Grâce à une prof de DROITE forte et indépendante issue du souverainisme, les lycées Louis-le-Grand et Henri IV vont être diversifiés de force

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 janvier 2022

Les fils et filles des familles de la bourgeoise blanche de droite vont déguster de la diversité à très haute dose, cadeau d’Emmanuel Macron et de Jean-Michel Blanquer à la veille des élections présidentielles.

Les Echos :

C’est un sujet qui ne concerne que quelques centaines d’élèves, mais qui va remettre la question de la mixité dans le débat, à trois mois de la présidentielle . L’académie de Paris va réformer le recrutement des très prestigieux lycées Henri IV et Louis-le-Grand, afin d’y faire entrer davantage d’élèves boursiers dès septembre 2022.

Le mouvement a déjà été enclenchée dans les autres lycées parisiens depuis 2020, alors que la ségrégation scolaire y était près de cinq fois plus élevée que dans la moyenne nationale, selon l’académie. Cette dernière se félicite des premiers résultats obtenus et souhaite aller plus loin.

Selon les chiffres dévoilés ce lundi, le redécoupage des secteurs d’affectation et le nouvel indice de positionnement social ont permis de faire « reculer » la ségrégation sociale entre établissements de 33 % par rapport à 2020. Les niveaux scolaires sont aussi « plus équilibrés » dans tous les lycées, souligne Julien Grenet, professeur associé à l’Ecole d’économie de Paris et président du comité de suivi de la réforme Affelnet à Paris.

Je traduis : le niveau chute enfin (aussi) dans les lycées restés blancs et bourgeois du fait du contournement de la carte scolaire. Après une très sérieuse correction raciale pilotée par Blanquer, le nombre d’élèves marron et demeurés (c’est pareil) y atteint des proportions plus correctes.

Un vrai conte de fée égalitaire à la fronssaise.

La République au sommet de son art.

L’académie entend toutefois renforcer son action pour certains lycées du 5e et du 6e arrondissements, en deçà des évolutions d’autres établissements. Elle va donc, à la rentrée prochaine, « élargir leur bassin de recrutement vers des collèges plus socialement défavorisés ».

« Il n’y a aucune raison qu’il y ait des lycées parisiens évités », plaide le recteur de l’académie de Paris, Christophe Kerrero, qui entend « banaliser l’orientation » pour qu’il y ait « moins d’anxiété sur la chose scolaire ». « L’hyper-sélectivité stresse parents et enfants parfois dès la maternelle », renchérit Claire Mazeron, directrice académique des services de l’Education nationale chargée des lycées.

« Ils boufferont du nègre et du bicot jusqu’à ne plus savoir comment ils s’appellent » Christophe Kerrero

En ce qui concerne Henri-IV et Louis-le-Grand, l’objectif est « qu’ils rejoignent la moyenne académique du nombre de boursiers alors qu’il y a aujourd’hui 8 % de boursiers à l’entrée en seconde », reprend Christophe Kerrero qui déplore que ces deux lycées aient « beaucoup moins de boursiers dans le secondaire qu’en classe préparatoire ».

« Les 10 % d’élèves des meilleures grandes écoles viennent de 8 % des lycées français », rappelle aussi Julien Grenet, alors qu’Emmanuel Macron n’a eu de cesse de prôner davantage de diversité sociale* .

*diversité raciale

Dans ces deux établissements, les critiques des familles et de leurs enseignants sont vives. « Il ne s’agit pas de s’attaquer à l’élite mais de l’élargir, rétorque Christophe Kerrero. La France a besoin de tous les talents. »

On va élargir l’élite !

L’élite que le monde entier nous envie !

L’académie avait indiqué au « Monde », en fin de semaine dernière, que le recrutement sur dossier serait supprimé pour les collégiens parisiens. Depuis, le discours est plus nuancé. « Ce ne sera pas la procédure actuelle », indique-t-on à l’académie, où l’on précise qu’on ne verra pas pour autant arriver 80 % de boursiers à la rentrée prochaine dans ces lycées.

L’académie envisage « des quotas » d’élèves provenant de collèges moins favorisés et d’élèves boursiers, « dans des proportions qui seront entendables par les communautés éducatives ». « Il faut faire évoluer le recrutement mais y aller par étapes pour que ce soit acceptable, plaide Claire Mazeron. Pour l’instant, la décision n’est pas stabilisée. » Elle doit l’être dans les quinze jours à venir.

« Il y aura toujours une garantie pour que les élèves hors de Paris puissent entrer à Henri IV et à Louis-le-Grand et que l’ensemble des collégiens parisiens puissent postuler dans ces lycées, rassure Christophe Kerrero. Il n’y aura pas d’évolution là-dessus. »

La bounégrification, mais par étape.

Merci à Claire Mazeron, une prof de droite proche de Natacha Polony, souverainiste de Debout la France, adulée par l’Action Française et recrutée par Blanquer pour républicaniser à outrance les dernières familles blanches catholiques suspectes de séparatisme.

Une prof blanche en manque d’attention détruit les derniers ilots blancs de Paris parce qu’elle a fait des études – qui pouvait possiblement prédire ça ?

Ces familles n’avaient qu’à être juives si elles voulaient que la République et ses profs les laissent tranquilles.

Sur une note plus historique, Louis-le-Grand a produit Desmoulins et Robespierre.

Il fallait bien que la boucle soit bouclée.

Nique ta mère, Voltaire.

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