Géorgie : les émeutiers de Soros déclarent ne pas vouloir arrêter leur projet de révolution, peu importe les concessions du gouvernement

La rédaction
Démocratie Participative
09 mas 2023

 

Lire : Les juifs tentent de déclencher une révolution en Géorgie pour en faire une nouvelle Ukraine

Comme je l’expliquais plus tôt, le gouvernement géorgien voulait voter une loi permettant de juguler les opérations des organisations subversives de Soros, de l’UE et de la CIA sur son territoire pour empêcher que Washington ne transforme la Géorgie en nouvelle Ukraine.

C’est une loi d’inspiration américaine d’ailleurs. Elle est en vigueur aux USA depuis 1938.

Quand ce sont les autres états qui le font contre les agents des USA, c’est un « jour sombre pour la démocratie ».

Les dirigeants géorgiens ont eu la très mauvaise idée de céder devant les quelques milliers d’agitateurs payés par les juifs dans l’espoir de passer à autre chose.

Résultat, les émeutiers ont annoncé qu’ils poursuivraient leur action de rue, loi retirée ou non, jusqu’au renversement du gouvernement et l’instauration d’un régime juif de type ukrainien.

⚡️ : La Géorgie a cédé à la pression occidentale et a supprimé la loi sur les agents étrangers. Les émeutiers ont déclaré qu’ils poursuivraient leur campagne de violence (comme prévu).

Cédez un pouce aux juifs, ils vous dévoreront le bras.

Les juifs vont désormais viser une révolution équivalente à celle de 2014 en Ukraine. C’est-à-dire le renversement du gouvernement, l’installation d’un régime fantoche composé d’individus désignés par Washington. Dans la foulée, la CIA dirigera la Géorgie en ligne directe, les armes et les saboteurs commenceront à affluer.

Les Russes vont devoir intervenir pour rétablir l’ordre. Ne pas intervenir, c’est laisser un second front être ouvert dans le Caucase avec l’infiltration rapide de la Tchétchénie et des autres régions islamiques par les djihadistes aux ordres des juifs.

Hélas, les Russes ont la très mauvaise habitude de laisser traîner les choses jusqu’à ce qu’elles s’enveniment de manière catastrophique. Résorber la crise requiert ensuite dix fois les moyens qu’une action immédiate aurait nécessité.

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