George Soros explose de rage après l’abandon par l’UE de son projet de sanctions économiques pour imposer l’anal à la Hongrie et la Pologne

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 Décembre 2020

L’UE aux mains de George Soros voulait imposer le principe « SIDA contre nourriture » à la faveur d’un programme d’aide d’un montant de 750 milliards d’euros auquel s’ajoutait le budget de l’UE pour la période 2021-2027 d’un montant de 1074 milliards d’euros.

La résistance acharnée de la Pologne et de la Hongrie a fait plié les homo-globalistes de Bruxelles.

Sur ce, George Soros est sorti de l’ombre pour laisser libre cours à sa rage hébraïque.

Russia Today :

Le fait que la Hongrie et la Pologne aient obtenu de l’UE qu’elle renonce à subordonner l’aide au titre de Covid-19 à des normes d' »État de droit » pour contrôler leurs politiques a courroucé le financier international George Soros, qui a parlé de capitulation allemande.

La Commission européenne avait à l’origine imposé aux États membres des « exigences en matière d’État de droit » pour le versement des fonds de relance de la lutte contre la pandémie. Cette mesure était considérée comme un moyen de pression sur Budapest et Varsovie, qui se sont opposés à Bruxelles sur leurs lois concernant les médias, le système judiciaire et les droits des LGBTQI+, entre autres choses. La Hongrie et la Pologne ont réagi en menaçant d’opposer leur veto à l’ensemble du budget de l’UE pour les sept prochaines années, ce qui a incité Bruxelles à faire marche arrière.

Pour Soros, le citoyen américain d’origine hongroise qui finance les causes de la « société ouverte » dans le monde entier, c’est « le pire des mondes possibles » et équivaut à une « capitulation » de la chancelière allemande Angela Merkel, selon un article publié jeudi par le Project Syndicate.

Merkel « a cédé aux extorsions hongroises et polonaises », a écrit Soros, blâmant personnellement la chancelière allemande pour l’issue des pourparlers. Elle est « en quelque sorte le seul décideur principal de l’UE », a-t-il soutenu, alors que le président français Emmanuel Macron « est temporairement distrait par la question de la laïcité », comme le décrit par euphémisme M. Soros à propos des malheurs du pays face au terrorisme islamiste.

La Pologne et la Hongrie « défient effrontément les valeurs sur lesquelles l’Union européenne a été construite », a soutenu M. Soros.

Malgré tous ses défauts originels, je n’ai pas souvenir que l’Union Européenne ait été construite sur la suprématie de l’anal.

C’est un ajout assez récent.

Tout en qualifiant d' »illibéral » le gouvernement polonais de Droit et Justice (PiS), une grande partie du vitriol de Soros a été réservée au Premier ministre hongrois Viktor Orban, dont le « régime kleptocratique » aurait « volé et détourné de vastes sommes pendant sa décennie au pouvoir ».

Il n’y qu’un spéculateur juif pour avoir l’audace de dénoncer la « kleptocratie » des goyim qui refusent de se laisser presser comme des citrons par la finance juive internationale. C’est une inversion accusatoire typique.

Ces hurlements sont toutefois bon signe.

Le gouvernement d’Orban a réprimé les ONG, les universités et autres projets de Soros en Hongrie au cours de la dernière décennie. Le financier s’est tourné vers Bruxelles pour obtenir de l’aide, et en octobre, la Cour européenne de justice a cherché à annuler la réforme de l’éducation hongroise qui a obligé Soros à délocaliser son université d’Europe centrale en Autriche.

Budapest a riposté en accusant l’UE d' »exécuter le plan Soros » avec ses conditions budgétaires, et de tenter de « faire du chantage et de faire pression sur les États membres dissidents pour qu’ils se mettent au pas », a écrit le porte-parole du gouvernement, Zoltan Kovacs, le mois dernier.

C’est exactement ça : ce chantage autour du budget de l’UE à propos de « l’état de droit » n’était que des représailles orchestrées par Soros contre la Hongrie.

Mais tout est finalement rentré dans l’ordre.

Soros a conclu son éditorial du 10 décembre en déclarant que tout ce qu’il peut faire est « d’exprimer l’indignation morale que doivent ressentir les personnes qui ont cru en l’UE en tant que protectrice des valeurs européennes et universelles ». C’est quelque peu facétieux, compte tenu des milliards de dollars dont il dispose pour influencer les législateurs et financer les médias et les groupes de pression.

Lorsque le commissaire hongrois à la culture, Szilard Demeter, a écrit le mois dernier un article d’opinion décrivant l’Europe comme la « chambre à gaz de George Soros » et qualifiant le financier de « Führer libéral », les politiciens de l’opposition ont demandé son renvoi, tandis que le Comité juif américain en Europe centrale et le Comité international d’Auschwitz ont exigé des excuses.

« Le gaz toxique coule de la capsule d’une société multiculturelle ouverte, ce qui est mortel pour le mode de vie européen », avait écrit Demeter dans la pièce, qu’il a été forcé de retirer, ainsi que de supprimer ses médias sociaux.

Ha !

Je dois dire que c’est très drôle, même si ce bon mot repose sur le mythe des chambres à gaz d’Adolf Hitler [Adolf Hitler n’a jamais fait gazer personne, il aimait les animaux et les enfants].

La seule chambre à gaz qui existe est bien celle dans laquelle les juifs veulent nous enfermer pour nous génocider. Celle que l’on appelle la société multiraciale et multiculturelle, comme le dit très justement Szilard Demeter. Typiquement, en France, nous sommes dans une telle chambre à gaz et nous sommes en train d’être génocidés par les juifs.

Plus j’y pense et plus je me dis que le Führer était un homme d’une patience hors du commun. N’importe qui d’autre, face à cette juiverie écumant de fanatisme et de soif de sang, aurait probablement décidé de les exterminer jusqu’au dernier. Après tout, quand une nuée de moustiques infectés de malaria attaque avec frénésie pendant des heures, le réflexe naturel d’un être humain est de les détruire. D’autant que les moustiques sont bien moins odieux à l’homme que les juifs.

Le Führer a péché par excès de bonté mais que voulez-vous, l’homme était trop généreux pour forcer sa nature. La conséquence de cette grandeur d’âme malheureusement, c’est que nous subissons toujours les menées génocidaires de ces sales juifs en 2020.

Avec Adolf Hitler, les juifs ont une opportunité unique de corriger leur comportement de scélérats. Au lieu de faire amende honorable et de s’excuser pour leurs crimes, les juifs ont déclenché une deuxième guerre mondiale, édifiant leur état suprémaciste de Palestine sur les ruines du monde civilisé.

C’est une occasion qui ne se représentera plus, les juifs peuvent en faire le deuil.

L’humanité est fatiguée des manigances criminelles de cette race et ne fera preuve d’aucune magnanimité cette fois. Ce temps-là est définitivement passé.

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