Captain Harlock
Démocratie Participative
17 Mars 2020
Indépendamment des conséquences sanitaires – qui resteront très probablement marginales – et économiques, ce que révèle réellement Coronachan, c’est qu’en 24 heures un état aussi pourri par la démocratie juive que la France peut malgré tout :
- Suspendre les élections
- Déployer l’armée et la police
- Instaurer un couvre-feu
- Restreindre et contrôler les mouvements de la population
- Plonger dans la terreur les pédales urbaines écolo-macronistes
- Enclencher, sans aucune consigne, la fuite de milliers d’extra-européens
Ce qui se passe depuis ce week-end démontre que la démocratie paralyse toute forme d’action stratégique.
La démocratie est par nature un régime féminin. C’est comme de laisser des lavandières décider de quoi que ce soit en espérant une solution.
Tant que des partis, des assemblées, des journalistes – tous plus stupides les uns que les autres et davantage réunis – sont laissés libres d’attiser les divisions pour le compte de lobbys, de réseaux et d’intérêts occultes, un pays s’enfonce sous le poids de son inertie, incapable d’avoir une direction politique unie et déterminée.
Il a donc fallu que la panique s’empare des élites dirigeantes pour que des solutions autoritaires soient prises dans l’urgence. C’est-à-dire des solutions masculines, verticales, coercitives.
La foule, pilier de l’imposture démocratique, a révélé sa nature en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
Ça fait la queue devant les supermarchés comme devant une boîte de nuit pic.twitter.com/SDKetBV2gv
— Le tonton des tontons (@carteer_420) March 16, 2020
La foule, comme les femmes, est régie par ses émotions.
Si vous voulez voir le véritable visage de Marianne, oubliez les bustes des mairies : elle a la tête d’une vieille boomeuse en surpoids en train de rager avec son caddy.
C’est précisément cette paralysie de l’Etat que visent les puissances financières en imposant ce système impossible qu’est la démocratie avec ses partis juifs. Sans ce marasme politicien permanent et ses querelles dérisoires entretenues par des ratés opportunistes, la finance internationale ne pourrait pas manoeuvrer aussi facilement.
Tous les problèmes dont nous parlons habituellement peuvent être résolus en un temps record, à une seule condition : l’abolition de la démocratie et l’instauration d’un régime autoritaire.
Tous ceux qui nous opposent toujours le caractère inéluctable d’un problème sont tantôt des ennemis, tantôt des défaitistes.