Captain Harlock
Démocratie Participative
07 décembre 2018
C’est finalement arrivé.
Ces traînées de journalistes de gauche doivent finalement consommer leur propre potion multiraciale.
Alors que notre journaliste leur demandait de faire preuve d’un peu de respect en s’éloignant prudemment, un des agitateurs a lancé dans leur direction une bouteille contenant notamment de l’acide, qu’elles ont heureusement réussi à éviter avant qu’elle n’explose à quelques centimètres d’elles.
Si les deux journalistes s’en tirent avec plus de peur que de mal, on ne peut hélas que constater une très forte dégradation de nos rapports avec, heureusement, ce qui n’est qu’une infime partie des manifestants. C’est évidemment intolérable.
Les journalistes régionaux et les correspondants vont chaque jour au contact de la population. Cette proximité nous permet d’aller au plus près de la réalité. Nous n’avons pas attendu les récents événements pour dénoncer l’abandon de certains territoires, la fracture sociale et numérique dont sont victimes des populations qui se sentent déclassées.
Nous sommes encore là quand il y a des bonnes nouvelles : l’implantation d’une nouvelle entreprise, une rénovation urbaine, un regain d’activité… Cette proximité nous permet de traiter de façon équilibrée les conflits, en nous engageant pour la région, aux côtés de ceux qui la font vivre.
Nos 310 journalistes continueront à exercer leur métier avec sang-froid et équilibre, parce que nous pensons que c’est le contrat de confiance qui nous lie à la majorité des lecteurs et des habitants du Nord – Pas-de-Calais. On peut décrier la presse, lui faire des reproches qu’elle mérite parfois. Il n’en reste pas moins que les seuls pays où la presse n’est pas libre de faire son travail sont des dictatures.
Ha !
Le couplet « démocratique » sur le rôle de ces terroristes pour la sauvegarde du système.
Ces ordures ont voulu importer des millions d’arabes et maintenant, Français de souche ou non, tous les haïssent.
Un torrent d’acide oriental s’annonce.