Captain Harlock
Démocratie Participative
05 juillet 2018
Encore il y a peu au bord de la disparition en raison de 2,000 ans de consanguinité, le village pétainiste de Châteaudouble est en passe d’être sauvé avec l’arrivée de 72 jeunes talents d’Afrique.
Vendredi 29 juin, les habitants du village de Châteaudouble, en Provence-Alpes-Côte d’Azur, ont appris qu’ils allaient accueillir dès le mois de septembre prochain, 72 migrants. Ils seront logés dans l’ancienne maison de retraite de la commune. Ils devraient y arriver par petits groupes et y passer quelques mois, révèle Var-matin. Tous les migrants seront accompagnés par une équipe de Forum réfugiés. Elle aura pour principale mission de les aider à monter leur dossier de demande d’asile.
L’annonce de l’arrivée de migrants a rapidement créé l’inquiétude chez une grande partie de la population. « Que vont-ils faire toute la journée ici les migrants ? Châteaudouble est un village de caractère. Avec ce label, la commune attire les touristes. Qu’est-ce que cela va donner lorsque les vacanciers apprendront que plus de 70 réfugiés sont ici ! », s’interroge ainsi Claude, habitant de la commune de 68 ans. La question de l’intégration est également posée. « Je pense qu’il ne sera pas facile de les intégrer. C’est plutôt mal perçu dans le cœur du village. Depuis samedi, tout le monde en parle. Il aurait été plus intéressant d’accueillir des familles notamment pour augmenter l’effectif de l’école et la crèche », lâche un autre villageois.
Néanmoins, certaines personnes expriment plus d’empathie. C’est le cas de Patrick, un enseignant de 60 ans qui estime qu’il faut accueillir ces migrants de manière digne. « C’est un exemple à donner pour la population française. Je peux comprendre les commentaires de peur ou de panique, mais leur arrivée va apporter de l’air frais ».
Chers habitants de Châteaudouble, êtes-vous prêts pour une vague d’air frais ?
J’ai coutume de dire que l’unique chose qui sépare réellement la droite de la gauche aujourd’hui, c’est l’invasion des hordes du tiers-monde, notamment islamiques.
Hormis quelques illuminés mélenchonistes obsédés par le portefeuille de leur voisin, tout le monde est prêt à discuter sur presque tout. Sauf sur ce sujet. Rien n’est aussi volatile que celui-là.
Tout spécialement dès lors que l’on évoque la figure divine du nègre.
Le nègre est devenu le dieu de la France démocratique. Vous avez un nombre impressionnant de fanatiques prêts à égorger des membres de leur famille pour défendre l’honneur du nègre. Leur empathie obsessionnelle pour le nègre suppure de tous leurs pores. Il est devenu l’objet de fixation de toutes les névroses engendrées par la religion égalitariste en France.
Vous pouvez mesurer la détresse psychologique de ces gens à leur nervosité dans une discussion. Le nègre n’est pas un objet extérieur à eux-mêmes : c’est une partie d’eux-mêmes.
Toute critique de la négraille les plonge dans une profonde angoisse.
C’est comme si vous aviez saccagé la tombe de leur mère.
En fait, ils seraient probablement moins frénétiques si vous profaniez la tombe de leur mère.
La seule question qui ait eu en son temps la même capacité d’explosivité fut la séparation de l’église et de l’état. Pendant près d’un siècle, vous avez eu une guerre civile larvée dans un nombre incalculable de villages et de familles à cause de ça.
Dieu d’un village français typique
Il n’est donc pas très surprenant de trouver ces sales profs à la pointe de l’agitation raciale. Tout ce qui peut dissoudre l’esprit communautaire organique, donc, a fortiori, raciale, est à détruire.
Contrairement à ce que tous ces marxistes ont dit d’eux-mêmes depuis des décennies, ces gens sont profondément antisociaux. Ils considèrent toute forme d’ordre comme une insupportable contrainte sociale qui entrave leur besoin de se rouler dans la fange. Leur soif de toute puissance enfantine est chez eux hors de contrôle.
Ils veulent détruire tout ce qui contrarie leurs caprices.
Leur haine se fixe sur n’importe quel objet susceptible de leur servir de bélier contre tout ce qui peut représenter l’harmonie ou l’équilibre. Les métèques correspondent parfaitement à ce besoin.
La déférence devant le totem nègre est devenu le moyen pour ces fanatiques de mesurer le degré d’orthodoxie de la plèbe. Tout manque d’ardeur signifie, pour eux, le début de l’apostasie.
Dire qu’il faille une croisade contre la lèpre immigrationniste n’est pas peu dire.
Ces gens ne s’arrêteront pas d’eux-mêmes. Leur folie ne se connaît aucune limite. Il n’y a pas un chiffre déterminé au nombre de nègres ou d’arabes qu’ils désirent voir s’implanter en France.