Ghislaine se suicide après la destruction programmée de son restaurant par le gouvernement pro-Reset aux ordres de Davos

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 novembre 2020

Sur ordre de Klaus Schwab, Emmanuel Macron a tué Ghislaine Boriller

Les désastreuses conséquences humaines des décisions prises par les criminels au pouvoir pour mettre en place le « Great Reset », i.e. le communisme 2.0, commencent à se savoir au sein du peuple.

Les suicides se multiplient dans la classe des petits propriétaires et des commerçants.

Transportissimo :

Bien sûr, il y a des aides, mais comme le précise Brigitte Vitale, fondatrice de l’association Aide Entreprise, dans les colonnes de l’Est Républicain (16/11) « La bouffée d’air apportée par toutes ces aides donne une impression de sécurité illusoire. Une entreprise qui n’a pas de chiffre d’affaires pendant des mois n’est pas destinée à survivre » et elle craint une hécatombe de dépôts de bilan dans quelques mois. De nombreux experts craignent une recrudescence de suicides … comme cela s’est produit pour la patronne du restaurant Le Kenyah à Plougoumelen (Morbihan).

De toute évidence, l’attente de la profession était toute autre et la déception perdure aussi du côté des restaurateurs. Le drame qui s’est noué au restaurant Le Kenyah, Zone Industrielle du Kenyah à Plougoumelen, à deux pas de la RN 165, axe majeur du sud de la Bretagne, prouve s’il en est besoin le grand désarroi des restaurateurs « Pourquoi n’a-t-on pas été choisi alors qu’il n’y a aucun établissement entre Muzillac et Lorient » s’étonnait Ghislaine Boriller, qui a repris en 2017 le restaurant créé par son père, Joël, 32 ans plutôt et décédé à 61 ans. La restauratrice de 36 ans, maman d’un garçon de 10 ans, a mis fin à ses jours. Le seul fait de pouvoir continuer à travailler à minima lui aurait certainement donné le courage de poursuivre son chemin.

Un de ces voisins, patron d’une PME industrielle, a voulu laisser un message sur un compte Facebook, vite supprimé par il ne sait pas qui. Le voici : « Ghislaine, la patronne du Kenyah, le restaurant ouvrier situé à la zone du Kenyah à Plougoumelen, nous a quittés cette semaine. Les mois ont été longs pour elle et son équipe, elle a affronté, comme beaucoup de restaurateurs, l’impact indirect du COVID. J’ai eu la chance et le plaisir de pouvoir manger une dernière fois avec elle ce lundi midi (le 9 novembre – ndlr). Mais elle n’allait vraiment pas bien. L’annonce d’ouverture de certains restaurants routiers et pas le sien lui a mis un sacré coup. Mardi soir, je n’ai pas su trouver les mots pour lui faire comprendre qu’elle devait se ressaisir. »

Ce n’est pas une rumeur.

Le Télégramme :

Ce restaurant routier était une affaire familiale créée par le père de Ghislaine qui l’a repris il y a trois ans, ce qui explique pourquoi émotionnellement elle n’a pas été en mesure de gérer la faillite inéluctable de son entreprise. L’absence de mari a été un manque décisif pour l’aider psychologiquement à tenir le choc avec pour conséquence un gamin de 10 ans sur le carreau.

Cette femme s’est retrouvée dans une spirale morbide sans rien personne pour entraver sa peur. C’est pour cela que le mariage devrait être comme jadis unique et indissoluble : c’est la cellule de base qui permet de traverser les crises.

Si la CAF est là pour alimenter la natalité débordante des négresses d’Afrique que le gouvernement importe en France, il n’en va pas de même pour les femmes blanches à la tête de petites entreprises. La destruction de cette classe indépendante constitue l’un des objectifs des révolutionnaires globalistes de Davos.

Il est temps de se réveiller

Cette insanité ne fait que commencer. L’ahurissante docilité des PMI-PME est la principale cause des destructions en cours. Le gouvernement pro-Reset ne fait face à aucune forme d’opposition.

C’est à croire que les gens préfèrent se suicider que de se battre.

Je peux vous dire que mort pour mort, je saurais quoi faire si j’étais acculé comme cette femme. Je comprends qu’une femme n’ait pas ce genre de réflexe mais voir des hommes préférer ramper dépasse l’entendement.

Plutôt que d’organiser des queues et de mettre de l’espace entre leurs tables et leurs chaises en espérant que les préfets les épargnent, les gens de l’hôtellerie-restauration doivent rapidement s’organiser pour riposter. S’ils croient que l’hyperclasse prévoit une levée de ces mesures de contrôle des populations, ils se trompent. Ce qu’ils prévoient, c’est leur anéantissement comme classe sociale.

Il en va d’ailleurs de même pour les éleveurs. L’agenda 2030 de Davos prévoit la fin de la consommation de viande, donc la fin des élevages. Les campagnes de propagande sur les réseaux sociaux de groupes écolo-marxistes qui se rendent dans les élevages pour agresser les agriculteurs sont financées par des gens comme Soros pour légitimer leur suppression.

En France, hormis les routiers, seuls les agriculteurs ont une véritable force de frappe. Ils ont intérêt à se réveiller avant de découvrir qu’ils sont les prochains sur la liste. Il est plus qu’urgent que les syndicalistes agricoles sortent de leur sommeil et réalisent que l’hyperclasse déploie en ce moment un plan global qui doit les anéantir économiquement.

Personne ne pensait il y a un an que les commerçants seraient activement anéantis économiquement, c’est pourtant ce qui se produit.

J’ai averti ici que nous allons vers une Grande Dépression d’ici 2022 et que 50% du PIB européen sera détruit dans le cadre de cette dépression programmée par les hiérarques de Davos. Ils veulent en faire une « opportunité » pour reconstruire ensuite l’économie sur un modèle planifié, centralisé, digitalisé dans lequel il n’y aura plus de propriété privée ni de banque. Vous n’aurez rien de plus que ce que le système voudra bien vous donner. Vous pourrez être affamé d’un simple clic de souris par un bureaucrate de la Banque Centrale Européenne et tout ce que vous direz ou ferez sera surveillé en permanence par la Stasi 2.0 européenne.

Les gens doivent commencer à s’organiser activement en cellules souterraines et se préparer pour une lutte anticommuniste de longue durée.

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