans sa lettre aux Français publiée dimanche, le chef de l’Etat a assuré qu’aucune question ne serait « interdite »: « Nous ne serons pas d’accord sur tout, c’est normal, c’est la démocratie. Mais au moins montrerons-nous que nous sommes un peuple qui n’a pas peur de parler, d’échanger, de débattre », a assuré le Président.
Ce n’est pas un « débat national » mais un prêche hébraïque de facture typiquement bolchevique.
Il n’y a qu’un objectif : juguler l’insurrection de la plèbe aryenne en perdant les Blancs en conjectures juives.
Il s’agit de reprendre l’initiative et de démobiliser le prolétariat avec des bavardages sans fin au sujet de stupidités sémitiques.
#LettreAuxFrançais Éthique de la discussion, façon Habermas et par les moyens de la République. Volonté générale rousseauiste convoquée dans chaque foyer de France. Grenelle tous azimuts.Étrange ruse de l’Histoire accouchant peut être, sous nos yeux, d’une invention démocratique!
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 13 janvier 2019
J’ai entendu, dit la #LettreAuxFrancais. La guerre anti flics, anti journalistes, anti République doit s’arrêter. L’esprit citoyen, participer. Car là est, désormais, l’agora où peuvent advenir le combat des idées et la conquête de nouveaux droits.
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 13 janvier 2019
Le juif veut toujours parler, c’est-à-dire mentir.
Le pouvoir du juif réside exclusivement dans la capacité de sa presse à circonvenir les masses qu’il domine par le mensonge.
Il ne faut jamais parler avec le juif. Il n’y a rien à discuter avec le roi du mensonge.
Ce qui me rassure c’est que personne ne veut plus parler.
Les gens veulent de l’action.